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Gaddafi was killed by French secret serviceman on orders of Nicolas Sarkozy, sources claim
A French secret serviceman acting on the express orders of Nicolas Sarkozy is suspected of murdering Colonel Gaddafi, it was sensationally claimed today.
He is said to have infiltrated a violent mob mutilating the captured Libyan dictator last year and shot him in the head.
The motive, according to well-placed sources in the North African country, was to stop Gaddafi being interrogated about his highly suspicious links with Sarkozy, who was President of France at the time.
d'un autre côté, vu que Monsieur Mon Colonel, n'était pas complétement stupide, il se serait bien arrangé pour que des preuves matérielles existent et fassent surface en cas de problème de santé violent.
Armand Du-Puel /Hardinvestor reproduction interdite : pas de copier / coller : utilisez un lien vers cet original.
Si vous voulez de vrais infos écoutez les putasseries journalistiques d'O Ravanello et d'autres sur atttactive world TV.
Citation :
Kadhafi tué par Assad?, par Louis Denghien
distinguer le savoir-faire professionnel d’Olivier Ravanello d’I-Télé (ici en train d’ »informer » sur la « révolution » libyenne) qui vient de commettre une nouvelle falsification de grande classe sur l’incendie du souk d’Alep, falsification qui confirme sa place parmi les grands de la désinformation à la française. Sous vos applaudissements !
Le fait que leur rêve de subversion de la Syrie s’évapore ne dissuade par certains journalistes et médias militants de continuer à mentir et désinformer.
Parmi ceux-ci nous sommes contraints, une fois encore, de « distinguer » I-Télé qui s’est empressée lundi soir, d’une part de relayer une thèse abracadabrantesque, et d’autre part de mentir ouvertement sur un fait, ces deux désinformations ayant, on l’aura deviné, pour but commun de charger le gouvernement syrien de crimes qu’il n’a pas commis, même en pensée.
Sensationnel ! Kadhafi « donné » par Bachar
Evidemment, le pompon est la présentation façon « scoop » des déclarations au quotidien britannique The Daily Télegraph d’un ex-responsable du Conseil national de transition (CNT) libyen, selon lesquels le colonel Kadhafi, réfugié avec une poignée de fidèles à Syrte, a pu être localisé – et assassiné – par des agents français envoyés par Sarkozy… grâce au numéro de son téléphone satellitaire personnel, numéro fourni aux Français par… Bachar al-Assad !
C’est Rami El Obeidi, ex-responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères du CNT, qui est l’auteur de cette thèse grotesque, qu’il pense étayer en expliquant que le président syrien aurait agi ainsi pour obtenir de Sarkozy qu’il diminue la pression sur le régime – « ce qui est arrivé », affirme Rami El Obeidi sans crainte du ridicule. Tout le monde, sur ce site et ailleurs, a pu constater que Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ont été, avant et après la mort de Kadhafi, parmi les dirigeants occidentaux les plus hostiles à l’encontre de Damas. Pour l’ex-diplomate Patrick Haimzadeh, interrogé par Le Point, Rami El Obeidi, un ancien militaire qui a été écarté du CNT, ne cherche qu’à exister politiquement.
On ajoutera que, ne serait-ce que pour d’évidentes raisons de jurisprudence internationale, le gouvernement syrien a condamné l’implication de la France et de l’OTAN dans la guerre civile libyenne. Plus c’est gros, plus ça passe ? Pas tant que ça, et ce mardi, les médias mainstream ne reviennent guère sur cette » information » – ils ne développent pas beaucoup non plus, il est vrai, les déclarations, peut-être de plus de poids, de l’ex-Premier ministre libyen post-Kadhafi Mahmoud Djibril, qui a affirmé lui aussi hier que c’est « un service de renseignements étranger » qui a tué l’ancien Rais libyen, sans donner pus de précisions, il est vrai.
Mais pour en revenir à la « piste Bachar », la direction de la rédaction d‘I-Télé aura pu cracher un peu de venin supplémentaire, l’espace d’une soirée, sur le président syrien : disons que ça ne change rien à l’évolution de la crise syrienne, mais que ça soulage ces messieurs-dames, certainement contrariés par l’échec de leurs amis barbus à Alep et ailleurs.
Le même soir, c’est une « pointure » d’I-Télé, Olivier Ravanello, chef du service de désinformation Etranger de la chaîne (déjà « distingué » sur ce site pour l’ensemble de son oeuvre), qui s’est surpassé en revenant sur l’incendie du souk d’Alep, expliquant que celui-ci avait été déclenché par un bombardement de l’aviation syrienne, affirmation « étayée » par une vue d’avion de combat dans le ciel syrien. Ce alors qu’il existe des vidéos – mises en ligne ici même – d’insurgés contemplant l’incendie qu’ils ont allumé aux cris de « Allah o akbar ! ». Alors que lundi l’AFP a publié les déclarations de commerçants du souk précisant bien que seuls les rebelles étaient présents dans le dédale du souk au moment du départ de cet incendie. Travestir à ce point la réalité est certainement la marque des plus grands « agents d’influence », et il faudrait instituer décidément un prix Pulitzer de la désinformation pour récompenser le « talent » d’un Olivier Ravanello – à qui on pourrait remettre « en prime » aussi quelques déclarations américaines ou qatari…
Quand l’AFP joue les ventriloques d’Ali Akbar Salehi
Mais l’AFP, quand il s’agit de « gauchir » les faits , et de faire dire à des personnalités ce qu’elles n’ont même pas pensé, n’est pas en reste sur I-Télé. Ainsi cette soi disant « mise en garde » de l’Iran à Damas sur son éventuelle utilisation d’armes chimiques dans le conflit en cours.
