Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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On peut toujours utiliser la science, ou une méthode scientifique ou logique, pour justifier n'importe quel dogmatisme, religieux, politique, économique, etc... ; d'ailleurs l'économie est classée dans les "sciences humaines", ce qui peut tenir de l'oxymore : une méthodologie rigoureuse au service d'un modèle vérolé ou imparfait produit très scientifiquement une erreur ... humaine.
Je préfère de loin les dogmes religieux : on peut en voir les contradiction internes ou entre eux, on n'est pas obligé de les suivre (dans un état assez laïc) et on peut même changer d'avis --de croyance. A la différence d'un dogme économique dominant qui ne connaît que quelques variantes comme nuances, mais auquel on peut encore partiellement échapper, ou, le pire, le dogme monétaire qui, lui, est imposé -- le fameux "cours légal et forcé".
Armand Du-Puel /Hardinvestor reproduction interdite : pas de copier / coller : utilisez un lien vers cet original.
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Contrairement à ce que prétend la propagande européiste, la dette de la France sera convertie immédiatement en francs
Citation :
Selon ces opposants, les dettes de la France seraient multipliées du simple fait de la dépréciation du Franc retrouvé. Ils affectent de ne pas croire en ce principe du droit international, la Lex Monetae, ou Loi Monétaire, qui indique précisément que toute dette émise dans le droit d’un pays peut-être re-dénominée dans une nouvelle monnaie, si ce pays se décide à changer de monnaie. Un ancien président de la République, Nicolas Sarkozy pour le nommer, s’était fait la spécialité de discours apocalyptiques sur cette question. L’Institut Montaigne avait repris ce thème, et affectait de ne pas croire en l’existence de la Loi Monétaire.../...
La beauté de la Lex Monetae réside donc dans le fait que la dette publique émise en droit français (ce qui correspond à 97% du montant de cette dette) doit être remboursable dans la monnaie ayant cours légal en France. Quant la France décide que c’est l’Euro, cette dette est donc remboursée en Euro, au taux de conversion décidée par la France. Que la France décide que la monnaie ayant cours légal sur son territoire est (à nouveau) le Franc, et il en sera de même. Autrement dit, les quelques 1649 milliards d’euros de la dette négociable française[4] se transformeront en 1649 milliards de francs.
toute sortie de l’euro par un des pays membres, qu’il soit créditeur ou débiteur au sens des soldes Target 2, induira des contrôles de flux de capitaux, soit au niveau du pays concerné s’il est débiteur, soit par les pays restants pour préserver ce qu’il reste de la monnaie.
À l’heure de l’argent électronique, de la puissance colossale des marchés financiers, ce contrôle des flux de capitaux me paraît d’autant plus difficile à instaurer et à être efficace que c’est quelque chose qui prend du temps à mettre en place et qui s’annonce.
Pour autant, c’est le cœur de la logique du projet économique de l’UPR. La sortie de l’euro, les renationalisations, l’actionnariat salarié... Tout cela passe par ce contrôle des flux de capitaux et par leur mobilisation sur les sujets jugés prioritaires.
Or l’analyse des conséquences économiques internationales et géopolitiques de ce genre d’action me paraît avoir été oubliée par François Asselineau et consorts. Vu le poids de la France au sein de la zone euro, je trouve que c’est une faute grave, faute d’autant plus grave pour quelqu’un qui a une expérience en politique internationale.
Je souhaite donc rappeler les conséquences d’un précédent historique en juillet 1931 en mettant ci-après le lien vers une conférence que Jacques Rueff fit en 1956 :
L’Euro, les déficits, et le discours du gouvernement seule solution : sortir de l'euro et par l'article 50 ,(ce que, comme à son habitude, Sapir ne précise pas)
lisez bien les chiffres, de ce que coûte l'euro à l'économie française !
Citation :
Disons-le tout net : compte tenu de l’existence de l’Euro et des contraintes que ce dernier impose sur l’économie française, il n’y a guère d’autre choix. Mais, cela revient à dire que le coût direct de l’Euro pour les finances publiques s’élève entre 60 et 110 milliards d’Euros par an, soit 3% à 5,5% du PIB. C’est un montant considérable. Il dépasse, et de très loin, la contribution nette de la France à l’Union européenne, qui n’est que de 9 milliards d’euros par ans (0,45% du PIB environ).
Cela permet de voir les choses comme elles sont et non comme le gouvernement voudrait qu’on les voie. Le déficit actuel des finances publiques est directement le produit de l’Euro.../...
Laurent LOUIS : « Protégez-vous de la faillite des banques et de la mort de l’Euro ! »
L’ancien député fédéral belge Laurent LOUIS prévoit une grave crise financière et monétaire dans les années qui viennent. De très nombreuses banques devraient se retrouver en faillite emportant avec elles les économies de millions de personnes que les pseudos garanties d’Etat seront incapables de couvrir, nos pays étant déjà en état de faillite virtuelle !
