Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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juste après son speech à Gata Gold Rush 2011 à Londres, Jim Sinclair a été interviewé par James Turk. la vidéo vient d'être traduite en français et c'est un incontournable !
l'interview dure 10mn et passe en revue les chiffres clefs du cours de l'or et son entrée en progression exponentielle et revient en détail sur l'importance du déplafonnement de la dette US
évidemment, vous savez tous que depuis cet interview, le cours de l'or a très largement dépassé les fatidiques 1764$, et si vous avez écouté la vidéo, vous savez à quoi vous attendre
pour ceux qui préférent la vo, vidéo en anglais et retranscription écrite intégrale, sur le site de J. Turk
un de nos lecteurs nous transmet cet excellent article de Frédéric Lordon qui développe très largement les sujets évoqués par Sinclair dans la vidéo postée plus haut.
avec également, et ce qui est relativement inhabituel de sa part un court § sur l'or
si je suis tout à fait d'accord avec l'analyse globale du systéme monétaire international et des pbs de la dette us et européenne, je le suis beaucoup moins sur ce très court paragraphe qui en dit long sur l'image de l'or ( fétichisme métallique ), même chez un brillant analyste comme lui
à ce compte là, l'or a encore de très beaux jours devant lui,
Citation :
Quoiqu’il grimpe à des sommets, l’or n’est en aucun cas un actif de portefeuille au sens plein du terme : il n’est pas dématérialisé (ça n’est pas le tout d’acheter de l’or, il faut bien le stocker quelque part !), son marché n’est pas liquide car les transactions s’accommodent moins facilement des lingots que des écritures électroniques, et en fin de compte l’or n’est qu’une rémanence de fétichisme métallique, la ruée dont il est l’objet devant être surtout tenue pour un indicateur de l’extrême désarroi des investisseurs.
les racontars de ce Monsieur n'ont absolument aucune valeur à mes yeux . Il croit encore religieusement à ses illusions dogmatiques de keynésianisme étatique collectiviste et cette déficience cognitive le conduira inexorablement comme le reste du troupeau à se précipiter rue vivienne en quête de quelques grammes de métal introuvable à 6000$ l'once.
Nofear / Hardinvestor / On appelle esprit libre celui qui pense autrement qu'on ne s'y attend de sa part en raison de son origine, de son milieu, de son état et de sa fonction, ou en raison des opinions régnantes de son temps. Il est l'exception, les esprits asservis sont la règle. Ce que ceux-ci lui reprochent, c'est que ses libres principes, ou bien ont leur source dans le désir de surprendre ou bien permettent de conclure à des actes libres, c'est-à-dire de ceux qui sont inconciliables avec la morale asservie." (Friedrich NIETZSCHE, Humain, trop humain) mon tweet perso: @ghostbikerman
je suis d'accord pour ta dernière phrase, ça c'est certain ...
un autre article fort interessant vient de sortir sur la dette du gouvernement us ( divisée en 2 catégories; dette détenue par le public et dette intragouvernementale )
- augmentation substantielle de la dette du gvt us sous Obama ( et notamment de la dette détenue par le public : +59%))
U.S. Debt Held by Public Tops $10T for 1st Time—Up 59 Percent Under Obama
During Obama's presidency, debt held by the public has now increased by $3.71694 trillion--or almost 59 percent from the $6.3073 trillion in debt held by the public that the government owed to its creditors on Jan. 20, 2009, when Obama was inaugurated.
Also, according to the most recent reports available from the Treasury and the Federal Reserve, approximately $6.1 trillion of that debt—or about 61 percent of it—is owned by foreign interests (led by the Chinese and the Japanese) and by the Federal Reserve.
At the close of business on Aug. 30, as reported by the Treasury Department’s Bureau of the Public Debt, the federal government’s debt held by the public equaled $9,990,126,772,846.86. By the close of business on Aug. 31, it was $10,024,253,354,407.07.
The "intragovernmental" debt is money the Treasury has borrowed out of government trust funds—including the Social Security trust fund—to use on federal expenses other than those the trust funds were set up to cover. This "intragovernmental" debt is money the government owes itself.