Quels sont les faits, et les mots ? Interrogé à ce propos lundi au cours d’un débat organisé par le CFR, une puissante société d’influence géopolitique américaine néoconservatrice, le ministre iranien des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi a répondu que « si cette hypothèse se vérifiait (…) ce serait la fin de tout« . Donc, en bon français, même traduit de l’anglais diplomatique, Salehi n’a fait qu’exprimer son opposition à l’emploi éventuel des dites armes chimiques par le gouvernement syrien, utilisation « hypothétique » d’après ses propres propos.
Le chef de la diplomatie iranienne a d’ailleurs immédiatement ajouté ceci, qui recadrait la question : « Si un pays quel qu’il soit, y compris l’Iran, utilise des armes de destruction massive, c’est la fin de la validité, de la légitimité de ce gouvernement« .
Bref, rien de nouveau sous le soleil diplomatique : tous les pays, y compris les alliés de la Syrie, condamnent l’utilisation des armes chimiques, sous quelque latitude ou quelque gouvernement que ce soit. Et l‘AFP rappelle – tout de même – qu’Ali Akbar Salehi avait lui-même rappelé à ses interlocuteurs que l’Iran a eu précisément à souffrir de l’utilisation de tels moyens de destruction : pendant la guerre Iran/Irak de 1980/88, le forces de Saddam Hussein ont utilisé des gaz de combat contre les soldats iraniens.
Mais, là aussi, là encore, un média français aura tenté de semer l’esquisse d’un doute sur la solidité des liens entre Téhéran et Damas, solidité pourtant attestée à mainte reprises et tout récemment encore lors de la rencontre du même Ali Akbar Salehi avec Bachar. Mais ces messieurs nous ont déjà fait le « même coup » avec la Russie, cherchant désespérément à susciter, par leurs grands titres mensongers, un début de désolidarisation entre la Syrie et son principal défenseur à l’ONU. Maintenant que tous ces mensonges et falsifications soient l’effet d’une claire conscience politique ou soient au contraire comme une seconde nature chez des journalistes formatés depuis l’école, est un autre débat
Nofear / Hardinvestor / On appelle esprit libre celui qui pense autrement qu'on ne s'y attend de sa part en raison de son origine, de son milieu, de son état et de sa fonction, ou en raison des opinions régnantes de son temps. Il est l'exception, les esprits asservis sont la règle. Ce que ceux-ci lui reprochent, c'est que ses libres principes, ou bien ont leur source dans le désir de surprendre ou bien permettent de conclure à des actes libres, c'est-à-dire de ceux qui sont inconciliables avec la morale asservie." (Friedrich NIETZSCHE, Humain, trop humain) mon tweet perso: @ghostbikerman
Bombshell: Clinton Directed False Flag in Benghazi to Instigate WW III in Middle East Friday, October 5, 2012 12:06 Here’s what everyone needs to know about evidence surfaced by Investigative Journalist Susanne Posel of OccupyCorporatism.com: (a) The so-called “EMBASSY” in Benghazi which was attacked on 9-11 by an angry mob, is not even listed by the US State Department as an Embassy, Consulate or Diplomatic Mission. It was a CIA run safe house used to negotiate gun trafficking of Libyan arms to Syria. (b) So-called Ambassador Stevens presented his diplomatic credentials in public, but was secretly operating to facilitate the supply of guns to Syria via the CIA’s covert military force; Al Qaeda.
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Clinton Directed False Flag in Benghazi to Instigate WW III in Middle East
US Secretary of State, Hillary Clinton, is trying to buy time after having been questioned about the planned attack and coordinated US-sponsored al-Qaeda use to facilitate the murder of the late US Ambassador J. Christopher Stevens.
Except, there was no US Embassy in Benghazi. There was a “diplomatic office” or CIA-compound which was burned to the ground. The nearest US Embassy to the area is in Tripoli.
Stevens, hardly being a US Ambassador, but rather a gunrunner for the behind the scenes terroristic attacks by the Saudi Arabian nation on the Islamic world. Saudi Arabia adheres to Salafism, an extremist form of Islam that want all other forms of the religion wiped off the map. Stevens was ultimately killed by the same group he had provided guns and other armory for when they were employed by the US to commit the false flag attack on the CIA-compound in Benghazi.
The Government Accountability Office has threatened in a recent report to evaluate Clinton’s role in the attack. Diplomatic Security, which is the responsibility of the US State Department, is compromised if Clinton will allow coerced attacks using US-operatives masquerading as Islamic terrorists for the purpose of committing a flase flag to instigate war with Middle Eastern nations.
Clinton, trying to appear to be concerned about the event, vowed publicly to “find those responsible for the attack.” She said: “There are continuing questions about what exactly happened in Benghazi on that night three weeks ago. We will not rest until we answer those questions and until we track down the terrorists who killed our people.”
However, Clinton had connections to the orchestrated bombing that occurred on the anniversary of September 11th terrorist attacks where al-Qaeda was used as a scapegoat for the deaths of thousands of American citizens in one of the biggest state-sponsored false flags in US history.
