super la réponse de baroin, à la confirmation de S and poors AAA à AA+
heureusement qu'il est là pour nous rassurer
et puis, ce n'est qu'un début , le AA+, c'est bien pour nous "encourager" à encore plus de rigueur, sinon AA -, panpan culcul, comme je le disais en introduction du post de tête de file
Dormez braves gens, tout est planifié et bien à l'avance ... et tout le monde y trouve son compte
- certains travailleront plus pour gagner moins
- pendant que d'autres se gobergeront encore d'avantage
tout le monde y gagne je vous dis, et ne soyez pas de mauvais esprit, hein ... c'est de plus en plus mal vu par les temps qui courrent
- Citation :
- Ce ne sont pas les agences de notation qui dictent la politique de la France", a-t-il déclaré à France 2, au sortir d'une réunion de crise à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre François Fillon et la ministre du Budget Valérie Pécresse.
ah bon???
je développe pas d'avantage, ces pantins aux ordres commencent à me saouler grave
se contredisent, comme on l'a vu, d'un communiqué à l'autre, et même pas peur
j'ai plus de mots pour le dire ...
en attendant, les "sdb" du président nous couteront encore plus cher, pour le plus gd bonheur des banquiers , tout le monde y trouve son compte, où est le problème?
Standard and Poor's confirme la perte du AAA de la France :
La France a perdu vendredi soir sa note financière AAA, la meilleure possible, désormais abaissée d'un cran à AA+ avec perspective négative, a confirmé l'agence d'évaluation Standard and Poor's sur son site internet, un coup de tonnerre pour le président Nicolas Sarkozy à cent jours de l'élection présidentielle.
"Ce n'est pas une bonne nouvelle" mais ce n'est "pas une catastrophe", s'est efforcé de relativiser le ministre de l'Economie François Baroin, premier à confirmer l'abaissement de la note du pays.
"Ce ne sont pas les agences de notation qui dictent la politique de la France", a-t-il déclaré à France 2, au sortir d'une réunion de crise à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre François Fillon et la ministre du Budget Valérie Pécresse.
Standard & Poor's précise dégrader la note de la France en raison "de l'aggravation des problèmes politiques, financiers et monétaires dans la zone euro à laquelle la France est étroitement liée", tout en indiquant que la note de la France continue de "refléter son économie saine, diversifiée et solide dont la main-d'oeuvre est hautement qualifiée et productive".
M. Baroin a exclu que le gouvernement lance un troisième plan de rigueur, après ceux d'août et de novembre 2011. Il n'y aura "pas de nouveau plan de rigueur car ce n'est pas une question de rigueur budgétaire", a-t-il estimé, attribuant la décision de Standard and Poor's (S&P) à un "problème de gouvernance" au sein de la zone euro.
Le président Sarkozy a longtemps fait du maintien du "triple A" une priorité nationale y voyant "un objectif et une obligation".
La décision de S&P était attendue depuis début décembre, quand l'agence avait menacé d'abaisser la note de 15 Etats de la zone euro, dont les six notés "triple A", parmi lesquels la France et l'Allemagne. Dans le cas de Paris, S&P avait évoqué la possibilité d'un abaissement de deux crans.
L'agence n'a finalement dégradé la France que d'un seul cran, a indiqué François Baroin. Mais elle a épargné l'Allemagne, qui conserve son "AAA". En clair: sa décision consacre un décrochage entre les deux premières économies de la zone euro.
"Aujourd'hui, la France est une valeur sûre, elle peut rembourser sa dette et les nouvelles concernant notre déficit sont meilleures que prévu", a assuré Valérie Pécresse.
"Notre stratégie économique ne changera pas: c'est le désendettement, la compétitivité et son potentiel de croissance", a affirmé dans la soirée la ministre du Budget dans une interview à l'AFP, jugeant par ailleurs "absolument nécessaire que la convergence franco-allemande se poursuive".
Le président français Nicolas Sarkozy le 13 janvier 2012 à Paris © AFP/Pool Charles Platiau |
"La France est sur la bonne voie", a réagi le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble. "Nous devons tous ensemble tenir les règles, renforcer la compétitivité, nous le faisons tous ensemble", a-t-il ajouté.
Pour l'instant, Paris conserve toujours son triple A auprès des deux autres grandes agences de notation internationales, Moody's et Fitch.
La rumeur de l'imminence d'une dégradation française s'était répandue en milieu d'après-midi vendredi sur les marchés, avant d'enflammer la classe politique.
"Cette perte du triple A sanctionne la politique suivie depuis 2007" a lancé au nom du PS Martine Aubry, pour qui Nicolas Sarkozy "restera le président de la dégradation de la France. Le chef de file des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault, a évoqué "un sentiment d'humiliation" et "la rançon d'un quinquennat calamiteux qui a affaibli la crédibilité du pays".
La présidente du Front national, Marine Le Pen, y a vu "la fin du mythe du président protecteur" et la disqualification de "tous ceux" qui ont défendu l'euro.
"Notre statut en Europe va souffrir symboliquement et donc politiquement", a prédit François Bayrou, candidat du MoDem à la présidentielle. "C'est en réalité une double dégradation", à la fois de "notre note souveraine, qui va affecter la réputation de notre pays" mais aussi "par rapport à notre principal voisin, l'Allemagne", a-t-il estimé.
"Les embardées de Nicolas Sarkozy depuis cinq ans, la multiplication des cadeaux fiscaux, les réformes et contre-réformes fiscales n'auront pas répondu ni aux échecs de cette financiarisation de l'économie, ni à la hausse dramatique du chômage", déclarait Cécile Duflot, secrétaire national d'EELV.
L'abaissement de la note de la France, deuxième contributeur derrière l'Allemagne des fonds de soutien aux Etats de la zone euro en difficulté financière, risque d'ébranler ces mécanismes qui peinent déjà à endiguer la propagation de la crise.
Au plan hexagonal, la perte du triple A pourrait avoir des répercussions en cascade, alors que Paris doit émettre pour 178 milliards d'euros d'obligations cette année. Une dégradation de la note financière se traduit en principe par une hausse des taux d'intérêt.
Les places financières en Europe, qui étaient en hausse jusqu'en début d'après-midi dans la foulée de nouvelles émissions obligataires réussies en Italie, signal initialement perçu comme un début d'accalmie de la crise, ont toutes terminées dans le rouge.
Mais les marchés obligataires et les Bourses, qui avaient déjà largement intégré le risque d'une dégradation plus ou moins collective des notes, ont résisté tant bien que mal, Paris perdant seulement 0,11% et Francfort 0,58%.
De son côté, l'euro dégringolait par rapport au dollar, tombant à son plus bas niveau depuis août 2010, à un peu plus de 1,26 dollar.
"Depuis le début de l'année, les investisseurs se focalisent moins sur les commentaires d'agences de notation, mais davantage sur la capacité des Etats sous pression à se refinancer", a expliqué Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse.
Une autre mauvaise nouvelle est arrivée vendredi d'Athènes, épicentre de la crise de la dette depuis début 2010. Les banques ont annoncé qu'elles suspendaient leurs négociations avec la Grèce sur les modalités de la restructuration de sa dette publique. Elles ont laissé entendre qu'elles pourraient revenir sur leur engagement à en effacer volontairement une grande partie.
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