Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
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Eddie Keogh Un projet de législation européenne approuvé lundi par une commission du Parlement européen prévoit que l'épargne des petits déposants sera protégée à concurrence de 100.000 euros tandis que les titulaires de comptes disposant de soldes supérieurs risqueront de devoir passer des pertes en cas de faillite bancaire. Ce projet fait écho à la solution retenue dans le dossier chypriote dans le cadre duquel les déposants les plus fortunés avaient été contraints d'accepter de passer des pertes pour éviter un naufrage du système bancaire local. Pour entrer en vigueur, ce projet doit encore être approuvé par les 27 ministres des Finances de l'Union européenne et par les Parlementaires européens.
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Interview de Pierre Lévy auteur de l’Europe en 2022: « Les dirigeants européens ne supportent plus la démocratie » Grégoire Lalieu Lisez absolument ce texte; c'est réellement remarquable de profondeur et de lucidité, c'est bien écrit, plaisant à lire et ça fait réfléchir...Bref, ça mérite une mention sur Hardinvestor.
Une nouvelle attaque contre la démocratie en Europe!
J'avais précédemment écrit un article sur l'entrée de la Lettonie dans l'euro, qui me surprenais étant donné la situation que connait cette zone monétaire.
Plusieurs pays avaient même renoncé à entrer dans l'euro.
Désormais je m’interroge encore plus à la lecture de cet article du journal LA TRIBUNE, qui nous apprend que le gouvernement a fait le choix d'entrer dans l'euro contre l'avis de sa population, en revanche pas une statistique dans cet article concernant la proportion de Lettons qui ne souhaitent pas entrer dans l'euro.
Et bien votre serviteur, a trouvé l'info et c'est édifiant!
62% des Lettons refusent l'euro! Et pourtant ils vont y entrer.
Après le refus de prendre en compte, les référendums Français et Néerlandais refusant la constitution européenne,
Après avoir forcé Monsieur Papandréou à démissionner de son poste de premier ministre Grec parce qu'il avait osé émettre l'idée de demander l'avis de son peuple sur un énième plan d’austérité,
Après la mise en place en Italie de Mario Monti au poste de 1er ministre alors que sa coalition représentait seulement 10% des voix,
Après avoir mis une pression phénoménale sur le parlement Chypriote pour qu'il accepte la taxe des comptes bancaires,
Après avoir refusé de prendre en compte les craintes des européens, dans une très large majorité, concernant la viande clonée, les OGM, le retour des farines animales..etc,
Nous avons désormais un pays qui entre dans l'euro contre l'avis des 2 tiers de sa population...
Deux questions essentielles désormais se posent: jusqu'à quand l'impérialisme européen fera fi des volontés des peuples?
Peut-on considérer que nous sommes encore en démocratie?
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Alors là, c'est le pompon ! Je croyais au début du reportage que ces fausses devantures étaient l'initiative de quelques commerçants loufoques pratiquant une forme de dérision cocasse, un refuge dans l'humour plutôt que dans le désespoir...et l'on vient nous expliquer que 350 000 € ont été dépensés par le ministère du développement social de la région autonome Nord Irlandaise...pour cette farce !
C'est du même niveau que Catherine 2 de Russie qui faisait réaliser de fausse façades de palais pour éblouir ses hôtes étrangers à Saint-Pétersbourg...la vulgarité en plus....on atteint des sommets.
Étienne Chouard - 10 raisons de sortir de l'Union Européenne
c'est absolument limpide; juste incontournable...Nairu, Loi de 73 (article 123 TFUE) etc.... déconstruction et démystification méthodique des mythes mythiques ...j'insiste, c'est du concentré, ne vous laissez pas impressionner par la durée de 59 minutes , c'est juste passionnant et ça passe super vite...tout y est dit crûment, clairement, franchement... et ça déchire le slip étoilé en 12.
Faites circuler ça de toute urgence à vos contacts, surtout, mais pas seulement, ceux qui sont à gauche... et à droite ; la confrontation à la vérité va être choquante...ne manquez pas de vous enquérir de leur réaction...il y a de la révélation dans l'air... c'est un magnifique outil; ce lien mérite absolument une place en vidéothèque, c'est un chef d'oeuvre de pédagogie.
