Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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Bon ils avouent NIVEAU 7 ce sera pire que Tchernobyl ...
Si vous retournez à mes posts précédents du 16 MARS dernier il y avait bien peu de probabilités de se "tromper" ... Le combustible a bel et bien fondu.
ET en plus ils ont massacré le pacifique avec des milliers de tonnes d'eau hautement contaminée, ces japs et ceux qui les "conseillent" sont des criminels.
Vous remarquerez conneries sur conneries et ces gens "responsables" NOUS tuent pour du fric et l'industrie de la mort (ARMES ATOMIQUES).
Le 6 avril, Reuters a signalé que "le noyau du réacteur nucléaire de Fukushima au Japon est entré en fusion et a traversé la cuve du réacteur,"déclare le républicain Edward Markey lors d’une audience à la Chambre à propos de la catastrophe :
"J’ai été informé par la Commission de Réglementation Nucléaire (CNR) que le noyau a tellement chauffé qu’une partie de celui-ci a probablement fondu dans la cuve du réacteur."
Promouvant avec inconscience la prolifération nucléaire, la Commission de Réglementation Nucléaire américaine est tristement célèbre pour dissimulation et déni de ses effets nocifs. En conséquence, leurs rares aveux confirment vraiment une réelle fusion du cœur dans un ou plusieurs réacteurs, signifiant qu’énormément de rayonnement est relâché de manière incontrôlable dans l’atmosphère, l’eau et le sol, sur une vaste zone.
C’est le scénario cauchemar ultime qui se déroule actuellement, mais ne vous attendez pas à de grands reportages dans les médias ou des explications des représentants du gouvernement.
Néanmoins, le 6 avril, les écrivains du New York Times Matthew Wald et Andrew Pollack ont mis en gros titre "Le coeur du réacteur touché fuit probablement, annoncent les États-Unis " :
" La CNR américaine a déclaré mercredi qu’une partie du cœur d’un réacteur japonais touché avait probablement fui de sa cuve en acier vers le fond de la structure de confinement, impliquant que le dommage était encore pire qu’on ne le pensait."
Bien pire, en fait, parce que le matériau du coeur en fusion brûle ensuite de manière incontrôlée à travers la fondation en béton, ce qui signifie que tous les paris sont ouverts.
Le 5 avril, James Glanz et William Broad ont titré ainsi le Times : " Les Etats-Unis voient une panoplie de nouvelles menaces à la centrale nucléaire du Japon" : Des ingénieurs américains ont prévenu "que la centrale nucléaire en difficulté.... est confrontée à un large éventail de nouvelles menaces qui pourraient persister indéfiniment, et qui dans certains cas, devraient augmenter en raison des mesures mêmes prises pour garder la centrale stable, selon un rapport confidentiel du CNR.
Les menaces identifiées comprennent :
Possibilité d’autres explosions en raison de l’hydrogène et l’oxygène de l’eau de mer utilisés pour refroidir les réacteurs, qui pourraient avoir fait plus de mal que de bien. Selon l’ancienne conceptrice de réacteur, Margaret Harding :
« Si j’étais dans les chaussures des japonais, je serais très réticente pour avoir des tonnes et des tonnes d’eau dans un contenant dont l’intégrité structurelle n’a pas été vérifiée depuis le tremblement de terre », et très probablement sérieusement endommagé.
En raison de préoccupations au sujet de dommages graves au cœur du réacteur, CNR a recommandé que du bore soit ajouté à l’eau de refroidissement pour modérer l’absorption des neutrons.
Les barres de combustible usé exposées/ non protégées dans les unités 1, 2, 3 et 4 présentent des dangers extrêmes. Par ailleurs, des explosions ont soufflé dans l’atmosphère du matériau nucléaire "jusqu’à presque deux kilomètres des unités", indiquant de beaucoup plus grands dégâts que précédemment dévoilés.
David Lochbaum de l’Union of Concerned Scientists (UCS) (union des scientifiques inquiets) estime : " Ceci brosse un tableau très différent, et suggère que les choses sont bien pires. Ils pourraient avoir encore plus de dégâts à longue échéance, si certaines de ces choses ne fonctionnent pas pour eux .... Ils ont eu beaucoup de choses désagréables (à manipuler), et un faux pas pourrait rendre la situation bien bien pire. "
D’autres experts pensent que la criticité a été atteinte, ce qui pose de bien plus grands dangers que révélés.
Pourtant, le gouvernement et les fonctionnaires de TEPCO prétendent toujours "pas de risque immédiat pour une explosion d’hydrogène " ou un dommage grave pour la santé humaine. En fait, les niveaux de danger sont maintenant extrêmes. Plus à ce sujet ci-dessous.
Même le CNR a admis que l’eau salée a "sévèrement restreint" et probablement bloqué les circuits. En outre, à l’intérieur du noyau, "il n’y a probablement pas de niveau d’eau (il est donc) difficile de déterminer la mesure du refroidissement qui a accès au carburant." Peut-être aucun, et trois réacteurs ou plus sont touchés, un ou plusieurs en fusion.
Opinions d’experts indépendants
Le 4 avril, le géoscientifique et expert international en radioactivité Leuren Moret, a déclaré lors d’une interview par Alfred Lambremont Webre qu’Obama et le Premier ministre canadien Stephen Harper vont cacher les effets d’une guerre nucléaire tectonique sur l’Amérique du Nord par les retombées de Fukushima.
En fait, les cartes de radioactivité de l’Institut norvégien pour la recherche atmosphérique (NILU) confirment une contamination sur la côte ouest, le Midwest et l’Ouest du Canada, et dans certaines régions plus élevée qu’au Japon.
De I’iode-131 radioactif dans l’eau de pluie échantillonné près de San Francisco a été trouvé à plus de 18.000 fois au-dessus des normes fédérales de l’eau potable. Les échantillons de l’Idaho, du Minnesota, de l’Ohio,de la Pennsylvanie et du Massachusetts ont montré de l’iode-131 jusqu’à 181 fois supérieur à la norme, et qui devrait augmenter. Il fait aussi son apparition dans le lait.