Coinciding with Stevens’ death multiple waves of manufactured Muslim uprisings seemed to validate the terrorist attack. A US-funded film was created with the assistance of an FBI-informant who just happened to be an Israeli citizen. Over 100 Jewish donors gave money to have this “wag the dog” trailer produced so that the Islamic riots would have a purpose.
Creating spin to further convolute the issue, Clinton remarked: “We have a lot of work to do to give complete and accurate responses to all the questions and statements that are swirling out there. Let’s establish all the facts before we jump to any conclusions.”
The Federal Bureau of Investigation (FBI) was deployed to Tripoli, where the actual US Embassy is located. The crime scene in Benghazi was left to be destroyed by CIA-operatives dressed up as rioters to contaminate the evidence.
he State Department claims that cryptic warnings of an impending attack on Benghazi was relayed, yet devoid of a time frame and therefore ignored. In response, Darrell Issa, chairman of the House Oversight and Government Reform Committee and Jason Chaffetz, House Representative of Utah are demanding an investigation and that Clinton explain the actions of the State Department in the time up and until the coordinated attack. According to the letter from Issa to Clinton: “Based on information provided to the Committee by individuals with direct knowledge of events in Libya, the attack that claimed the ambassador’s life was the latest in a long line of attacks on Western diplomats and officials in Libya in the months leading up to September 11, 2012. It was clearly never, as Administration officials once insisted, the result of a popular protest,” the committee’s chairman, Rep. Darrell Issa, R-Calif., and subcommittee chairman, Rep. Jason Chaffetz, R-Utah, write. “In addition, multiple U.S. federal government officials have confirmed to the Committee that, prior to the September 11 attack, the U.S. mission in Libya made repeated requests for increased security in Benghazi. The mission in Libya, however, was denied these resources by officials in Washington.”
Stevens, having no idea that he was about to be sacrificed by the US government for the sake of a false flag attack, was not concerned about utilizing security in the days before the bombing. In fact, Clinton authorized the security to be lessened in Benghazi and the US Marines guarding the US Embassy in Tripoli to be disarmed.
Clinton wrote back to Issa, saying: “I appreciate that you and your committee are deeply interested in finding out what happened leading up to and during the attacks in Benghazi, and are looking for ways to prevent it from happening again. I share that commitment.” She asked Issa to allow that any summations of the event at Benghazi be held off until November, after the elections, or perhaps into 2013 because witnesses were being questioned at the State Department’s Office of Legislative Affairs. This must be a request to defer the issue until Clinton and their lackeys can get their stories straight.
To keep the truth that the attack on Benghazi was a US-backed false flag, documents at the compound were destroyed just prior to the attack. This act mirrors the sudden shredding of documents at the US Embassy in Beirut that destroyed classified information. These documents showed the names of Libyans who were working with the US as well as oil contracts and information regarding the coordinated attack. Clinton was in contact with the al-Qaeda operatives who attacked the compound in Benghazi and murdered Stevens just 48 hours before the event was enacted. Publicly, the US State Department denies this fact by refusing to comment. The compound in Benghazi that was burned by al-Qaeda operatives was looted to make sure all evidence was removed before the press, residents of Libya or any official could gain access to the buildings. The compound in Benghazi was a safe-house that Stevens would have fled to during an emergency situation. Knowing this, Clinton combined fake revolutionaries with CIA-operatives to create a situation that could be spun to serve the purpose of the US and Israel in destroying the sovereign nations in the Middle East.
Last month Clinton admitted that al-Qaeda was used in the attack in Benghazi. Speaking to the UN Secretary-General Ban Ki-moon, Clinton stated that al-Qaeda was employed to facilitate a manufactured threat of Islamic extremism in the region. Clinton explains: “Now with a larger safe haven and increased freedom to maneuver, terrorists are seeking to extend their reach and their networks in multiple directions. And they are working with other violent extremists to undermine the democratic transitions under way in North Africa, as we tragically saw in Benghazi.”
In line with the US version of the story, Israeli “intelligence” reported that “This attack , along with the one in Egypt, is a reminder of the Iranian invasion of a U.S. embassy in Tehran that led to a lengthy hostage crisis which brought down the [President Jimmy] Carter administration.”
Nofear / Hardinvestor / On appelle esprit libre celui qui pense autrement qu'on ne s'y attend de sa part en raison de son origine, de son milieu, de son état et de sa fonction, ou en raison des opinions régnantes de son temps. Il est l'exception, les esprits asservis sont la règle. Ce que ceux-ci lui reprochent, c'est que ses libres principes, ou bien ont leur source dans le désir de surprendre ou bien permettent de conclure à des actes libres, c'est-à-dire de ceux qui sont inconciliables avec la morale asservie." (Friedrich NIETZSCHE, Humain, trop humain) mon tweet perso: @ghostbikerman
Clinton Réalisé attaque sous faux pavillon à Benghazi pour susciter la troisième guerre mondiale au Moyen-Orient Susanne Posel 5 octobre 2012 0 Commentaire Susanne Posel Occuper corporatisme Octobre 5, 2012
Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, essaie de gagner du temps après avoir été interrogé à propos de l'attaque planifiée et coordonnée aux États-Unis parrainée par Al-Qaïda utiliser pour faciliter l'assassiner de feu l'ambassadeur américain Christopher J. Stevens.
Sauf que, il n'y avait pas d'ambassade US à Benghazi. Il y avait une «mission diplomatique» ou la CIA composé qui a été brûlé à la terre. Le plus proche ambassade américaine dans la région est de Tripoli.