The ‘debt held by the public," according to the Treasury, includes "all federal debt held by individuals, corporations, state or local governments, foreign governments, and other entities outside the United States Government." Among the types of Treasury securities included in the "debt held by the public" are Treasury bills (which mature in one year or less), Treasury notes (which mature in two to 10 years), Treasury bonds (which mature in 30 years), U.S. Savings Bonds, and Treasury Inflation-Protected Securities.
At the close of business on Aug. 31, the total outstanding debt of the U.S. government—including both the debt held by the public and the intragovernmental debt--equaled $14,684,292,994,743.93.
Of that $14,684,292,994,743.93 in U.S government debt, $10,024,253,354,407.07 was debt held by the public and $4,660,039,640,336.86 was intragovernmental debt.
From Obama’s inauguration as president on Jan. 20, 2009 through Aug. 31, 2011, the total debt of the U.S. government increased $4.05742 trillion. But most of that increase—roughly 92 percent—has been from the increase in debt held by the public as opposed to an increase in intragovernmental debt.
When Obama was inaugurated, the overall federal debt was $10.6269 trillion, with about $6.3073 trillion of that in debt held by the public and $4.3196 trillion in intragovernmental debt.
By Aug. 31, 2011, the debt held by the public had increased by about $3.71694 trillion during Obama’s presidency while intragovernmental debt had increased only by $340.47 billion.
The Treasury’s most recent report of foreign holdings of U.S. debt (released on Aug. 15) shows the value of U.S. Treasury securities held by foreign interests as of the end of June. At that time, according to the report, foreign interests held $4.4992 trillion in U.S. debt. (The two leading foreign holders of U.S. debt were entities in mainland China, which owned 1.1655 trillion in U.S. debt as of the end of June, and entities in Japan, which owned $911 billion in U.S. debt as of the end of June.)
The Federal Reserve, according to the August edition of the "Federal Reserve System Monthly Report on Credit and Liquidity Programs and the Balance Sheet," owned $1.638 trillion in publicly-traded U.S. debt as of July 27.
The combined $4.4992 trillion in foreign holdings of U.S. debt and $1.638 trillion held by the Federal Reserve equaled $6.1372 trillion in U.S. debt held by foreign interests and the Federal Reserve.
That combined $6.1372 trillion in U.S. debt held by foreign interests and the Federal Reserve—as per the latest public reports—would equal approximately 61.2 percent of the $10.02425 trillion in U.S. government debt held by the public as of Aug. 31.
bas , le monde est obèse . Les états-dette, les financiers, les politiciens avides de pouvoir, les multinationales, les gens , les banques.... L'obésité conduit à l’apathie, l'immobilisme, la paralysie intellectuelle, au diabète et donc à la cécité , la gangrène , et l'arrêt cardiaque. Le monde est accroc à l'argent-sucre virtuel. Nous allons vivre un épisode hypoglycémique à la limite de la syncope boursico-économique qui justifiera une injection-consommation d' argent-dette-sucre supplémentaire car un obèse a constamment faim et se gave de SUCRE-argent sauf qu'aucun médicament ne sauvera ces obèses condamnés à peser leur âme RAPIDEMENT.
Nofear / Hardinvestor / On appelle esprit libre celui qui pense autrement qu'on ne s'y attend de sa part en raison de son origine, de son milieu, de son état et de sa fonction, ou en raison des opinions régnantes de son temps. Il est l'exception, les esprits asservis sont la règle. Ce que ceux-ci lui reprochent, c'est que ses libres principes, ou bien ont leur source dans le désir de surprendre ou bien permettent de conclure à des actes libres, c'est-à-dire de ceux qui sont inconciliables avec la morale asservie." (Friedrich NIETZSCHE, Humain, trop humain) mon tweet perso: @ghostbikerman
Parce que vu le niveau d'endettement, ils ont intérêt à drôlement marchander.
Citation :
paroles de Paul dans 1 Timothée 6 :10 : "L’amour de l’argent est une racine de tous les maux."
Sous le règne de l’Antichrist, l’impiété atteindra son comble.
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