Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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Tout ça est bel et bon ... mais il me semble pas que l'Arabie Saoudite ait les moyens réels d'inonder le marché de sa production, ad vitam- éternam ...et loin de là !
Tout ça ressemble fort à un "coup" de géopolitique dont le tandem USA-Arabie Saoudite a le secret ... histoire de faire plier les "pays producteurs de pétrole récalcitrants", suivez mon regard ...
On verra bien jusqu'à quel cours, ils veulent emmener le pétrole ...
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Dernière édition par marie le Mer 14 Nov 2018 - 23:54, édité 1 fois
un article édifiant tiré de Zerohedge sur le pétrole canadien, vendu actuellement avec des ristournes historiques par rapport au cours de référence (ristourne de 43$ contre 17-18$ habituellement !).
Voilà qui met une petite pression baissière supplémentaire sur le cours du pétrole.
Le pétrole sera le plus touché(cible du biseau baissier ascendant : retour sur les plus bas de 2016, autour de 27$) l'or et l'argent devraient baisser plus légérement.
l'analyse date d'octobre dernier, mais elle est plus que d'actualité aujourd'hui, puisque les cours du pétrole ont bel et bien cassé ce biseau ascendant à la baisse ...
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Attaques aux drones en Arabie Saoudite : l'Iran juste les accusations des Etats-Unis "insensées" Ces attaques ont entraîné une réduction de l'approvisionnement mondial en pétrole de 6%, mais l'impact sur les prix de l'or noir dépendra de la rapidité avec laquelle les Saoudiens réussiront à compenser cette baisse provisoire de leur production.…
MAU, VK, CGG, FP ( peables) etc... devraient joliment se comporter à l'ouverture; gaffe aux gaps, mais attachez vos ceintures, perso, j'en suis!
dans l'attente décision imminente de l' OPEP, le pétrole plonge de 8.46% à 42.09 $
(au moment où je poste)
tout va donc dépendre du "vilain" Poutine :
Citation :
Vladimir Poutine va-t-il accepter ? Sans la Russie, ce projet ne peut aboutir… mais il n’est pas sûr que Vladimir Poutine accepte sans condition. La Russie, contrairement aux pays du Golfe, peut se permettre des prix du pétrole bas : tant que le baril ne descend pas sous la barre des 42 dollars environ, le pays est gagnant, ce qui est loin d’être le cas pour les pays du Golfe.
Le pétrole (WTI) cloture à -9.71% 41.51$ après échec d'un accord des membres de l' OPEP pour baisse coordonnée de leur production.
Citation :
PÉTROLE Les cours du brut perdent plus de 8% après l'annonce que l'Opep et ses partenaires avaient terminé leur réunion de Vienne sans parvenir à un accord sur une baisse coordonnée de leur production de pétrole afin de soutenir les cours. Le Brent de mer du Nord se traite à 45,49 dollars le baril et le brut léger américain (WTI) redescend vers 42 dollars.
La faillite du marché pétrolier est là: on parle d'une baisse de 28% à l'ouverture
L'Arabie saoudite a annoncé une baisse drastique des prix du brut ce week-end dans une déclaration de guerre des prix après que le cartel de l'OPEP + se soit effondré suite au refus de la Russie de réduire sa production. Les prix de vente officiels saoudiens sont tombés de 8 à 10,25 dollars de moins que le Brent, qui est le plus élevé depuis au moins 20 ans. Ils ont également fait allusion à une augmentation de la production de plus de 2 millions de barils par jour. .../...
L'Arabie saoudite a rarement participé à une guerre des prix, mais elle a notamment eu lieu en 1998 et a envoyé du pétrole aussi bas que 9,85 $ / baril.
Donc, le crac pétrolier est là et maintenant la question est de savoir quels seront les dommages collatéraux? Le marché à haut rendement va avoir une très mauvaise journée et qui sait où sont les autres vulnérabilités.
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Qui n'a pas en tête cette situation ubuesque et improbable durant laquelle en avril dernier les cuves de pétrole débordaient et une armada de supertankers remplis jusqu'à la gueule errait sur les océans sans trouver un port où décharger ? Tandis que la demande mondiale de brut s'effondrait dans un monde plongé dans un confinement radical par l'urgence de la lutte contre la pandémie de la Covid-19.
L'or noir paraissait alors plus que jamais surabondant, au point, absurde, que les cours pétroliers furent même brièvement négatifs. Ce tableau absurde et délirant, Benjamin Louvet, gérant Matières Premières chez OFI AM, nous l'avait annoncé.
Ce dernier estime cette fois que contrairement à ce qui s'est produit au printemps, le retour du confinement un peu partout en Europe ne se traduira pas les mêmes distorsions entre l'offre et la demande de pétrole. Il entrevoit au contraire dans un horizon de dix-huit mois un choc pétrolier.
Un scénario dans lequel la transition énergétique et les contradictions de l'économie décarbonée ne compteraient pas pour rien. Explications et analyse de ce que cela implique pour les groupes pétroliers intégrés tels que Total, Eni ou Exxon Mobil dans l'Oeil du Pro.
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Loïc, toujours aussi pragmatique, voilà de quoi calmer vos collègues écolos à la cantine
Loïc Abadie a écrit:
La narration et la propagande massive véhiculée aujourd'hui en Europe sur le thème de la "fin du pétrole" et de la transition énergétique ne doivent pas vous faire oublier que l'Europe ne représente aujourd'hui quasiment plus rien dans le monde au niveau de la demande en énergie fossile. Et que les discours ambiants que nous pouvons entendre sur ce sujet ne représentent en aucun cas ce qui se pratique dans le reste du monde. Je vous donne ici quelques points de repère factuels, pour remettre à leur juste place ces discours et leur portée. Quand vous investissez dans le domaine de l'énergie, basez vous sur ce que font la Chine, la Russie, et tous les pays émergents...pas sur les rêveries d'une poignée de pseudo-"décideurs" européens totalement insignifiants !
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