Stevens, à peine d'être un ambassadeur américain, mais plutôt un trafiquant d'armes pour la derrière les attentats terroristes scènes de la nation saoudienne sur le monde islamique. Arabie saoudite adhère au salafisme, une forme extrémiste de l'islam qui veulent toutes les autres formes de la religion rayé de la carte. Stevens a finalement été tué par le même groupe qu'il avait fourni des armes et armures pour les autres quand ils étaient employés par les Etats-Unis pour commettre l'attentat sous fausse bannière de la CIA composé à Benghazi.
Le Government Accountability Office a menacé dans un récent rapport d'évaluer le rôle de Clinton à l'attaque. sécurité diplomatique, ce qui est de la responsabilité du Département d'Etat américain, est compromise si Clinton permettra attaques forcées à l'aide Unis-operatives se faisant passer pour des terroristes islamiques dans le but d'avoir commis un drapeau flase d'engager la guerre avec les nations du Moyen-Orient.
". Trouver les responsables de l'attaque" Clinton, essayant de paraître se préoccuper de l'événement, a promis publiquement Elle a dit: «Il ya des questions persistantes concernant ce qui s'est passé à Benghazi, cette nuit il ya trois semaines. Nous n'aurons de cesse que nous répondons à ces questions et tant que nous traquer les terroristes qui ont tué notre peuple. "
Cependant, Clinton avait des liens avec l'attentat orchestré qui a eu lieu le jour anniversaire de attentats du 11 septembre, où Al-Qaïda a été utilisé comme bouc émissaire pour la mort de milliers de citoyens américains dans un des plus grands parrainés par l'État de faux drapeaux dans l'histoire américaine.
Coïncidant avec la mort de Stevens plusieurs vagues de soulèvements musulmans manufacturés semblait valider l'attaque terroriste. Un film américano-financé a été créé avec l'aide d'un informateur du FBI, qui vient de se passer d'être un citoyen israélien. Plus de 100 donateurs juifs ont donné de l'argent pour avoir ce "Wag the Dog" trailer réalisé de façon que les émeutes musulmanes auraient un effet.
Création de spin pour plus convoluer la question, Mme Clinton a déclaré: «Nous avons beaucoup de travail à faire pour donner des réponses complètes et précises à toutes les questions et les déclarations qui sont là-bas tourbillonnant. Nous allons établir tous les faits avant de sauter aux conclusions. "
Le Federal Bureau of Investigation (FBI) a été déployé à Tripoli, où l'effectif de l'ambassade américaine est située. La scène du crime à Benghazi a été laissée à la destruction par la CIA operatives déguisés en émeutiers de contaminer la preuve.
Le Département d'État affirme que les avertissements sibyllins d'une attaque imminente sur Benghazi a été relayée, encore dépourvue d'un laps de temps et donc ignorée. En réponse, Darrell Issa, président de la Maison de la surveillance et de la réforme du gouvernement et du Comité Jason Chaffetz, Maison Représentant de l'Utah sont exigeants une enquête et que Clinton expliquer les actions du Département d'Etat à l'époque et jusqu'à ce que l'attaque coordonnée.
Selon la lettre de Issa à Clinton: «Sur la base des informations fournies à la Commission par des personnes ayant une connaissance directe des événements en Libye, l'attaque qui a coûté la vie de l'ambassadeur était le dernier d'une longue lignée d'attaques contre des diplomates occidentaux et des représentants en Libye dans les mois qui ont précédé Septembre 11, 2012. Il a été clairement jamais, en tant que fonctionnaires de l'administration une fois insisté sur le fait, le résultat d'une protestation populaire », le président du comité, Rép Darrell Issa, R-Calif., Et président du sous-comité, Rép Jason Chaffetz, R-Utah, écrire. "En outre, plusieurs représentants du gouvernement fédéral américain ont confirmé à la Commission que, avant l'attaque du 11 Septembre, la mission américaine en Libye fait des demandes répétées pour une sécurité accrue à Benghazi. La mission en Libye, cependant, a refusé ces ressources par des fonctionnaires à Washington. "
Stevens, n'ayant aucune idée qu'il était sur le point d'être sacrifié par le gouvernement américain pour l'amour d'une attaque sous fausse bannière, n'était pas préoccupé par l'utilisation de la sécurité dans les jours précédant l'attentat. En fait, Mme Clinton a autorisé la garantie à diminué à Benghazi et les Marines américains gardant l'ambassade américaine à Tripoli pour être désarmé.
Clinton a répondu à Issa, en disant: «Je comprends que vous et votre comité sont profondément intéressés à savoir ce qui s'est passé avant et pendant les attaques à Benghazi, et cherchent des moyens pour l'empêcher de se reproduire. Je partage cet engagement. "Elle a demandé à Issa pour permettre que toutes les sommations de la manifestation à Benghazi lieu hors jusqu'en Novembre, après les élections, ou peut-être en 2013 parce que les témoins ont été interrogés au siège du département d'État des Affaires législatives. Il doit s'agir d'une demande de reporter la question jusqu'à ce que Clinton et leurs laquais peuvent accorder leurs violons.