En conséquence, les mesures mobiles dans certaines parties de l’Amérique et le Canada ont été suspendues jusqu’à nouvel avis pour dissimuler la gravité de la catastrophe.
Moret a cité deux éminents scientifiques en nucléaire qui ont déclaré publiquement que le nord du Japon (un tiers du pays) est inhabitable et doit être évacué. Marion Fulk est l’un des scientifiques du projet Manhattan qui a aidé à développer la bombe à hydrogène. Il a également été expert en retombées sur l’atmosphère américaine quand les tests ci-dessus ont été effectués.
Le Dr Chris Busby est l’autre, le spécialiste des rayonnements ionisants. Le 30 Mars, il a dit à la télévision Russia Today que la contamination de Fukushima causera au moins 417 000 nouveaux cancers.
Moret a appelé Fukushima une opération "false flag" pour affaiblir un rival économique, nuire à l’économie, l’agriculture et la pêche, et compromettre sa détente avec la Chine. Par rapport à Tchernobyl, Fukushima libére énormément plus de rayonnement, peut-être de trop énormes quantités pour imaginer les effets potentiellement catastrophiques sur le monde.
En réponse, le Japon, l’Amérique et le Canada sont dans le déni. Les niveaux acceptables d’exposition au rayonnement ont été élevés. Les tests atmosphériques américains et canadiens ont été suspendus. Les autorités de l’État ont dit aux médecins de Californie de ne pas donner de l’iode pour les patients concernés. Mesurer le rayonnement dans le lait a également été arrêté.
La contamination se répand de l’Arctique à l’équateur. Les isotopes radioactifs à longue durée de vie provoqueront des ravages sur la santé humaine et l’environnement pour des générations. Moret a dit que les formes de vie développées sur des milliards d’années seront détruits dans un siècle.
Le 29 mars, un article de Chris Busby de Rense.com s’intitulait "Démolir les experts nucléaires" :
"Ce que ces gens ont en commun c’est l’ignorance. (beaucoup de ceux) qui apparaissent (dans les grands médias) et pontifient n’ont pas vraiment fait de recherche sur la question du rayonnement et de la santé. Ou s’ils l’ont fait, ils ont.... raté toutes les études clés et les références. (D’autres sont) réellement méchants en disant qu’on n’a rien à craindre de Fukushima, rien comme Tchernobyl ou Three Mile Island.
En fait, Fukushima est déjà bien supérieur aux deux autres et ira de plus en plus mal avec les disséminations de rayonnement qui se poursuivent et s’étendent. Busby citait Joseph Conrad en disant : « après que tous les cris se sont tus, le silence sinistre des faits demeurent."
" « Je crois que (l’éventail des) experts charlatans", a déclaré Busby, "sont pénalement irresponsables, car leurs conseils mèneront à des millions de morts .... J’espère qu’ils seront envoyés en prison où ils pourront avoir beaucoup de temps pour lire les preuves scientifiques (montrant) que leur avis était fondé sur l’analyse mathématique de l’air léger. "
Il a cité le regretté professeur John Gofman, un grand expert responsable américain de l’énergie atomique à la Commission, qui a démissionné, en disant :
"L’industrie nucléaire est une guerre contre l’humanité."
Jusqu’à présent, en fait, il a gagné. On est entré dans un "endgame" qui décidera si oui ou non l’humanité survivra.
’’Pas d’une soudaine guerre nucléaire", a déclaré Busby. "Mais d’une guerre nucléaire en cours et progressive qui a commencé avec les rejets dans la biosphère au cours des années 60 par toutes les retombées des essais atmosphériques, et qui s’est continué inexorablement depuis (à ce jour), accompagnée par un accroissement parallèle des taux de cancer et la perte de fertilité de la race humaine. "
" Busby l’appelle « le scandale de santé publique le plus grand de l’histoire humaine .... » Qui peut être en désaccord ?
Un dernier commentaire
Dans un e-mail personnel, le chercheur en environnement, le Dr Ilya Perlingieri a expliqué les dangers du déversement par les japonais de milliers de tonnes d’eau radioactive dans le Pacifique, en disant :
Nous sommes tous en grave danger ! Ceci a été de la folie ! Cette eau radioactive va venir ici (vers l’Amérique). Ça ne fait aucun doute. Les courants l’emmèneront vers la côte ouest et contamineront les plages et toute la vie marine entre la côte et le Japon. Ce qui s’évapore naturellement viendra alors par les courants aériens sur le reste des États-Unis et le reste de la planète ! "
« C’est homérique, et ce n’était pas un accident. »
Le séisme au Japon a fait des milliers de morts, une centrale nucléaire durement touchée inquiète la Terre entière... Mais certains, parfois très maladroitement, préfèrent en rire (un peu), ou du moins apporter leur touche de légèreté face à cette catastrophe naturelle.
Tour d'horizon sur le Web et dans les médias, entre déclas chocs et anecdotes inopportunes.
1.Celui qui voulait déplacer les Japonais en Sibérie
Vladimir Jirinovski, le chef du parti libéral-démocrate LDPR en Russie, a parfois des idées bien surprenantes. Comme celle de déplacer, à cause des risques sismologiques actuels, toute la population du Japon dans les vastes plaines inocuppées de Sibérie.
"Qu'ils aillent là où il y a de la place, bâtissent, s'installent, ils ne gêneront pas, et la Russie a tout à gagner à accueillir un peuple aussi travailleur", rapporte Le Figaro.fr.
C'est vrai que c'est une entreprise tellement simple à réaliser... Petit rappel qui s'impose : la population du Japon, c'est 127 millions d'habitants.
2.Celui qui se réjouit que le bilan humain soit plus grave que celui économique
"Le bilan humain a l'air beaucoup plus grave que le bilan économique, et pour ça, nous pouvons être reconnaissants." La phrase est signée Larry Kudlow, journaliste économique de la chaîne américaine CNBC, relève Ozap.com
Ouf ! Quelques heures après le séisme, et un bilan qui annonçait déjà quelques centaines de morts, les marchés américains n'ont pas trop souffert... Merci pour eux. Et vive le capitalisme... En Europe, on en aurait licencié pour bien moins que ça.
on dirait que depuis 2/3 jours, ça pue grave la merde à "Fuckyouchezmoi" et pas que là mais dans tout l'archipel des soleils rayonnants...