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comme les emprunts/dettes des uns ont fait les dépots des autres en monnaie de singe bancaire, si ceux-là ne peuvent plus rembourser alors ceux-ci doivent y laisser les mêmes plumes.
Cependant, comme le fait remarquer le ministre espagnol, il faut d'abord respecter la hiérarchie : d'abord taper dans le capital et les les fonds propres des banques --avec un effet de levier ridiculisant ceux des hedges funds les plus audacieux, ce n'est que pour mémoire : elles sont liquidées ; ensuite taper dans les avantages et autres privilèges de la caste bancaire ; ensuite les divers obligataires selon leur rang --quitte à forcer une transformation d'une partie de la dette en capital ; et, enfin, les déposants --quitte à établir des seuils.
Armand Du-Puel /Hardinvestor reproduction interdite : pas de copier / coller : utilisez un lien vers cet original.
Il y a bien des approximations, notamment dans le mirage consistant à inverser le calendrier, mais l'essentiel n'est pas là; le principal, c'est que les merluchonistes vont commencer à se questionner sérieusement et ça, c'est bon...il était grand temps...
Citation :
CONTRE L’AUSTÉRITÉ EN EUROPE, LUTTONS POUR SORTIR DE L’EURO ET DE L’UNION EUROPÉENNE ! Article publié dans L’Humanité le 2 juillet 2013. Par Jacques Nikonoff et Jean-Claude Danglot* Six membres de la commission économie du PCF ont publié une tribune dans L’Humanité du 13 juin 2013 intitulée « Contre l’austérité en Europe, luttons pour un autre euro ! ». Leur plaidoyer en faveur de la monnaie unique est particulièrement peu convaincant. Les erreurs techniques et politiques sont nombreuses, la clarté de la pensée et de l’expression font défaut. 1.- Sortir de l’euro serait « rester isolé face aux marchés financiers et à la spéculation déchainée ». C’est exactement l’inverse. C’est aujourd’hui que nous subissons les marchés financiers et la spéculation. Y mettre un terme nécessite de les démanteler. Pour y parvenir la sortie de l’euro est impérative car la monnaie unique est l’agent propagateur et amplificateur des crises et de la spéculation. L’État ne doit plus passer par les marchés financiers pour assurer sa trésorerie et les investissements publics, mais faire appel à l’épargne nationale ; imposer aux banques et compagnies d’assurance qui auront été nationalisées l’achat obligatoire de quotas de titres d’État à faible taux ; permettre à la Banque de France de faire des avances au Trésor à taux nul ou non-remboursables. Quant au marché des changes, son contrôle et celui des mouvements de capitaux sont des mesures classiques, simples et très efficaces qui stopperont net la spéculation. 2.- Les 6 économistes du PCF contestent « l’utilisation qui est faite de l’euro » et considèrent qu’il ne faut pas sortir de la monnaie unique mais « lutter pour un autre euro ». Encore une fois, c’est exactement le contraire qu’il convient de faire. Ce n’est pas « l’utilisation » qui est faite de l’euro qui doit être contestée, mais l’euro lui-même. Car il est totalement illusoire de convaincre les vingt-six autres pays d’accepter de réviser le traité de Lisbonne à court ou moyen terme pour faire un « autre » euro. La crise, c’est maintenant ! C’est tout de suite qu’il faut la juguler, et cette perspective politique est incompatible avec le temps long que demande un changement des cultures politiques dans les différents pays membres de l’Union européenne. 3.- Il ne faudrait pas sortir de l’euro, car cela entraînerait une dévaluation du franc d’environ 25%, qui renchérirait d’autant le coût de nos importations alors que la France connait déjà un gros déficit de sa balance des paiements (70 milliards d’euros). Cette menace est grossière. En cas d’augmentation des prix de produits importés, beaucoup de consommateurs ne les achèteront plus. Ils rechercheront des produits similaires, mais fabriqués en France à un coût plus faible. Ce sera bénéfique à l’emploi. La sortie de l’euro est la condition nécessaire à la résolution de la crise, mais elle n’est pas suffisante. Il faut aussi :
Remettre en vigueur l’échelle mobile des salaires et des prix pour les salariés et retraités.
