Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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A partir du moment ou les leaders européens ont réussi à terroriser les peuples avec la bombe atomique de la sortie de l’euro, il n’ y a plus de rebellion réelle possible. Il n’y a plus que des simulacres de rebellion.
Citation :
L’euro est une machine diabolique, on en a encore plus la preuve ce jour, l’intégration monétaire est une machine à tuer les démocraties.
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
L’année dernière a été difficile pour l’Amérique latine, avec une croissance de 2,1 %. Celle de l’Equateur a atteint 3,8 %, et 4,3 % pour la région où il n’y a pas de pétrole. Donc, nous avons des résultats plutôt bons pour la région. Quelle a été la clé de ce succès ? Comprendre l‘économie, savoir que les fondamentaux, la clé, consiste à protéger la production et l’emploi national, et à augmenter la production et créer de l’emploi. Nous n’avons pas cédé aux chants des sirènes du “sauve-qui-peut”, du marché libre et de la loi de la jungle, nous avons adopté des politiques qui privilégient notre production, nos emplois, et aussi un investissement public important qui attire à son tour l’investissement privé, car ce sont surtout des infrastructures en matière d‘énergie, et d‘éducation.
Citation :
Assange peut passer toute sa vie dans notre ambassade et il sera toujours le bienvenu, mais le problème pourrait être résolu dès demain si la Grande-Bretagne octroie un laisser-passer. Imaginez-vous un instant si nous étions à leur place : nous aurions un réfugié européen dans une ambassade européenne à Quito. Et nous laisserions passer trois ans sans lui octroyer de laissez-passer. On nous aurait déjà qualifiés de dictateurs, de fascistes, nous serions à la Cour pénale internationale.
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Le Grexit (la sortie de la Grèce hors de la zone euro) a commencé ce samedi après-midi. Physiquement. Après s’être réunis à 19, les ministres des Finances de la zone euro ont interrompu leurs travaux samedi en fin d’après-midi, avant de les reprendre à 18 : c’est-à-dire sans le ministre grec Yanis Varoufakis.
Après une conférence de presse pour expliquer cette nouvelle situation, le président de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a indiqué qu’il retournait en séance où lui et ses 17 autres collègues allaient désormais travailler à « préserver la stabilité et la solidité de la zone euro ». Autrement dit : la Grèce n’est plus le sujet premier de leurs préoccupations. « Le programme d’assistance à la Grèce expire le mardi 30 juin, et il expirera », a encore expliqué Dijsselbloem, évoquant ensuite « avec regret les risques pour les Grecs, mais ces risques sont là ».
Le président de l’Eurogroupe n’a pas voulu « spéculer » sur les actions concrètes que discuteront les ministres dans le cadre de leur réunion à 18. Quant aux questions sur l’avenir pour les Grecs, « vous devez poser ces questions au gouvernement grec. »
Le plan d'assistance financière de la Grèce va prendre fin le 30 juin, a annoncé le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après le refus par Athènes des propositions avancées par ses créanciers pour éviter le défaut de paiement et l'annonce fracassante d'un référendum par la Grèce début juillet.
évoquant ensuite « avec regret les risques pour les Grecs, mais ces risques sont là ».
Oui, oui, l'apocalypse va s'abattre pile poil sur Athènes, attention ils vont tous mourir ! La preuve qu'il ne faut pas sortir, l'euro et l'UE ont apporté : le plein emploi, la croissance, le pouvoir d'achat, une diminution de la puissance du dollar et des Etats-Unis, plus de paix entre les peuples, plus de sécurité, plus de droits individuels, plus de liberté d'expression, etc ... Et si vous n'y croyez pas vous êtes un fasciste, belliqueux, raciste et idiot. Et puis c'est comme ça et puis c'est tout !
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
de l'excellent Sapir : 2 analyses sur l'éviction de la grèce, du conseil de l'eurogroupe et ses conséquences, ainsi que sur la tenue éventuelle du référendum ( qui sera peut être caduc d'ici le 5 juillet )
Egal à lui même, moi qui le connais bien, pas personnellement, certes, mais de près quand même, et ce depuis de nombreuses années, je ne l'ai jamais vu sincère...
Silver is king, Go Gold ! G.Sandro pas de copier collé: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Oui Bob, il lui a éclaté la rondelle...dominant le débat de son autoritaire compétence et du manifeste bien fondé de ses arguments...ceci dit, je ne suis pas un inconditionnel de Sapir, tant s'en faut, je le trouve trop souvent ambigu et plus prompt à dénoncer les effets qu'à pointer les causes...mais là, OUI, il l'a défoncée cette radasse vendue et j'ai trouvé ça très bon.