Non qu'à la faveur du silence médiatique nous ayons eu des doutes sur le fait que le joyeux bordel continuait en toute discrétion, mais là, ça fait quand même pas mal de lourd en seulement quelques heures...
La finalité de cette rubrique est de présenter des informations essentielles sur la situation en cours à Fukushima. Nous sommes fort conscients que ce n’est pas véritablement la tâche de l’Association Kokopelli. Cependant, dans la mesure où la presse langue de bois, à la solde de la mafia globaliste, tente éperdument de lobotomiser la population à grand renfort de diversions et d’intox (mariage princier, béatification d’un Bienheureux, mort (une fois de plus) de Ben Laden le Diabolique, etc, etc, ad nauseam… la dissémination d’informations authentiques s’avère fondamentale afin de se protéger de la dissémination de la radioactivité. Merci de nous aider en nous envoyant des nouvelles récentes ou des articles référencés sur le sujet. - 8 mai 2011. Le réacteur 4 a-t-il complètement brûlé entre le 4 et le 7 mai 2011?C’est la question que pose un blog aux USA en étudiant les images délivrées par les caméras-vidéos permanentes à Fukushima. Nous avions déjà posé la même question le 4 mai. Rappelons que le 14 avril 2011, l’expert nucléaire du Vermont, Arnie Gundersen, avait évoqué la probabilité d’incendies dans ce réacteur en raison de la présence de quantités considérables de plutonium. Une vidéo du 7 mai sur YouTube met clairement en évidence des colonnes de fumée. - 7 mai 2011 à 20 h. Aveu officiel de TEPCO: ils vont relâcher de la radioactivité le 8 mai!TEPCO vient officiellement d’annoncer qu’ils vont effectivement relâcher de la radioactivité dans l’après-midi du 8 mai. Mais pas de panique, ce ne sera qu’un petit peu, c’est promis, et selon la formule consacrée: « sans risque pour la santé humaine »! Cette information semble donc en totale contradiction avec l’information-fuite du 1er mai stipulant qu’une grande quantité de radioactivité allait être relâchée par TEPCO. De plus, il n’est nulle part précisé quel sera le niveau de radioactivité libérée. - 7 mai 2011. Importante contribution de l’expert nucléaire Arnie Gundersen. Pour les Anglophones. Dans cet entretien sur son site, Arnie Gundersen évoque le 6 mai diverses problématiques: * La nature de l’explosion (Hydrogène/Nucléaire) dans le réacteur 3 de Fukushima. * La très grande chance pour le peuple Japonais que les conditions météorologiques prévalentes (les 11/12 mars) aient propulsé une grande partie de la radioactivité vers l’océan et non pas à l’intérieur du Japon. Si les vents avaient soufflé vers l’intérieur des terres, la totalité de l’île aurait, dès les premiers jours, été dans la même situation d’évacuation totale que Tchernobyl (et sans doute même en pire vu que le niveau 7 s’applique à chacun des réacteurs détruits). * Le très urgent problème de la contamination de la nappe phréatique de Fukushima: la pire dans l’histoire des désastres nucléaires. * Le très urgent problème de l’extrême contamination des égouts de Koriyama City. * La très grave décision de l’EPA (le ministère de l’environnement US) de stopper toute évaluation de la radioactivité ambiante aux USA et de refuser de tester les poissons dans l’océan. - 7 mai 2011: Précisions sur un lâcher potentiel, et en catimini, de radioactivité le 8 mai 2011 par TEPCO. Taro Kono, de la Chambre des Représentants du Japon, a rédigé un post le 5 mai, sur son blog, afin de relater l’information qu’il a reçue, par e-mail du 1er mai, par un bureaucrate de Agency for Natural Resources and Energy du Japon: « à la vitesse où vont les choses, une très grande quantité de radioactivité sera relâchée le 8 mai ». Officiellement, le 8 mai, TEPCO est supposé ouvrir les doubles portes du réacteur 1 de Fukushima afin d’installer un système de refroidissement couplé à un échangeur thermique. Cependant, certaines personnes (dont un ingénieur ayant travaillé à Fukushima) commencent à spéculer que l’ensevelissement du réacteur, sous de très grandes quantités d’eau, n’est en fait qu’une tactique pour tenter de diminuer l’intensité de la radioactivité, par “ventilation humide”, à savoir, en la faisant passer au travers de l’eau lors d’un relâchement non officiel le 8 mai. A suivre car venant de TEPCO et du Gouvernement Japonais, tous les mensonges sont du domaine du possible, et du très probable, dans la mesure ou l’e-mail du bureaucrate impliquait une gestion sensible de l’information. - 7 mai 2011: Le Grand Guignol politique de la fermeture de la centrale nucléaire de Hamaoka. Le Premier Ministre du Japon, Naoto Kan, dont la côte de popularité doit friser les 0 % (pour ne pas dire encore un peu moins) n’a, véritablement, aucune base légale ni autorité pour exiger de Chubu Electric Power Company la fermeture de cette centrale. En fait, les groupes d’opposition au nucléaire sont les plus organisés et les plus virulents à l’encontre de cette centrale nucléaire. Naoto Kan ne cherche, désespérément, qu’à se redorer le blason en prétendant être en charge. Cette centrale nucléaire est bâtie sur la plage et elle est située sur une faille (et sans doute même deux). L’invocation du tsunami, par le Premier Ministre, tient du Grand Guignol dans la mesure où le tsunami n’aurait plus grand chose, en termes de réacteurs, à se mettre sous la Vague une fois le tremblement de terre (le big one: le Tokai) passé! Les blogueurs Japonais rappellent d’ailleurs que ce n’est pas le tsunami qui a détruit la centrale nuclaire de Fukushima: c’est le tremblement de terre en faisant s’effondrer un pylône d’alimentation électrique de la centrale (et le seul pylône électrique que TEPCO ait perdu d’ailleurs). Mikio Inomata, le porte parole de la compagnie électrique, a précisé que Chubu Electric Power Company refusait de prendre une décision ce WE et la remettait pour la semaine prochaine. - 7 mai 2011: Fermeture du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Tsuruga. Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Tsuruga, dans la Préfecture de Fukui, vient d’être fermé par Japan Atomic Power Company (JAPC) suite à de très fortes fuites de xenon 133, d’iode 131 et d’iode 133 dans le système de refroidissement. - 7 mai 2011: Analyse par 4 stations Allemandes des niveaux de Césium 137. Les tableaux présentés par ces stations d’analyse de la radioactivité sur la planète mettent en exergue de fortes poussées de Césium 137 vers le 4 mai, dans l’hémisphère nord, en provenance de Fukushima. En Allemand. En traduction Française par Google. - 7 mai 2011: Le vice-président Chinois demande au Japon de garantir la non-contamination de ses produits alimentaires. Le 5 mai, Xi Jinping, le vice-président Chinois, a téléphoné à Tokyo pour prier le Gouvernement du Japon de certifier que les produits alimentaires venant du Japon ne sont pas contaminés. Il a également exhorté le Japon a juguler la crise aussi rapidement que possible afin de stopper l’émission continuelle de radioactivité de Fukushima. La preuve, s’il en faut, qu’il existe au moins un gouvernement au monde, la Chine, qui ne nie pas la contamination radioactive permanente émanant de Fukushima. - 6 mai 2011: Fermeture de la centrale nucléaire de Hamaoka? Le Premier Ministre du Japon, Naoto Kan, vient de demander expressément à Chubu Electric Power Company de fermer les réacteurs 4 et 5 de la centrale nucléaire de Hamaoka. Mr. Naoto Kan a évoqué la probabilité à 87% du Tokai Earthquake (le grand tremblement de terre que le Japon attend) et l’extrême sensibilité sismique de la région. Cette centrale nucléaire se situe à 200 km à l’ouest de Tokyo. - 6 mai 2011: Fuites ou Rumeurs: TEPCO prépare-t-elle un lâcher de radioactivité très élevée pour le 8 mai? La gestion, par TEPCO, de l’indigestion de radioactivité à la centrale nucléaire de Fukushima n’est en fait qu’une partie de poker permanente.TEPCO n’avait pas réussi le 29 avril son opération d’entombement à l’eau du réacteur n° 1 en injectant 10 tonnes d’eau/heure dans la cuve de pression du réacteur (14 tonnes/heure était le but recherché) et était redescendu à 6 tonnes/heure. TEPCO vient de décider de retenter l’expérience en passant maintenant de 6 à 8 tonnes d’eau/heure. Dans l’information en fuite, Taro Kono précise qu’il faut absolument mettre en place le système d’échange thermique (mentionné dans la news du 5 mai) et veiller à ce que les informations sensibles ne soient pas libérées. Il n’est pas clairement précisé si l’éventualité d’un lâcher de radioactivité intense, le 8 mai, sera par voie d’eau ou par voie atmosphérique. - 6 mai 2011. Découverte d’un container radioactif, en Hollande, en provenance du Japon.De la radioactivité a été découverte sur un container en provenance du Japon. Selon le service des douanes de Hollande, la radioactivité s’élevait de 6 à 30 becquerels en fonction des endroits du container. Par contre, Hans Jansen directeur de First Safety, une agence spécialisée dans les substances toxiques, a déclaré que la radioactivité s’élevait de 40 à 200 becquerels pour les endroits du container les plus contaminés. Ce niveau de 200 becquerels a été considéré, par lui-même, comme potentiellement dangereux. - 6 mai 2011. Emballement thermique du réacteur 3 de Fukushima? La température du réacteur 3 de Fukushima est beaucoup plus élevée que celle du réacteur 1.
juste pour signaler qu'aujourd'hui ça canarde grave dans ma cuisine je mesure 0,24 µS/h permanent avec des pointes au delà de 0,3 et déclenchement d'alarme sonore du compteur.
ces excès surviennent par "vagues" , ce n'est pas permanent , On peut être dans une fourchette "normale" et brusquement ça monte pour redescendre un peu plus tard...
A lire avec concentration car c'est passionnant mais pas destiné aux incultes, il y a pas mal de références...
Citation :
Lettre ouverte aux militants et aux responsables socialistes sur le nucléaire
Par Jacques Cheminade Pourquoi j’adresse aux responsables et militants socialistes une Lettre ouverte sur le nucléaire La réélection de Nicolas Sarkozy à la présidence, ou l’élection de tout autre candidat de la droite financière, serait désastreuse. Non en raison de ce qu’ils sont, mais par ce qu’ils représentent : un système monétaire international en voie d’effondrement, une Europe de l’euro qui a trahi le rêve des fondateurs de l’Europe, une politique de saccage social dont la Grèce n’est que la première victime. L’alternative consiste à sortir de ce système en redonnant priorité aux capacités créatrices de l’homme et à l’équipement de la nature. Afin d’y parvenir, une clef et un levier sont nécessaires. La clef est la mise en œuvre d’un Glass-Steagall global, abolissant la dictature impériale de la City et de Wall Street. Le levier consiste à investir dans les technologies du futur, capables de produire davantage par être humain et par unité de surface. En matière énergétique, cela signifie avoir recours au nucléaire, non pas à un moment donné de son développement, mais comme source de types d’énergie de plus en plus denses : la maîtrise par l’homme d’un principe physique universel, dans les conditions de justice sociale permettant son application et sa réalisation pour le bien commun. Aujourd’hui, les candidats du Parti socialiste ne sont de toute évidence pas à la hauteur de cette mission et se condamneront à un échec politique s’ils continuent à sacrifier à l’opportunisme électoral et à la soumission face à l’oligarchie européenne et au Fonds monétaire international. Timides sur le Glass-Steagall, dont ils refusent à la fois l’urgence et la conséquence, qui est le nettoyage des écuries d’Augias, c’est-à-dire la mise en faillite ordonnée des spéculateurs, ils ont choisi de sacrifier le futur du nucléaire à une alliance avec le mouvement écologiste, par laquelle ils espèrent parvenir au pouvoir. Dans l’hypothèse où ils réussiraient dans ces conditions, ils se condamneraient à appliquer une politique aussi désastreuse que la précédente dans ses principes, et plus désastreuse encore dans ses conséquences car elle s’inscrirait alors dans une phase plus avancée de décomposition du système existant et de destruction des acquis sociaux. Plus grave encore, c’est dès aujourd’hui, ici et maintenant, que leur attitude démoralise, égare et décourage le ferment de révolte qui se lève en Europe et dans le monde. Ce n’est en effet pas à la date de l’échéance électorale que se joue le destin de notre pays et du monde, mais dans la dynamique qui y conduit, alors que des décisions sont à prendre dans la situation d’extrême urgence que nous vivons. C’est pourquoi je lance aux responsables et aux militants socialistes cet appel à se ressaisir sur la question fondamentale du nucléaire, qui n’est pas principalement un choix technologique mais un reflet de l’idée que l’on se fait du rôle de l’être humain dans la biosphère et par rapport à ses semblables, un choix de civilisation. Lettre ouverte aux militants et aux responsables socialistes sur le nucléaire Votre ambition de substituer au pouvoir de Nicolas Sarkozy celui du peuple, par le peuple et pour le peuple, est non seulement légitime mais nécessaire. Cependant, vous creusez votre propre tombe et celle du monde en promouvant la