Pour garder la vérité que l'attaque de Benghazi était un drapeau soutenu par les US faux documents dans l'enceinte ont été détruits juste avant l'attaque. Cette loi reflète le coup de déchiquetage de documents à l'ambassade américaine à Beyrouth qui a détruit des informations classifiées. Ces documents indiquaient les noms de Libyens qui travaillaient avec les Etats-Unis ainsi que les contrats pétroliers et d'informations concernant l'attaque coordonnée. Clinton était en contact avec des agents d'Al-Qaïda qui ont attaqué le composé à Benghazi et assassiné Stevens seulement 48 heures avant l'événement a été promulguée.
Publiquement, le Département d'Etat américain nie ce fait en refusant de commenter. Le composé à Benghazi qui a été brûlé par al-Qaïda a été pillé pour s'assurer que toutes les preuves ont été retirés avant la presse, les résidents de la Libye ou tout fonctionnaire peut accéder aux bâtiments. Le composé à Benghazi était une maison d'hébergement que Stevens aurait fui, durant une situation d'urgence. Sachant cela, Clinton combinée avec faux révolutionnaires CIA operatives de créer une situation qui pourrait être tourné pour servir l'objectif des Etats-Unis et Israël à détruire les nations souveraines au Moyen-Orient.
Le mois dernier, Clinton a reconnu qu'Al-Qaïda a été utilisé dans l'attentat à Benghazi. Prenant la parole à l'ONU Le Secrétaire général Ban Ki-moon, Clinton a déclaré que al-Qaïda a été utilisé pour faciliter une menace de fabrication de l'extrémisme islamique dans la région. Clinton explique: «Maintenant, avec un plus grand refuge sûr et une plus grande liberté de manœuvre, les terroristes cherchent à étendre leur portée et leurs réseaux dans de multiples directions. Et ils travaillent avec d'autres extrémistes violents à saper les transitions démocratiques en cours en Afrique du Nord, comme nous l'avons vu tragiquement à Benghazi. "
En ligne avec la version américaine de l'histoire, Israël "intelligence" a rapporté que "Cette attaque , de même que celui de l'Egypte, est un rappel de l'invasion iranienne de l'ambassade américaine à Téhéran qui a conduit à une longue crise des otages qui a fait tomber [du président Jimmy] Carter d'administration. "
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Au nom d’Allah le tout puissant et miséricordieux…
Pendant 40 ans – ou est-ce plus longtemps ? je ne puis me rappeler – j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour donner au peuple des maisons, des écoles, des hôpitaux, et quand le peuple a eu faim, je l’ai nourri ; j’ai même fait de Benghazi une zone rurale productive émergeant du désert.
J’ai fait front contre les attaques du cow-boy Reagan. Quand il assassina ma fille adoptive orpheline alors qu’il essayait de m’assassiner ; au lieu de cela, il a tué cet enfant innocent. Ensuite j’ai aidé mes frères et soeurs africains en donnant de l’argent pour la fondation de l’Union Africaine ; j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour faire comprendre aux peuples le véritable concept de la démocratie, où des comités populaires dirigent de fait notre pays ; mais cela ne fut jamais assez, comme quelques-uns m’ont dit, même ceux qui ont une maison avec 10 pièces, des vêtements neufs et des meubles en quantité ne sont jamais satisfaits.
Aussi égoïstes qu’ils étaient, ils en voulaient toujours plus et ils ont dit aux américains et autres visiteurs qu’ils avaient besoin de “démocratie”, de “liberté”, ne réalisant jamais que cela est un système “coupe-gorge” dans lequel les plus gros chiens mangent le reste ; mais ils furent enchantés par ces mots, ne réalisant jamais qu’en Amérique, il n’y a pas de médecine gratuite, pas de service de santé gratuit, pas de logement gratuit, pas d’éducation gratuite, pas d’assistance alimentaire gratuite, sauf quand les gens doivent faire la queue longtemps et mendier à la soupe populaire…
Peu importe ce que j’ai fait, ce n’était jamais assez pour certains ; mais pour d’autres, ils savaient que j’étais le fils sprituel de Gamal Abdel Nasser, le seul véritable leader arabe et musulman que nous ayons eu depuis Sala’a Din (Saladin), quand il reconquît le canal de Suez pour son peuple, tout comme quand j’ai reconquis la Libye pour mon peuple, j’essayais de suivre ses traces afin de conserver mon peuple indépendant et libre de toute domination colonialiste, de voleurs, qui nous dévaliseraient.
Maintenant, je suis sous le feu de la plus grosse force armée de l’Histoire. Mon cher fils africain, Obama, désire me tuer, prendre notre liberté, prendre notre médecine gratuite pour tous, nos logements gratuits, notre éducation gratuite, notre nourriture gratuite et remplacer tout cela par le banditisme de grand chemin à l’américaine appelé “capitalisme”, mais nous tous dans le tiers monde savons ce que cela signifie ; cela signifie que les grosses industries dirigent les pays, que le monde et les peuples souffrent ; ainsi, il n’y a aucune alternative pour moi, je dois rester ferme, et si Dieu le veut, je mourrai suivant ce chemin, ce chemin qui a fait de notre pays, un pays riche en ressources agricoles, avec une nourriture abondante et une bonne santé pour tous et nous a même permis d’aider nos frères et soeurs africains et arabes à travailler ici avec nous, dans la Jamahiriya libyenne. Je ne désire pas mourir, mais si cela doit être, pour sauver ce pays, mon peuple et tous les milliers qui sont mes enfants, alors que cela soit.