Pour contrer les effets néfastes de la crise qui s’annonce, Laurent LOUIS encourage les citoyens à prendre les devants en se préparant aux changements financiers et en anticipant le passage aux monnaies numériques qui est une évolution inéluctable. Dans la crise qui s’annonce, seuls les citoyens et les Etats qui auront pris les devants s’en sortiront mais les autres, ceux qui auront eu une confiance aveugle envers les banques et les monnaies traditionnelles risquent de se retrouver dans une situation dramatique.
Laurent LOUIS profite également de cette vidéo pour répondre aux accusations d’escroquerie dont il a fait l’objet ces derniers mois dans le cadre de la monnaie numérique Onecoin.
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Oui, tout Laurent Louis qu'il est, il est comme tous les autres : l'argent, l'argent, l'argent, l'argent, ...
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Sortir de l'union européenne et de l'euro, un préambule indispensable, mais pas suffisant :
c'est tout simplement un outil indispensable, pour retrouver la possibilité de mener une autre politique que les GOPE, et ça c'est déjà très bien ... mais ça ne suffira pas à mobiliser " le peuple de gauche", pour la simple et bonne raison, qu'on peut sortir de l'UE et de l'euro , par la droite (cf le Brexit /qui n'était déjà pas ligoté par l'euro)
Frédéric Lordon, expliquait ça fort bien (l'article de Nov 2015 est plus que jamais d'actualité) il faut vraiment le lire : il explicite tout autant les récupérations du FN, qui ne sortira jamais de l'euro, que les renoncements de Podemos (toute ressemblance avec Mélenchon et son mouvement ne serait pas une coïncidence fortuite) : on croirait lire F.Asselineau!
Evidemment, Lordon ne fait aucune allusion à l'UPR d'Asselineau, mais il ne faut pas forcément y voir "le mal"
Je pense de plus en plus, que (et quelles qu'en soient les autres raisons), l'inaudibilité de l'UPR à Gauche, tient à ce que, se focalisant sur ce seul point, il n'a pas réussi à se faire comprendre sur la suite (version optimiste : Comment se faire élire, sur ce qui n'est qu'un préambule ? (certes indispensable)
Du coup, je me demande s'il n'a tout simplement pas sauté une étape indispensable :
avant que de rassembler la D et la G , faudrait'il encore que la G (puisque c'est celle ci qui m'interesse) soit rassemblée sur ce sujet, et c'est TRES loin d'être le cas ! : la droite souverainiste étant par ailleurs très satisfaite du néo libéralisme de l'union européenne, ce n'est que sur l'aspect contrôle des flux migratoires, qu'elle diverge de la politique de l'UE (ok, c'est un gros raccourci, mais il a le mérite d'être explicite)
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La zone euro ne satisfait aucun des critères pour pouvoir être une Union Monétaire
L'euro va-t-il survivre à long terme ? «L'euro disparaître quand la BCE devra sortir de la politique de taux d'intérêt nuls et négatifs» si rien n'est fait par la BCE sur le fond ...
un débat fort interessant et qui soulève des points importants, nés de l'expérience du BREXIT : en effet , il me parait peu réaliste de laisser inchangé la stratégie de sortie de l'europe et de l'euro, par l'art 50
République souveraine 586 abonnés Cette table ronde discute de l’origine et des conséquences économiques de l’euro pour en poser la sortie. Mais cette dernière est contrainte par un ensemble d’obstacles qu’il s’agit de prendre en compte pour évaluer les stratégies possibles. Frédéric Farah, économiste et chercheur affilié au Laboratoire PHARE de la Sorbonne (Paris I), est l’auteur de nombreuses réflexions sur la souveraineté et la démocratie comme en témoigne son dernier ouvrage Fake State ou ses interventions médiatiques. Il a également rédigé de nombreux livres sur la question monétaire européenne, thème chez lui central, notamment avec Europe : la grande liquidation démocratique. Jacques Sapir, économiste, directeur d’études à l’EHESS, établissement dans lequel il dirige le Centre d'Études des Modes d'Industrialisation (CEMI-EHESS), et membre étranger de l'Académie des sciences de Russie. Il travaille sur les questions monétaires, militaires et propose une réflexion sur les liens unissant laïcité et souveraineté. Il a rédigé de nombreux ouvrages notamment pour le sujet qui nous concerne « La fin de l’euro-libéralisme » (2006), « La Démondialisation » (2008), « Faut-il sortir de l’euro ? » (2011) et enfin « Souveraineté, Démocratie, Laïcité. » (2016) Il dirige le blog Russeurope dans lequel il partage ses travaux et enfin co-anime sur Sputnik un podcast Russeurope Express. Bruno Tinel, maître de conférences en économie à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il est l'auteur de "Dette publique sortir du catastrophisme" (2016).
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Même le vieux Cheminade s'est déplacé, Baron avec son RSA a trouvé de quoi payer son billet de train de plusieurs centaines de kms, mais Nounours, qui habite à côté... toujours pas! C'est désespérant.
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Ca fait minimum un an et demi qu'il est perdu pour la politique nounours.
Par contre pour la pharmacie y'a une piste à explorer, il trouve une nouvelle molécule miracle par trimestre, c'est fort pour un énarque. Même Raoultix arrive pas à suivre.
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