sortie du nucléaire. Commençons par l’essentiel. Décider de sortir du nucléaire revient à arrêter de comprendre les principes physiques qui gouvernent l’univers et de les appliquer pour le nécessaire développement de la biosphère et de la noosphère. Ces termes peuvent vous surprendre. Ils signifient que c’est de la responsabilité de l’homme vis-à-vis des plus dépourvus et des générations futures dont il est question, l’esprit même de tout le combat de Jean Jaurès, des Curie, des Langevin et de tous ceux qui, en 1946, définissaient le Socialisme comme « la science au service de l’homme ». Renoncer aujourd’hui à appliquer les découvertes relativement les plus avancées de la science serait comme si les premiers hommes avaient renoncé au feu par peur animale de ses dangers. Au contraire, c’est la dynamique de la création humaine qui doit être notre pari. Sans elle, nous en serions restés à l’âge de pierre ou, plus probablement, nous aurions disparu de la planète Terre. Au sens propre du terme, il est donc irresponsable de vouloir « sortir du nucléaire », comme si on pouvait abdiquer face à la connaissance et à ses applications. C’est par cette considération fondamentale que nous devons commencer pour ne pas nous laisser entraîner dans un faux débat, voulu par les forces financières et leurs médias, qui entendent semer le trouble émotionnel et le pessimisme pour tétaniser leurs ennemis et les amener à une servitude volontaire. Il s’agit d’un culte anti-progrès, par nature anti-humain. Les oligarchies ont toujours voulu bloquer les découvertes de la science et leur communication au plus grand nombre, par peur de voir se lever contre elles une exigence de justice, de liberté, d’égalité et de fraternité. De même, aujourd’hui, elles entendent limiter le nucléaire à un moment donné de son développement, pour en faire un instrument de leur volonté de puissance, en jouant sur la peur. Elles ne cachent pas leur malthusianisme, version Ayn Rand et sa Vertu d’égoïsme , François Flahault et son Crépuscule de Prométhée ou leurs inspirateurs britanniques dans la tradition de Bertrand Russell et Francis Galton. Leur succès aurait pour conséquence d’arrêter de peupler la terre, puisque l’homme se trouverait alors défini à leur image comme un animal nuisible épuisant son environnement par son activité. Le mouvement écologiste se fait leur complice idéologique, consciemment ou non. Il est, pour reprendre une expression qui vous dira quelque chose, l’idiot utile d’un univers malthusien voué à sa dépopulation, faute de moyens de subsistance mais surtout par renoncement aux conséquences des effets de la pensée sur le monde réel. Dans un univers en création continue, l’homme doit au contraire toujours découvrir des principes nouveaux et les appliquer pour vivre. Sans cela, il se trouverait contraint de réduire fortement la consommation d’énergie, d’essayer d’obtenir du gaz de schiste par fracturation hydrique et du pétrole à partir de sables bitumineux ou d’accroître le recours au charbon. C’est-à-dire, soit un désastre humain avec cette réduction criminelle de population voulue par certains, car sans énergie il ne peut y avoir de développement, soit un désastre écologique et humain par un recul technologique en tentant d’exploiter des sources d’énergie moins denses. Pour assurer un futur à une espèce humaine en développement, la géothermie, les éoliennes, le solaire ou les marées ne peuvent être une solution, car la densité de flux d’énergie qu’ils procurent, par être humain, unité de surface et quantité de matière utilisée, n’est pas suffisante pour accroître le potentiel de densité démographique pour une société future. Sans les moyens d’accroître ce potentiel, qui ne peuvent être fournis aujourd’hui que par un nucléaire en développement continu, passant aussi rapidement que possible au nucléaire de la quatrième génération et à la fusion thermonucléaire contrôlée, il ne pourra y avoir de générations futures. En ce sens, refuser de progresser dans la voie que les Curie et les Langevin ont ouverte revient à renoncer au futur humain, notamment dans les pays les plus pauvres, qui devraient être les premiers à en bénéficier dans un monde délivré de la chape de plomb financière. Cependant, direz-vous, le monde n’est plus le même après Fukushima. Martine Aubry, comme ses amis écologistes, entend « sortir du nucléaire » en « fonçant sur les énergies renouvelables » et François Hollande propose de « réduire de 75 % à 50 % la production d’électricité d’origine nucléaire ». Martine Aubry salue la politique d’Angela Merkel et François Hollande se vante d’exiger « exactement le même effort que les Allemands, qui vont passer de 22 % à 0 % en quinze ans ». Il veut abandonner le projet EPR de Penly et espère que les sociétés françaises, telles des vautours affamés de profits, obtiendront les « nouveaux marchés » autour du « démantèlement d’une centaine de centrales dans le monde ». A l’optimisme scientifique et à la compétence des socialistes « au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine », se substitue une idéologie de l’adaptation au bourrage de crâne des médias sans se demander pourquoi elle est promue par les intérêts financiers qui les contrôlent. Ajoutons que sur ce point fondamental, Marine Le Pen rejoint la meute en déclarant : « La sortie du nucléaire est un objectif qu’il faut avoir à l’esprit parce que c’est une énergie énormément dangereuse. » Jean-Luc Mélenchon et le NPA entendent eux aussi « sortir du nucléaire maintenant ». Troublante coïncidence, mais eux sont cohérents avec leurs extrémismes respectifs, qui en viennent à enrégimenter l’homme sous une bannière et non à l’élever par l’éducation de ses facultés créatrices. Est-ce une raison, électorale ou/et idéologique, pour les socialistes de suivre le troupeau ? Car le troupeau est bel et bien conduit à l’abattoir par les nouveaux joueurs de flûte exécutant la partition de ceux qui veulent moins d’Etat et plus d’experts en statistiques et en comptabilité financière à court terme. Nicolas Hulot, dans son Syndrome du Titanic , dit tout haut ce que les autres sont incapables de comprendre ou ne veulent pas assumer : « Les jours du monde, tel que nous le connaissons, sont comptés… Si nous tous, riches comme pauvres, ne modifions pas immédiatement notre comportement pour ‘faire mieux avec moins’ et mettre l’écologie au centre de nos décisions individuelles et collectives, nous sombrerons inéluctablement. » On a bien entendu, « riches comme pauvres », comme si nous étions tous coupables. Car cette opération de bourrage de crâne et de