oui vous avez bien lu, le monsieur donne un objectif de 550 $ et vous vous réjouissez ..?
. pftt songez bien à ce que ce chiffre vaut si $ continue sa chute de LT .. inexorable
un super objectif bear de
associates ça !
550$ comme une super promesse pour 2006? il se foo de qui la?
-1-au vu du retard du gold et notamment du ratio gold / pétrole en zone bassissime ..qui donne pour objectif de simple rattrapage : once d'or à $ 700 , maintenant ! -2- on appreciera aussi le § où il est dit que le boost du gold en multidevises fortes est terminé ! puisque selon ce crapaud , gold ne fera et encore que compenser la baisse du $ et vous trouvez ça bull??
bon c'est pas grave hein .. on sait bien que tt ça est bidon vu les multiples BO gold en multi devises maintes foi signalés ici :rappel pour ceux qui auraient loupé l'épisode :
https://000999.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1693enfin comme lassonde ceo de NEM est aussi le patron du world gold council .
.. ça explique mieux ... si on peut dire !
bref un exemple parfait de la désinformatin menée par world council , cartel
et associates
_________
l'or une classe d'actif devenue trés attrayante....19/09/05
«L'or n'a jamais été une classe d'actif aussi attrayante depuis 25 ans»
ENTRETIEN. Pierre Lassonde, président de Newmont Mining, voit l'once de métal jaune à 525 dollars sous peu.
Angélique Mounier-Kuhn
Lundi 19 septembre 2005
Pierre Lassonde est président de Newmont Mining depuis février 2002, époque à laquelle le groupe de Denver (Etats-Unis) a acquis Normandy Mining et Franco-Nevada Mining, société qu'il avait fondée, pour former la première compagnie aurifère au monde. Il a été élu président du World Gold Council, organisation financée par les principales mines d'or, en mars. Invité en Suisse par Lombard Odier Darier Hentsch (LODH), Pierre Lassonde explique au Temps les raisons qui sous-tendent la remontée de l'or à ses plus hauts niveaux depuis 17 ans.
Le Temps: Après deux décennies de purgatoire, l'or en est à sa cinquième année de progression, soit une hausse de 75% depuis son point bas de 256,75 dollars l'once de février 2001. Quelles sont les perspectives du marché?
Pierre Lassonde: Il faut avoir à l'esprit certaines grandes tendances. La production a chuté de 5%, en 2004 et devrait reculer cette année de 1% puis encore de 1% en 2006. On est en train de payer le prix du très bas niveau atteint par les cours dans les années 1999, 2000, 2001. Lorsque l'or valait 250 dollars l'once, les budgets d'exploration ont été saignés à vif et il n'y a pas – ou peu – de nouvelles découvertes à mettre en production aujourd'hui. En outre, le temps de réaction entre une découverte et sa mise en production est passé de quatre-cinq ans à sept-dix ans en raison de l'allongement de la durée d'obtention des permis (trois à quatre ans dorénavant), temps auquel il faut ajouter celui de la construction (deux à trois ans). Même si le prix atteignait 1000 dollars l'once demain, il n'y aurait pas plus d'or disponible.
De plus, dans les années 1980, une poussée de nouvelles technologies a permis un accroissement important de la production, passée de 1300 tonnes par an à 2500 tonnes aujourd'hui. D'autant qu'avec la défaite du communisme et l'ouverture de l'Afrique et de l'Amérique latine, les grandes compagnies aurifères ont eu le champ libre pour exploiter leurs découvertes.
Aujourd'hui, c'est tout le contraire qui se produit: il n'y a pas de nouvelle technologies en vue et le monde se referme. L'Amérique est devenue plus instable politiquement et partout les gouvernements parlent d'introduire de nouvelles r oyalties sur la production d'or. Tous ces facteurs rendent l'investissement beaucoup moins attrayant et la production continuera de baisser dans les deux ou trois prochaines années.
– Comment évolue la demande?
La demande mondiale de l'or a augmenté de 13,7% (hors banques centrales) au deuxième trimestre 2005 par rapport au deuxième trimestre 2004, tirée par la demande de la bijouterie qui a atteint 38 milliards de dollars, un record. Particulièrement dynamique, la demande de l'Inde a bondi de 47% au deuxième trimestre 2005 en glissement annuel. La demande est également très forte au Moyen-Orient en raison de l'envolée de recettes pétrolières et elle progresse de 15 à 17% en Chine grâce à la croissance économique.
D'après ces fondamentaux de l'offre et de la demande, l'or n'a jamais été dans une aussi bonne situation depuis 25 ans.
– L'once cote 459 dollars. Avez-vous un objectif de cours?
Nos projections sont très claires: l'once d'or devrait atteindre 525 dollars en janvier prochain. Sous condition que l'économie mondiale continue à croître au même rythme qu'aujourd'hui (3,5%), puisque la demande primaire est avant tout déterminée par la croissance économique, l'once se stabilisera ensuite dans une fourchette de plus ou moins 25 dollars autour de ces niveaux.
– Ceci sous-entend une accélération de la hausse du cours de l'or?