Que ce testament soit ma voix pour le monde. Qu’il témoigne que j’ai tenu ferme devant les attaques des croisés de l’OTAN, que j’ai résisté à la cruauté, à la trahison, résisté aux ambitions colonialistes de l’occident et qu’en cela, je suis resté aux côtés de mes véritables frères arabes et musulmans comme la lumière d’un phare, lorsque d’autres bâtissaient des châteaux, je vivais dans une modeste demeure, sous une tente. Je n’ai jamais oublié ma jeunesse à Sirte, je n’ai jamais dilapidé notre richesse nationale et comme Saladin, notre grand leader musulman, qui sauva Jérusalem au nom de l’Islam, je pris peu pour moi-même…
En occident, certains m’appellent “fou » ou « excentrique”, mais ils savent la vérité et continuent de mentir, ils savent que notre terre est indépendante et libre et pas sous le joug colonial ; ceci est ma vision, mon chemin est et a été clair pour mon peuple et il sait que je combattrai jusqu’au dernier souffle afin de nous garder libres, que Dieu tout puissant nous aide à demeurer fidèles et libres. »
Avril 2011 – Testament de Mouammar El Kadhafi – (1942-2011)
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Sarkozy-Kadhafi: des députés réclament une enquête Article 322 Commentaires
cliquez sur le lien pour voir l'article et ses illustrations, je l'ai sanctuarisé okazoo, car ce genre de chose a une fâcheuse tendance à disparaitre...
26 OCTOBRE 2012 | PAR FABRICE ARFI ET KARL LASKE Soupçons de corruption, diplomatie parallèle, guerre, ventes d’armes, témoins en fuite ou réduits au silence : le dossier est explosif. Un an après la mort de Mouammar Kadhafi, plusieurs députés de la majorité demandent la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les relations franco-libyennes, de la « lune de miel » entamée en 2005 avec la dictature, jusqu’à la chute du régime en 2011.
Ils sont socialistes ou écologistes, occupent des postes clés au sein des commissions des affaires étrangères ou de la défense nationale et ont saisi leur président de groupe de l’urgence d’investigations à mener par l’Assemblée nationale sur ce dossier, à l’évidence le plus lourd de l’ancienne présidence.
« Sur Kadhafi, il y a eu un retournement complet de la France qui a la particularité d’avoir eu lieu sous la même présidence et sous le même gouvernement. La venue de Kadhafi en France, le tapis rouge qu’on lui a déroulé en décembre 2007, notamment à l’Assemblée nationale, fut une pantalonnade complète. Et quelque temps après, Sarkozy change de pied ? On est en droit de s’interroger sur un tel revirement », poursuit le député de Loire-Atlantique.
Pouria Amirshahi, député des Français de l’étranger (qui a la Libye dans sa circonscription) et secrétaire de la commission des affaires étrangères, est au Parti socialiste le plus ardent défenseur d’une enquête parlementaire sur les dessous des relations franco-libyennes sous Kadhafi : « On est passé du baiser honteux, qui ressemblait à de la prostitution, à la poudre, à la guerre. La question d’une éventuelle corruption est évidemment très présente », dit-il.
Nicolas Bays, député socialiste du Pas-de-Calais et vice-président de la commission de la défense nationale, pense de son côté qu’« il y a aujourd’hui des questions qui se posent et qui engagent l’image de la France. La France a fait plus qu’outrepasser le mandat de l’Onu pendant la guerre », souligne-t-il.
Noël Mamère, député de Gironde et membre de la commission des affaires étrangères, estime pour sa part qu’« une commission d’enquête est non seulement souhaitable mais possible. Je m’engage à y travailler ». « Nous sommes face à un immense dossier qui peut se résumer en trois mots : “corruption”, “complicité” et “culpabilité” », déclare-t-il.
D’autres députés de la majorité (Razzy Hammadi, Arnaud Leroy, Sébastien Denaja, François-Michel Lambert, Sergio Coronado, Daniel Goldberg…) ont également fait savoir à Mediapart qu’ils étaient favorables à la création d’une commission d’enquête sur les secrets libyens de la présidence Sarkozy, qui sont aujourd’hui autant de bombes qui dorment au cœur de la République.
Diplomatie parallèle et complicité française
Tout a commencé en 2005. Un homme est à la manœuvre : l’intermédiaire Ziad Takieddine. Mis en examen pour « recel d’abus de biens sociaux » et « blanchiment aggravé » dans l’affaire des ventes d’armes du gouvernement Balladur (1993-95), Ziad Takieddine a été, à partir de 2003, le missus dominicus de la diplomatie parallèle du cabinet du ministre de l’intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy. En Arabie saoudite d’abord, puis en Libye.
De septembre à décembre 2005, Ziad Takieddine aura été l'organisateur des visites à Tripoli du ministre Sarkozy, de Claude Guéant, son directeur de cabinet, et même de Brice Hortefeux, ministre délégué... aux collectivités territoriales. Officiellement, il s’agit de parler d’immigration et de lutte contre le terrorisme. En coulisses, le cabinet Sarkozy et Ziad Takieddine négocient en secret des contrats commerciaux, plus ou moins avouables.
Main dans la main avec le cabinet Sarkozy, Ziad Takieddine sera ainsi le principal négociateur pour la société française Amesys de la vente de matériel d’espionnage du net libyen. L’homme d’affaires touchera via des sociétés offshore plus de 4 millions d’euros de commissions occultes sur ce marché conclu en avril 2007 (voir les preuves ici).