culpabilisation générale vise en fait à couvrir les crimes bien spécifiques des spéculateurs et de leur économie casino qui entraînent, eux, bien réellement le monde à sa ruine. En fait, c’est la « natalité galopante » des pays en développement qui est visée, comme si en deux siècles, la population mondiale ne s’était pas multipliée par six ou huit, avec une augmentation constante du niveau de vie dans le monde industriel comme dans le monde en développement. Que l’on s’entende bien : nous défendons ici le nucléaire comme une étape nécessaire du développement de l’humanité, en tant que principe, et non telle ou telle technologie, comme celle des réacteurs à eau bouillante de Fukushima, à un moment de l’histoire. Le nucléaire n’a de sens qu’en progrès constant et sous contrôle citoyen, un « nucléaire citoyen ». L’on pourrait dire un certain nombre de choses concernant Fukushima. Que la vague était cinq mètres plus haute que le mur de béton protégeant la centrale, et que le problème scientifique est de prévoir les tsunamis et non de baisser les bras en disant qu’on n’y parviendra jamais. Que dans les mêmes circonstances, avec des réacteurs de type EPR, l’alimentation du refroidissement de secours ne serait pas tombée en panne grâce à ses diesels placés en hauteur et intégrés dans un système imperméable et parasismique. Enfin, qu’avec des recombineurs d’hydrogène dont nous disposons en France, les explosions d’hydrogène qui ont eu lieu là-bas ne se seraient pas produites ici. Cependant, l’essentiel est ailleurs. Ce qui s’est produit au Japon a été dû au blocage du nucléaire à un stade de son développement, celui des réacteurs de fission de type Westinghouse, et surtout à la destruction systématique et voulue de l’esprit scientifique par l’action conjuguée de l’Empire monétariste britannique de la City et de Wall Street et du pessimisme culturel répandu par un écologisme dévoyé, promouvant la nature contre l’homme. On n’a pas avancé scientifiquement et technologiquement, donc on a reculé. La véritable leçon à tirer de ce qui s’est produit à Fukushima est de lancer rapidement, comme le fait la Chine, les réacteurs de quatrième génération, comme les réacteurs à haute température et à lits de boulets, qui sont à sécurité intrinsèque : lorsque la chaleur s’accroît, la réaction s’arrête. Mieux encore, de pousser les recherches sur la fusion thermonucléaire contrôlée qui produira de l’énergie à coût pratiquement zéro et sans déchets, sans se limiter à la piste ITER de la fusion magnétique mais en explorant la voie de la fusion par laser, dite à confinement inertiel. Réfléchissons un instant : il est admis, même par les écologistes, que la fin des centrales nucléaires à fission prendra vingt à trente ans. Pendant ce temps, ou bien on arrête le nucléaire et on se limite aux énergies renouvelables. C’est alors à l’industrie que l’on renonce, faute de sources d’énergie suffisamment denses et donc physiquement rentables (c’est-à-dire fournissant beaucoup plus d’énergie libre par rapport à celle fournie au système). Or un pays qui, pour les pires ou les meilleures raisons du monde, accepterait sa désindustrialisation est un pays qui sortirait de l’histoire. Et si tous les pays faisaient le même choix, c’est toute l’humanité qui sortirait de l’histoire. Ajoutons qu’un nucléaire progressivement abandonné, sans surplus suffisant fourni par d’autres sources, pourrait devenir une réelle source de dangers. Déjà aujourd’hui, la soumission à un critère de rentabilité financière (obtenir le plus possible de revenu monétaire en moins de temps possible) condamne le nucléaire à recourir à des sous-traitances en cascade au détriment de la sécurité et du savoir-faire. C’est ce qui est arrivé à Chinon, c’est en partie la cause des retards de l’EPR d’Areva en Finlande. Ou bien, durant le temps où dépérit la fission, on pousse les feux des réacteurs de la quatrième génération et de la fusion, en commençant dès aujourd’hui. Tout en maintenant la construction d’EPR plus sûrs comme solution transitoire car on ne peut pas bâtir sur du vent. Alors on construit réellement un fondement pour un univers en peuplement, avec une population se qualifiant au cours du développement des projets. Car avec ce type de développement énergétique, l’on pourra effectuer de grands projets dans le monde, de grands travaux constituant des plateformes de développement pour tous, y compris et surtout les pays les plus pauvres, intégrant, désenclavant et nous donnant les moyens sur terre d’une politique spatiale à venir. C’est cet impératif de justice, associé au progrès de la connaissance et à ses applications en faveur de tous les êtres humains, qui suscitait l’enthousiasme des Jaurès et des Rosa Luxemburg. Et c’est seulement dans ces conditions que des changements révolutionnaires dans les modes de pensée et d’être seront possibles. Le reste est un bavardage fondé sur des préjugés, au mieux du temps perdu, au pire une collaboration avec l’oligarchie destructrice. Ne pas faire ces changements aujourd’hui revient à condamner l’avenir. La conséquence qu’il faut tirer du blocage actuel est de ne plus laisser la science aux bureaucrates, technocrates, nucléocrates et autres comptables, mais de la redonner à ceux qui servent les générations à naître et inspirent les peuples. Pour pouvoir investir dans ce sens, avec les yeux du futur, il faut des investissements lourds et à long terme. C’est impossible dans le système financier actuel, fondé sur le court terme et en cela même criminel, à la fois économiquement destructeur et socialement injuste. C’est pour cela qu’il faut en changer. Et comme il n’y a pas d’issue qui ramène au passé, en l’espèce vers des types d’énergie moins denses, ce que tout socialiste devrait proposer, ce sont ces investissements qui seuls peuvent ouvrir les portes de l’avenir, vers des types d’énergie plus denses. Il est temps de comprendre que l’univers change en passant de phases inférieures d’énergie et d’action à des phases relativement supérieures. Le culte de l’entropie écologique et financière est un culte de la mort. Seule l’action volontaire des pouvoirs créateurs de l’esprit humain est révolutionnaire en organisant ces changements de phase. Répétons-le : y renoncer revient à creuser sa propre tombe. Nous le disons ici sans prendre de gants aux responsables du Parti socialiste et à leurs militants. Il n’y a pas de compromis possible sur cette question, car il s’agit d’une erreur sur la nature même de l’être humain, une question de vie ou de mort, comme les Curie, Langevin et Einstein l’ont en leur temps compris.