Baisser la facture pétrolière en diversifiant les approvisionnements auprès du Venezuela auquel la France n’achète pas de pétrole. Comme le fait Cuba, la France pourrait payer avec des aides techniques ou des mises à disposition de personnels. La fiscalité compte pour 75% dans le prix du pétrole. Il faut mettre en place un système pour la réduire quand les prix montent.
Diminuer les importations car la France importe trop de biens qu’elle pourrait fabriquer elle-même, ou qu’elle fabriquait avant les délocalisations. Il faut produire français, relocaliser et réindustrialiser le pays. Une politique de substitution aux importations est nécessaire, financée par des avances de la Banque de France. Il faudra produire en France des lave-linge, lave-vaisselle, fours à micro-ondes, appareils ménagers, chaussures, textile, meubles, jouets, téléphones portables, téléviseurs…
Bénéficier momentanément des effets de la baisse du franc de 25% (grâce à la dévaluation) en augmentant les exportations. Les conséquences seront positives sur l’emploi. Certes, il ne faut pas retomber dans les travers du libre-échange et de la priorité aux exportations. C’est pourquoi la France devra proposer à ses partenaires commerciaux de signer des accords bilatéraux s’inspirant des principes de la charte de La Havane (voir le site du M’PEP).
4.- Il ne faudrait pas sortir de l’euro, car la dette publique, détenue à 60% par des non-résidents, serait renchérie de 25% par la dévaluation. En outre, la dévaluation permettrait à des capitaux étrangers de mettre la main sur certains atouts productifs de la France. Encore une fois, c’est exactement le contraire qui se produira si la sortie de l’euro s’organise comme nous le préconisons. Pour mettre un terme à la crise, l’annulation de la dette publique est incontournable. Les créanciers remboursés le seront en francs (par création monétaire !). Comme le franc ne sera pas convertible, ces créanciers regarderont ces francs comme une poule regarde un couteau. Ils n’auront qu’une seule solution : acheter des produits français avec les francs qui leur auront été remboursés. Non seulement la dette publique ne connaitra pas de renchérissement, mais elle sera largement annulée, une parte des 50 milliards d’euros de charge de la dette deviendront disponibles pour financer des politiques sociales et des investissements publics. Quant au risque d’achat d’actifs productifs français par des capitaux étrangers, il est inexistant dans le schéma que nous proposons. Le franc n’étant pas convertible, le contrôle des changes et des mouvements de capitaux étant en vigueur, aucun investisseur ne pourra se procurer des francs sans autorisation de l’État. Par ailleurs, qui sait que l’Allemagne, en avril 2008, a adopté une loi rendant nécessaire une autorisation pour « tout investissement supérieur à 25% du capital d’une entreprise dans le domaine des "infrastructures stratégiques" et dès lors que l’ "intérêt national" est en jeu » ? Pourquoi la France n’aurait-elle pas le droit de voter une loi semblable, avec un taux de 1%, et pour toutes les entreprises ? Prétendre transformer l’Union européenne et l’euro de l’intérieur est un leurre. Pour bâtir un monde meilleur, il faut se libérer des institutions qui servent de piliers à l’ordre néolibéral mondial. Recouvrer sa souveraineté monétaire par des décisions nationales unilatérales est un impératif décisif pour les forces politiques qui souhaitent transformer la société. Pour une réponse détaillée aux 6 économistes du PCF, suivre le lien : http://www.m-pep.org/spip.php?article3351
Jacques Nikonoff est porte-parole du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP), ancien membre du Collège exécutif du PCF, auteur de Sortons de l’euro, Mille et une nuits, 2011.
Jean-Claude Danglot est ancien sénateur, ex-secrétaire de la fédération du Pas-de-Calais du PCF.