À peine élu à la présidence de la République, Nicolas Sarkozy est allé jusqu’à offrir une collaboration quasi inconditionnelle au régime libyen dans les domaines du nucléaire et de l’armement, contrairement à ce qu’il n’a cessé d’affirmer après. C’est ce qui ressort notamment de la retranscription d’un échange téléphonique du 28 mai 2007 entre le tout nouveau chef de l’État français et le colonel Kadhafi.
Quelques semaines plus tard intervient à Tripoli, dans des conditions qui demeurent toujours mystérieuses, la libération des infirmières bulgares. L’ancienne épouse du président, Cécilia Sarkozy, avait été envoyée en première ligne, sur fond de tractations financières avec le Qatar. « Il fallait piger qui était Kadhafi. Il n’y a qu’une femme qui peut faire cela ! » confiera, énigmatique, quelques semaines plus tard Cécilia Sarkozy à la journaliste Anna Bitton pour son livre Cécilia (Flammarion).
En décembre 2007, la France offrira finalement au dictateur libyen ce qu’aucune autre démocratie n’avait fait jusqu’ici : un accueil royal. À la clé, une virginité internationale qui était convoitée de longue date par Kadhafi. Dans un câble diplomatique rendu public par Wikileaks, l’ambassadeur des États-Unis à Paris, Craig R. Stapleton, s’étonnait dès le mois de juillet 2007 de la « lune de miel » Sarkozy/Kadhafi, trop chargée d'arrière-pensées financières.
Objectif corruption
Ziad Takieddine vend la mèche dans une note du 6 septembre 2005. D’après les déclarations qu’il a faites au juge Van Ruymbeke, l’intermédiaire a remis en mains propres le document à Claude Guéant, qui s’apprêtait alors à décoller pour Tripoli afin de préparer la venue en Libye de Nicolas Sarkozy un mois plus tard. « La visite préparatoire est inhabituelle, écrit Takieddine. Elle doit revêtir un caractère secret. Il sera préférable que CG se déplace seul et que le déplacement s’effectue sans fanfare. L’autre avantage : plus à l’aise pour évoquer l’autre sujet important, de la manière la plus directe… »
En mars puis en avril 2012, Mediapart révélera plusieurs documents et témoignages évoquant un feu vert de Tripoli, donné en décembre 2006, pour le versement de 50 millions d’euros à l’occasion de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. L’ancien président français, qui n’a pas poursuivi Mediapart en diffamation, a déposé une plainte pour « faux » et « usage de faux » – l’enquête est toujours en cours. D’après plusieurs témoignages recueillis ces dernières semaines, une partie de l’argent noir aurait transité par des banques libanaise et allemande.
Mais trois jours après avoir contacté le juge Van Ruymbeke, par l’intermédiaire de l’un de ses avocats français, Me Marcel Ceccaldi, pour lui faire part de révélations sur « des financements de campagnes électorales et des questions d’enrichissement personnel », l’ancien premier ministre a été extradé, en juin dernier, en pleine nuit, de Tunisie vers la Libye. Une extradition qui a suscité la polémique, celle-ci s’étant déroulée sans l’autorisation obligatoire du président tunisien, Moncef Marzouki.
Interrogé le 18 juillet lors d’une conférence de presse à l’Élysée, François Hollande a déclaré qu’il « regrettait » cette extradition, ajoutant : « Il y avait sûrement des informations à obtenir qui seraient utiles pour connaître un certain nombre de flux. »
Depuis la défaite électorale de Nicolas Sarkozy en mai dernier, les langues semblent se délier jusqu’au sommet du nouvel État libyen. En septembre, à la question d’une journaliste du Point sur un éventuel financement de Nicolas Sarkozy par le régime Kadhafi, le président libyen, Mohamed Youssef el-Megarief, a répondu : « Cela ne me paraît pas impossible. »
La guerre, du jour au lendemain
La chronologie intrigue. Le 10 mars 2011, en pleine révolution libyenne, Mouammar Kadhafi affirme, menaçant, via l'agence officielle Jana, « qu’un grave secret va entraîner la chute de Sarkozy, voire son jugement en lien avec le financement de sa campagne électorale ». Le 16 mars 2011, Saif al-Islam Kadhafi, son fils, évoque l’existence de documents : « Il faut que Sarkozy rende l'argent qu'il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C'est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. »
Le 17 mars, Nicolas Sarkozy obtient une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU autorisant une intervention militaire en Libye.
Comment est mort le dictateur ?
Depuis la chute du régime Kadhafi, deux questions majeures n’ont toujours pas trouvé de réponses précises : 1) La France a-t-elle outrepassé le mandat de l’ONU, qui prévoyait exclusivement une protection des civils ? 2) Comment est mort l’ancien dictateur libyen ?
D’après lui, il faudrait « regarder un peu plus en détail les fréquentes visites de Cécilia Sarkozy en Libye. Selon mes informations, les paiements n’ont pas eu lieu d’un coup, mais de manière partielle, notamment au travers de Nouri Mesmari, l’ancien chef du protocole du régime Kadhafi ».
De son côté, l’ONG Human Rights Watch (HRW) a publié, le 17 octobre, un rapport détaillé contredisant la version officielle sur la mort de Kadhafi, selon laquelle il serait décédé après des échanges de tirs entre rebelles et le convoi qui le transportait. HRW affirme aujourd’hui avoir recueilli « les preuves, avec certitude, que Kadhafi a bien été capturé vivant par les miliciens de Misrata ». Et qu’il a par conséquent été exécuté après.