NDR: Oh, bah si ce ne sont que des petits alors...
Ah? C'est vachement loin de Fuckyouchinois?
Ah, bon, c'est un tout petit peu emmerdant alors?
TOKYO, 13 octobre (Reuters) - De petits foyers de radioactivité ont été décelés à Tokyo et du strontium a été découvert dans la ville portuaire de Yokohama, sept mois après l'accident nucléaire de Fukushima, ravivant l'inquiétude de la population de la vaste agglomération de la plaine du Kanto, qui compte 35 millions d'habitants.
La centrale atomique de Fukushima-Daiichi, accidentée le 11 mars lors du puissant séisme et du tsunami du Tohoku, le nord-est du Japon, a libéré dans l'atmosphère une radioactivité qui a été transportée par les vents et qui s'est déposée, avec la pluie et la neige, dans l'est de l'archipel.
Setagaya, grand quartier d'habitation de la capitale, à 235 km au sud-ouest de la centrale, a signalé cette semaine un point de radioactivité élevée, près de certaines écoles. Le taux relevé se montait parfois à 2,7 microSieverts par heure, soit plus que dans certains points de la zone d'évacuation autour de la centrale.
Nettoyer le secteur à grandes eaux n'a pas permis d'abaisser la radioactivité, a déclaré le maire de Setagaya, Nobuto Hosaka, ajoutant que les autorités avaient informé la population qu'elle ne courait aucun danger à traverser le point contaminé.
La ville de Funabashi, dans la préfecture de Chiba à l'est de Tokyo, indique pour sa part jeudi qu'une association citoyenne a relevé un niveau de radioactivité de 5,8 microSieverts/heure dans un parc et procède actuellement à des vérifications.
Selon les données gouvernementales rendues publiques cette semaine, la radioactivité dans la zone d'évacuation (d'un rayon de 20 km autour de la centrale) oscille entre 0,5 et 64,8 microSieverts/heure.
Environ 80.000 habitants ont été contraints d'évacuer cette zone. L'unité de microSievert mesure la quantité de radiations absorbées par les tissus humains.
A Yokohama, du strontium-90, un isotope radioactif susceptible de provoquer des cancers de l'os et des leucémies, a été détecté dans le sol, selon les médias. Du strontium avait été détecté jusqu'à présent dans une zone de 80 km de rayon autour de la centrale, mais c'est la première fois qu'on en découvre aussi loin, ajoutent les médias nippons.
On estime à 2.400 km2 la superficie qui pourrait nécessiter d'être nettoyée de ses radiations.
(Yoko Kubota; Eric Faye pour le service français)
Bref, la version officielle est toujours aussi rassurante (mensongère) cochez la case... à moins que pour mentir à ce point, les autorités n'aient de "chers mobiles"...
Si vous l'avez "oublié" c'est que vous êtes des autruches suicidaires. A présent ce n'est plus seulement l'air chargé de micro particules radio actives mais aussi la bouffe !
A propos les japs après avoir empoisonné l'océan CRAMENT leurs débris RADIO ACTIFS.
si vous pensez que c'est juste de la peur alors que nous sommes dans l'omerta et le mensonge officiel et complice
étudiez donc un peu ça il y va de votre vie ...
Oh le beau "champignon"! le pire c'est que PERSONNE ne "VOIT" ce qu'on lui montre...
Comprenne qui pourra les autres sont condamnés à rester à leur stade animal et à se faire traiter comme tels.
Citation :
The dangerous radioactive wave from the Fukushima nuclear meltdown in Japan will hit the US West Coast and have deadly consequences for the entire U.S. food supply.
Researchers say the radioactive ‘wave’ from Japan will hit the US West Coast within the year and when it does it will have a deadly consequences for marine life and the entire U.S. food supply.
Des officiels japonais sont actuellement engagés dans des pourparlers avec des diplomates russes sur la possible délocalisation de dizaines de millions de japonais dans le cas très probable d’un effondrement total de l’unité 4 de Fukushima Daiichi. Selon un rapport récent de EUTimes,net, les autorités japonaises ont indiqué qu’au moins 40 millions de japonais sont en »extrême danger » d’empoisonnement radioactif, et que de nombreuses villes de l’est, y compris Tokyo, peuvent devoir être évacuées dans les prochaines semaines ou mois pour éviter un empoisonnement à des radiations extrêmes.
Comme nous continuons de le rapporter, la situation à Fukushima est désespérée, c’est peu de le dire. Le réacteur 4 est sur le point de s’effondrer complètement, ce qui enverrait dans l’atmosphère du combustible provenant de milliers de barres. Ces barres, après tout, sont déjà exposées à l’air libre, mais la libération de leur combustible causerait non seulement une catastrophe régionale, mais aussi un holocauste mondial.