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les sondages : encore une fois, plantés: erreur ou tentative de manipulation de l'opinion, histoire d'obtenir un OUI http://russeurope.hypotheses.org/4061
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Le masque tombe : Tsipras fait une alliance nationale avec tous les partis européistes grecs pour parvenir au plus vite à un accord avec l’UE et le FMI
Merci Sandro, c'est une sacrée claque : j'aurais préféré, qu' Asselineau se trompe
du coup, et avec ce camouflet donné au vote NON, cette analyse pro Tsipras tombe à l'eau !
Merci Marie, cet excellent article de la Tribune m'avait échappé; pour ma part, j'y vois un net changement de ton, les lignes bougent peu à peu. En tout cas, c'est un point de vue éclairant.
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=== SYRIZA ÉTAIT BIEN UN LEURRE EUROPÉISTE : L’UPR AVAIT RAISON SUR TOUT ===
Confirmant toutes nos analyses depuis 7 mois, le gouvernement Tsipras vient d'accepter tout ce que voulaient les créanciers, la BCE, le FMI et la Commission européenne....
Citation :Comme le souhaitaient la Commission européenne, la BCE, le FMI et les créanciers, le gouvernement « d’ultra-gauche » grec :
accepte l’instauration d’un système unifié des taux de TVA, incluant aussi la restauration, et accepte que le taux moyen en soit porté à 23% au lieu du taux moyen de TVA qui était jusqu'ici de 13%.
accepte de limiter la hausse de la taxe sur les sociétés de 26 à 28 %
accepte de procéder au programme de privatisations des nombreuses entreprises publiques (dont la liste n’est pas encore récapitulée par les agences de presse).
De plus, l'âge du départ à la retraite va être substantiellement et graduellement relevé pour passer à 67 ans d'ici à 7 ans (en 2022).
La volte-face du gouvernement Tsipras est d'autant plus spectaculaire et scandaleuse qu'elle se produit 4 jours après un référendum qui a vu 61,1% des suffrages s’exprimer en faveur du NON aux réformes que ce même gouvernement vient justement d’accepter ! Cela représente l'un des bras d’honneur les plus phénoménaux qu’un gouvernement puisse faire au peuple qui l’a élu il y a 7 mois, et qui lui a donné, 4 jours avant, une large majorité pour refuser ce programme.
------------------------------------------------------------------- CONCLUSION : SEULE CONTRE TOUS, L’UPR AVAIT UNE NOUVELLE FOIS RAISON. ------------------------------------------------------------------- En conclusion, j’invite tous les lecteurs à lire ou à relire le communiqué de presse que l’UPR avait publié dès le 27 janvier dernier - sitôt l’accession de M. Tsipras au pouvoir -, intitulé « Les Grecs vont maintenant pouvoir constater que Syriza est un parti-leurre » http://www.upr.fr/…/les-grecs-vont-maintenant-pouvoir-const… . Comme tout un chacun pourra le constater, seule sur toute la scène politique française, l’UPR avait une nouvelle fois fait la bonne analyse. Ceux qui avaient cru voir en Tsipras un nouveau de Gaulle chantre de la démocratie et de l'indépendance nationale, ou un subtil manœuvrier désirant sortir de l'euro sans y rien paraître, en sont pour leurs frais.
2 analyses complémentaires de J.Sapir et Romaric Godin, qui complétent le post précédent, sans être aussi virulentes, mais qui montrent bien l'impasse dans lequel se met Tsipras, à vouloir rester dans l'europe et l'euro, ainsi que les conséquences potentielles de sa stratégie / avec le camouflet qu'il a infligé au peuple grec qui a massivement voté le NON
Frederic Gay Au passage, j'ai une petite pensée pour Jacques Sapir dont j'apprécie globalement les aanalyses économiques mais qui, sur le cas Syriza, s'était de mon point de vue largement fourvoyé. En effet, s'il admettait ne pas être d'accord avec la volonté de ce parti de ne pas sortir de l'Euro, il prêtait à ses dirigeants de subtiles stratégies ayant pour objet de mettre au pied du mur la comission Européenne afin de la forçer à changer sa politique dite d' austérité. On a vu ce qu'il en était de la nature de "statège" de Tsipras.
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Marie 
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