« Qu'il y ait des hommes du renseignement sur le terrain c'est probable, mais des hommes dont la mission était d'exécuter Kadhafi, absolument rien ne le prouve », a nuancé Jean-Marie Fardeau, le directeur français de HRW au site de la chaîne TV5 Monde.
La fuite de Bachir Saleh, l'homme qui en sait trop
Tous les témoins de premier plan des relations incestueuses entre Sarkozy et Kadhafi sont aujourd'hui réduits au silence ; morts, en fuite ou emprisonnés. Kadhafi a été exécuté. Son ancien premier ministre Baghdadi al-Mahmoudi est en prison, sans avocat, à Tripoli, après avoir été extradé dans d’étranges conditions.
L’ancien chef des services secrets intérieurs, Abdallah Senoussi, point de contact entre les sarkozystes et Ziad Takieddine, a lui aussi été récemment extradé de Mauritanie vers la Libye. Citant une source « haut placée dans le renseignement arabe », l’agence Reuters présentait en mars dernier Senoussi comme « le principal témoin de la corruption financière et des accords qui ont impliqué de nombreux dirigeants et pays, dont la France ».
Saïf al-Islam est toujours détenu par les miliciens de la ville de Zentane, au nord-ouest de la Libye, où son procès a été repoussé sine die. Chokri Ghanem, l’ancien ministre du pétrole et bonne connaissance de Ziad Takieddine, a pour sa part été retrouvé noyé dans le Danube, à Vienne, le 29 avril.
Capture d'écran de la notice Interpol Mais l’un des principaux acteurs de la « lune de miel » franco-libyenne fut le directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, Bachir Saleh, par ailleurs dirigeant du Libya Africa Investment Portfolio (LAP), la boîte noire de l’ancien régime pour la corruption internationale.
Pourtant visé par une “notice rouge” d’Interpol (qui équivaut à un mandat d’arrêt international), Bachir Saleh a été protégé pendant de longs mois après la chute de Tripoli par le précédent gouvernement français, qui lui a offert en moins de 48 heures un permis de séjour...
Au lendemain des révélations de Mediapart sur un financement occulte, Bachir Saleh, toujours recherché par Interpol, courait ostensiblement les brasseries parisiennes, où il s’est fait photographier par Paris Match. Mais en pleine polémique, Nicolas Sarkozy a affirmé le 2 mai au micro de RMC que « si (Bachir Saleh) est recherché par Interpol, (il) sera livré à Interpol ».
Le message fut entendu. Le lendemain, Bachir Saleh était vu, au pied du pilier Est de la tour Eiffel, en présence de l’intermédiaire Alexandre Djouhri et de… l’ancien chef de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), Bernard Squarcini, selon une enquête fouillée des Inrockuptibles. Quelques heures plus tard, Bachir Saleh quittait la France à bord d'un avion privé. Avec tous ses secrets et sans être arrêté.
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Elle fait et défait sans concertation des gouvernements...Pourquoi se gêner, elle est chez elle... si ça, ce n'est pas l'attitude caractéristique d'un suzerain envers son vassal, et donc d'un Empire envers ses sujets , qu'est-ce que c'est d'autre ?
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Vidéo : révélations de Ziad Takieddine sur l'affaire Syrie Sarkozy Kadhadi financement etc...
Takieddine balance: Les 400 millions d'€ de Kadhafi, la guerre en Libye, le rôle du Qatar etc... Du Lourd ! Sarkozy un Gangster et un Assassin ? "La France est un Etat mafieux"
Bref il n'y va pas avec le dos de la cuillère là...
Citation :
Publiée le 5 janv. 2013
« On n'est pas couché » : Ziad Takieddine, l'homme d'affaires Franco-Libanais qui affirme détenir les preuves d'un financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy par la Libye en 2007, était l'invité du plateau de ONPC de Ruquier sur France 2 (5 Janvier 2013)
Pour l'homme d'affaires, plusieurs rencontres ont eu lieu entre le secrétaire particulier de Mouammar Kadhafi, Béchir Saleh, et Claude Guéant, le directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy. Béchir Saleh aurait alors rédigé des comptes-rendus de ces rencontres à destination du Guide de la Révolution.
Des documents qui seraient entre les mains du dernier Premier ministre de ce dernier, Mamouhdi Bagdadi. Ziad Takieddine aurait affirmé au magistrat que Bagdadi était disposé à fournir ces documents. L'homme d'affaires aurait également révélé avoir les preuves que le régime de Kadhafi a aidé la France par l'intermédiaire de «trois sociétés» qui auraient «bénéficié en Libye de contrats pour des prestations fictives», détaille l'intermédiaire. Une couverture leur permettant de percevoir d'importantes sommes
l’énorme menace que l’or et l’argent des réserves de Kadhafi, estimées à « 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent » auraient posé au « franc français » (CFA)
je reposte ici, cette information postée par Sandro, dans une autre file
g.sandro a écrit:
De nouveaux e-mails d’Hillary Clinton révèlent les raisons de la guerre menée par la France contre la Libye de Khadafi
un extrait qui en dit long:
agoravox a écrit:
Le plus étonnant est la longue section relatant l’énorme menace que l’or et l’argent des réserves de Kadhafi, estimées à « 143 tonnes d’or, et un montant similaire en argent » pourraient posé au « franc français » (CFA) en circulation comme monnaie africaine en Afrique francophone.
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