Le Mainichi Daily a récemment rapporté : »Un rapport publié en février par la commission indépendante d’investigation sur l’accident a déclaré que la piscine de stockage du réacteur 4 était le maillon faible dans les crises de réaction en chaîne de la catastrophe nucléaire ».
»Le scénario du pire établi par le gouvernement inclut non seulement l’effondrement de la piscine du réacteur 4, mais aussi la désintégration des barres de combustible de tous les autres réacteurs de la centrale. Si ceci devait arriver, les habitants de la zone métropolitaine de Tokyo seraient obligés d’évacuer. »
Pour mettre en place des solutions pour les japonais les plus proches du danger, les autorités envisagent de reloger des dizaines de millions de japonais dans les îles Kouriles, situées dans la région de Sakhaline, ou même en Chine, où des centaines d’habitations de villes fantômes non utilisées pourraient abriter au moins 64 millions de réfugiés. Si cette délocalisation devait se produire, le Japon deviendrait en grande partie une friche stérile.
Une »vague » de déchets hautement radioactifs se dirigerait vers la côte ouest des US.
Pour les japonais, la catastrophe de Fukushima représente une disparition complète de leur nation, alors que pratiquement rien n’est fait pour contenir les milliers de barres de combustible exposées qui pourraient exploser avec la chute du réacteur 4. Mais les conséquences de tout ceci ne sont pas limitées seulement au Japon, car le reste du monde, y compris les US, supporteront le poids de cette bombe nucléaire aussi. Nous souffrons déjà, en fait, des conséquences de cette guerre nucléaire qui n’est pas une guerre.
À la fin de l’année dernière, par exemple, il a été rapporté que des officiels américains ont ordonné à TEPCO de relâcher 10 millions de litres de déchets radioactifs dans l’océan Pacifique. Aujourd’hui, selon The Intel Hub, ces déchets arriveront bientôt sur les grèves de la côte ouest, à l’insu de millions d’américains vivant dans cette région, qui y seront exposés.
Cette nouvelle »vague » de radiations est, bien sûr, en supplément de vagues plus anciennes qui ont déjà tué des milliers de gens, beaucoup d’entre eux étant des enfants, et provoqué une augmentation considérable de cas de cancers. Et avec le temps de plus en plus de gens vivant en Amérique vont commencer à développer des maladies chroniques en résultat d’un empoisonnement perpétuel par Fukushima et beaucoup mourront, alors que les médias de masse restent volontairement silencieux sur le problème.
Et le gouvernement fédéral a toujours su que la catastrophe devenait la plus mondialement sévère de l’histoire, comme il l’a été prouvé par la récente demande d’une loi sur la liberté de l’information. Non seulement les autorités fédérales sont conscientes des extrêmes dangers venant de Fukushima depuis les premiers jours, mais elles ont aussi orchestré des campagnes de désinformation pour garder les américains et le reste du monde dans l’obscurité au sujet de la vérité.
Comme ni les US ni les gouvernements japonais semblent vouloir vraiment gérer Fukushima, et en particulier la condition du réacteur 4, NaturalNews en appelle aux Nations-Unies pour mener une action rapide. Une nouvelle pétition presse les NU d’organiser un sommet sur la sécurité nucléaire pour s’occuper du problème du réacteur 4, et établir aussi une équipe indépendante d’évaluation pour le stabiliser et empêcher son combustible de détruire potentiellement toute vie sur terre.
l'ambassadeur japonais confirme bel et bien l'état des lieu donné par le général US ( plus haut dans la file )
Citation :
S'exprimant lors d'une audience publique de la commission budgétaire de la Chambre des Conseillers le 22 Mars 2012, l'ambassadeur Mitsuhei Murata a averti que "si le bâtiment estropié du réacteur 4 (avec 1.535 barres de combustible dans la piscine de combustible usé à 30 mètres au-dessus du sol) s'effondre, non seulement cela va provoquer l'abandon forcé des six réacteurs à cause des radiations dégagées, mais cela affectera aussi la piscine de combustible usé commune contenant 6375 barres de combustible, située à 50 mètres du réacteur 4".../...
In-Focus Japan – TEPCO unable to find leaks – Monju to need 290 billion yen in next 10 years
Citation :
apan Govt Asks Producers, Retailers to Promote LED Lights
The Japanese government on Wednesday asked electronics producers and retailers for efforts to promote the use of energy-efficient light-emitting diode lights in place of incandescent light bulbs.
At a promotional event in Tokyo the same day, Senior Vice Environment Minister Katsuhiko Yokomitsu said, “We will have to take energy-saving measures again this summer” due to expected electricity supply shortages.
Unfortunately, this is one time we are most unhappy to be proven correct, as a report circulating in the Kremlin today states Japan has requested Russia return the disputed Kuril Islands to the Japanese, as 40 million Japanese are in ‘extreme danger’ of life threatening radiation poisoning and likely face FORCED EVACUATIONS.
Ah oui, quand même.... tain, ça craint bien là... A ceux qui nous traitent de paranos, je tiens à préciser que le temps a une fâcheuse tendance à démontrer que nos craintes initiales et parfois décriées (et ce n'est ici qu'un exemple parmi tant d'autres), sont souvent dépassées par les faits....la réalité a parfois de ces facéties...
Alors, paranos? Peut être, mais souvent, pas encore assez...
Reactor No. 3's] fuel which base is made of big and aerial carbon soared into the air under the form of particles. [...]
The footage reportage on TV never showed the image of the falling or the wisp after the explosion. It’s top secret images.
[...]
The black smoke didn’t vanish into air in a twinkle.
A mass of density and high temperature moved towards and fell for several hours. At least there are photos from inside the 30km zone of a visible mass floating in the air.
Both of the white smoke and the black smoke fell until they vanished.
In other words “vanished” means “fallen”.
The radioactive plume which even reached Tokyo might be the mass which vanished and diluted its concentration
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» Wheaton précious metals/ WPM
Ven 25 Oct 2024 - 1:29 par g.sandro
» Comment l'Union européenne nous prend pour des imbéciles
Mer 23 Oct 2024 - 22:59 par g.sandro