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Les ravages sociaux de l'euro, une stratégie délibérée Le texte ci-dessous est la traduction par Gilles, un lecteur régulier, d'un article du Guardian.
L'auteur, essayiste à succès dans le domaine économique, y explique comment Mundell, théoricien des zones monétaires optimales mais aussi apôtre du reaganisme, considérait l'euro comme une arme. Privés de politique monétaire, les gouvernements seraient contraints de sabrer dans leurs budgets. Nous sommes donc en plein dans cette phase. J'ajoute, par pure mesquinerie, que le Front de gauche soutient toujours l'euro. Robert Mundell, le malin génie de l'euro Par Greg Palast L'idée selon laquelle l'euro aurait échoué est dangereusement naïve. L'euro fait exactement ce que le géniteur des principes de l'euro ( et le 1% des plus riches qui en avaient soutenu le principe) avait prévu et planifié qu'il fasse. Le géniteur des principes de l'euro est l'ex-économiste de l'Université de Chicago : Robert Mundell. Le théoricien de « l'économie de l'offre » est maintenant professeur à l'Université de Columbia, mais je le connaissais à travers son lien avec mon professeur de l'Université de Chicago : Milton Friedman, ceci bien avant la recherche de Mundell sur les devises et taux de change. Ce sont les recherches de Robert Mundell sur les devises et les taux de change qui ont généré le modèle de l'union monétaire européenne et celui de la monnaie unique européenne. Mundell, alors, était plus préoccupé par ses arrangements de salle de bains. Le professeur Mundell, qui a à la fois un prix Nobel et une ancienne villa en Toscane, m'a dit, exaspéré : « Ils ne me laisseront même pas avoir un WC. Ils ont des règles qui me disent que je ne peux pas avoir un WC dans cette salle ! Pouvez-vous imaginer cela ? » Il se trouve que je ne peux pas l'imaginer. Mais comme je n'ai pas une villa italienne, donc je ne peux pas imaginer la frustration du à des règlements régissant l'emplacement des pièces. Mais Mundell, un canado-américain volontaire et obstiné, était résolu à faire une chose: trouver une arme qui pourrait balayer la législation gouvernementale et le droit du travail. (Il détestait vraiment les plombiers syndiqués qui l'avaient empêché de déplacer son trône.) « Il est très difficile de licencier des travailleurs en Europe », se plaignit-il. Sa contre-attaque : l'euro. L'euro fera vraiment son travail quand la crise aura frappé, expliquât alors Mundell . Le retrait du contrôle du gouvernement sur la monnaie empêchera alors l'utilisation des politiques monétaire et budgétaire keynésiennes par les vilains petits élus pour sortir une nation de la récession. « L'euro mettra la politique monétaire hors de la portée des hommes politiques », a-t-il dit. « Et sans la politique budgétaire, la seule façon pour les nations pour pouvoir conserver des emplois est la surenchère dans la réduction des règles du commerce. » Il citât, alors les lois du travail, les règlements environnementaux et, bien sûr, les taxes et les impôts. Tout cela serait éliminé par l'euro. La démocratie ne serait pas autorisé à interférer avec le marché ( ou avec la plomberie ). Comme un autre lauréat du prix Nobel, Paul Krugman l'avait remarqué, la création de la zone euro violait une observation de base de l'économie concernant les « zones monétaires optimales ». Cette observation pratique avait pourtant été théorisée par Robert Mundell en personne. Pour lui, ce n'était pas une objection qui tienne. Pour Robert Mundell, le but de l'euro n'était pas de faire de l'Europe une puissante unité économique unifiée. Son but était approximativement le même que celui de Reagan et Thatcher : la révolution conservatrice. « Ronald Reagan n'aurait pas été élu président sans l'influence de Robert Mundell », a écrit Jude Wanniski dans le Wall Street Journal. L'économie de l'offre mise au point par Mundell est devenu le modèle théorique des Reaganomics, la révolution économique conservatrice - ou comme George Bush Père l'avait appelée : « l'économie vaudou »: la croyance magique en la panacée du libre-marché qui a également inspiré les politiques de Mme Thatcher. Mundell m'a expliqué que, en fait, l'euro est fait d'une pièce avec les Reaganomics : « La discipline monétaire s'imposera aussi bien que la discipline budgétaire sur les politiciens. » Et quand une crise arrivera, les nations économiquement désarmées n'auront plus comme solution que déréglementer le droit du travail, privatiser les entreprises d'Etat en masse, réduire les impôts et d'envoyer les États-providence en Europe dans les égouts. Ainsi, nous voyons que le Premier ministre (non élu) Mario Monti exige la "réforme" du droit du travail en Italie pour rendre plus facile le licenciement pour les employeurs comme Mundell voulait le faire pour les plombiers toscans. Mario Draghi, la tête (non élue) de la Banque centrale européenne, appelle à des « réformes structurelles » - un euphémisme pour l'écrasement des protections légales des travailleurs. Tous deux citent la théorie nébuleuse selon laquelle cette « dévaluation interne » à chaque nation devra la rendre plus compétitive. En oubliant soigneusement de préciser que si toutes les nations de l'UE l'appliquent, cette « compétitivité » s'annule et que les seuls qui en profitent dans ce cas, ce sont les employeurs. Monti et Draghi ne peuvent pas expliquer de manière crédible comment, si tous les pays du continent déprécient leur main-d'œuvre, que tous puissent ainsi acquérir un avantage concurrentiel. Mais ils n'ont pas à expliquer leurs politiques; ils n'ont qu'à laisser les marchés travailler sur les obligations de chaque nation. Par conséquent, l'union monétaire est la lutte des classes par d'autres moyens. La crise en Europe et les flammes de la Grèce ont produit la lueur chaleureuse de ce que les acolytes du « roi-philosophe » Joseph Schumpeter appelaient la« destruction créatrice ». L'acolyte de Schumpeter et apologiste du libre marché Thomas Friedman s'est rendu à Athènes pour visiter le « sanctuaire impromptu » constitué par la banque incendiée où trois personnes sont mortes après avoir été brûlées par des manifestants anarchistes, et profité de l'occasion pour offrir une homélie sur la mondialisation et « l'irresponsabilité grecque.» Les incendies, le chômage de masse, le bradage des biens nationaux, amènerait ce que Friedman a appelé une « régénération » de la Grèce et, en fin de compte, de toute la zone euro. Alors à ce moment-là, Mundell et les autres possesseurs de villas pourront mettre leurs sacrées toilettes partout où ils voudront. Loin d'échouer, l'euro, qui était le bébé de Mundell, a réussi probablement au-delà rêves les plus fous de son géniteur. a écrit:
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Le gouvernement estonien rend hommage au nazisme RÉSEAU VOLTAIRE | 8 JUILLET 2013
Le ministre estonien de la Défense, Urmas Reinsalu, président de Union Pro Patria et Res Publica (IRL), a adressé, le 7 juillet 2013, un message de soutien aux membres de l’« Alliance des combattants pour la liberté de l’Estonie », réunis pour leur meeting annuel.
L’« Alliance des combattants pour la liberté de l’Estonie » rassemble d’anciens SS qui se battirent pour « préserver l’Estonie du communisme ».
En 2012, Urmas Reinsalu s’était personnellement rendu à ce rassemblement annuel sur l’île de Saaremaa. Il y avait félicité d’anciens SS pour avoir « libéré la patrie » (sic).
Depuis une dizaine d’années, l’Estonie et la Lettonie affichent leur soutien au nazisme. Ces deux États sont à la fois membres de l’Otan et de l’Union européenne, deux organisations officiellement créées sur les ruines du nazisme.
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Dans un monde soumis à cette guerre de tous les nationalismes qu’est la globalisation de l’économie, l’ Union Européenne est le dindon de la farce, parce qu’elle est la seule à croire au discours économique libéral et à l’appliquer .
Les Etats-Unis, le Japon, la Chine, et les membres de l’ Union Européenne non membres de la zone euro ont conservé le contrôle politique de la valeur de leur monnaie, et la font évoluer au gré de leurs intérêts: seuls les pays de la zone euro laissent exclusivement les marchés en fixer la valeur;
Les Etats-Unis (par le « Buy American Act», qui impose l'achat de biens produits sur le territoire américain pour les achats directs effectués par le gouvernement américain, et par les tiers qui effectuent des achats pour des projets utilisant des fonds fédéraux tels que les autoroutes ou les programmes de transport ; ou encore par le soutien étatique direct et massif aux industries en difficulté, comme General Motors), la Chine où le gouvernement contrôle l’ensemble de l’économie, le Japon, la Corée du Sud ou le Brésil par des protectionnismes techniques ou douaniers, favorisent leurs industries nationales; seule, l’ Union Européenne ouvre son marché à tous les vents ; seule, elle s’interdit toute aide étatique à son appareil industriel.
Cette naïveté suicidaire est purement idéologique, car seule l'idéologie -et rien d'autre - empêche l' Union Européenne de se doter d'autres réglements et d'appliquer d'autres pratiques; seule, l’ Union Européenne semble ne pas avoir compris que le discours libéral n’est qu’un discours, bien différent des pratiques réelles de tous ceux qui s’en réclament; et on ne peut manquer d’imaginer les fous rires que doivent piquer tous nos concurrents qui en profitent : « C’est bien, les petits, continuez à croire au discours libéral que nous tenons tous, en nous gardant bien de l’appliquer nous-mêmes, pour que nous puissions bien en profiter, vous inonder de nos produits et tuer vos industries; ne faites pas attention au fait qu’il n’est pas question que nous appliquions ce que nous faisons semblant de prôner, personne n’est parfait ».
Et le plus étonnant, ce sur quoi devront se pencher les historiens futurs qui étudieront notre période, est que les partis « socialistes » européens partagent cette idéologie du libéralisme sans entraves contre laquelle leur passé aurait dû les avoir prémunis, avec le zèle du néophyte trop récemment converti; comme si, entre l’économie totalement administrée soviétique et le libéralisme économique intégral que seule l’ Union Européenne met en œuvre, rien d'autre n'était possible; et comme si, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, en politique, on serait tenu de faire ce que l’on dit.
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l'union européenne en cessation de paiement à la mi novembre?
Citation :
Un bras de fer a été engagé entre les Etats membres et le Parlement européen sur le budget de l'UE pour la période 2014-2020. La Commission européenne a demandé lundi au Parlement européen d'approuver en urgence un versement de 2,7 milliards d'euros supplémentaires pour le budget 2013 afin d'éviter à l'Union européenne de se retrouver en cessation de paiement à la mi-novembre.../...
je ne peux pas m'empécher de penser au dernier shut down version USA, il semble que ça soit à la mode en ce moment ...On fait semblant que cela soit un "débat", alors que l'histoire est entendue d'avance : on va payer / suspense bidon C'est tout de même cocasse, si je peux dire... la coincidence de timing entre le shut down US et le shut down Union européenne
Ces c... là ont désespérement besoin de rallonges de papier monnaie, ils nous mettent devant le fait accompli, en tentant de faire diversion avec des débats, indignations bidons, et faux suspense la véritable question est donc : pendant combien de jours ( semaines ) va t'on entretenir ce suspense bidon, pour nous faire passer la pilule?
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Paradoxe: La fin est tellement vraie que ça semble irréel....
Publiée le 21 sept. 2013 NB : Les autorités européennes ont voulu faire disparaître cette vidéo. N'hésitez pas à la dupliquer et à la partager par prudence (soyons vigilent face à la censure) !
Courage citoyens !
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Hier à 17:22 par andre171
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» a quoi joue la Russie ..
Sam 26 Oct 2024 - 19:45 par g.sandro
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Sam 26 Oct 2024 - 18:50 par g.sandro
» Wheaton précious metals/ WPM
Ven 25 Oct 2024 - 1:29 par g.sandro
» Comment l'Union européenne nous prend pour des imbéciles
Mer 23 Oct 2024 - 22:59 par g.sandro