Oui, c'est une chute du dollar qui la déclenchera. L'essentiel de sa dépréciation contre l'euro a déjà eu lieu. Les devises asiatiques sont à leur tour sur le point de prendre leur essor. Même si cet essor a été modeste, la Chine a fait le premier pas. On ne sait pas encore quel événement (la crise pétrolière) va cristalliser la chute de confiance dans le dollar. Mais, alors que le déficit du compte courant américain atteint 700 milliards de dollars, il est vraisemblable qu'il se produise dans les six mois. Et si l'on s'en fie à l'histoire, ce jour-là, l'or montera en flèche. Sans décourager la demande pour autant puisque cette progression sera contrebalancée par l'appréciation contre le dollar des devises des pays où la demande est forte.
– L'or semble avoir retrouvé la faveur des investisseurs?
Oui, et ce d'autant que le World Gold Council a lancé en fin d'année dernière une famille d'ETF (ndlr: fonds indiciels cotés), alternative facile aux lingots et aux valeurs minières pour s'exposer à l'or. Ces ETF ont permis à toute une catégorie d'investisseurs (notamment les institutionnels américains) qui ne peut pas acheter de l'or physique d'en ajouter dans leurs portefeuilles. A ce jour, l'investissement sous forme d'ETF totalise 3,74 milliards de dollars. D'abord lancés en Australie, Londres et New York, ces ETF devraient voir le jour en Afrique du Sud puis à Francfort et Dubaï, autorisant les transactions 24 h sur 24 et 7 jours sur 7. Dans les cinq à dix prochaines années, cet instrument va faire de l'or une devise alternative au dollar, à l'euro ou au yen.
Les actions aurifères recommencent à scintiller
Les minières cotées devraient enfin profiter de la reprise de l'or.
Angélique Mounier-Kuhn
Non, l'or n'est pas cette «relique barbare» décriée par Keynes. Depuis fin août, c'est même la ruée: vendredi, sur le marché des futures, l'once d'or pour livraison décembre a touché les 464 dollars sur le NYMEX, son plus haut depuis 1988. «Contrairement à 2003 ou 2004, l'or s'apprécie contre toutes les monnaies. C'est un vrai marché haussier», se félicite Jean-Bernard Guyon, gérant chez Global Gestion à Paris. «Les investisseurs redoutent que l'inflation, cantonnée jusque-là à l'énergie, se diffuse au reste de l'économie», explique-t-il. Une appréhension attisée par l'ouragan Katrina. «Ce genre de crainte déclenche un réflexe: sortir de l'obligataire et diversifier ses placements.» De l'avis de tous les spécialistes, la tendance à l'appréciation de l'or est durable (lire aussi en p.20). Les sociétés aurifères cotées, dont les performances sont décevantes depuis deux années, vont-elles enfin profiter de cet engouement?
«D'abord rampante, la déconnexion entre les aurifères et l'or s'est accentuée entre novembre 2004 et mai 2005», rappelle Jean-Bernard Guyon. En cause, la forte augmentation des coûts de production qui a comprimé les marges bénéficiaires du secteur, incapable de profiter de la hausse du métal jaune. «Avec l'envolée du pétrole, l'énergie représente 25% des coûts contre 15% il y a deux ans», commente Pierre Lassonde. L'ouverture prochaine de quatre nouvelles mines (Etats-Unis et Ghana) et la mise en œuvre d'une centrale électrique dans le Nevada devraient permettre à Newmont d'abaisser ses coûts moyens de 20 dollars l'once par année. «D'ici un an ou deux, nos actionnaires verront le plein effet de cette rentabilité améliorée», avance le président de Newmont.
Jouissant de valorisations dorénavant raisonnables, le secteur retrouve donc son attrait spéculatif caractérisé par son fameux effet levier: à coûts constants, la marge bénéficiaire augmente avec le cours de l'or. C'est précisément «l'évolution des coûts de production qui sera l'élément clé», avertit Cyrille Urfer, responsable de la multigestion chez LODH. Selon lui, les petites et moyennes valeurs du secteur jouissent des valorisations les plus attractives. Un segment d'autant plus séduisant qu'il a toujours été le terrain de manœuvres de consolidation. Les sociétés minières «juniors» découvrent 30 des gisements, suscitant de ce fait alliances et intérêt des prédateurs.
A la tête de 2 milliards de dollars de liquidités, Newmont est toujours à l'affût d'opportunités. «Les sociétés juniors ont récolté énormément de capitaux en 2004. Dans deux à trois ans, lorsque ces levées se concrétiseront par de nouvelles découvertes, le secteur redeviendra très actif», pronostique Pierre Lassonde.
Newmont Mining
Angélique Mounier-Kuhn
Avec 8 à 9% de la production totale d'or, Newmont est la principale société aurifère au monde. Fondée à en 1921, elle est cotée à New York depuis 1925 et est la seule à figurer dans le S & P 500.
Les deux tiers de sa production et de ses réserves (92,4 millions de onces) proviennent de pays du «premier monde», explique Pierre Lassonde, à savoir les Etats-Unis, le Canada et l'Australie. Une spécificité, «une force» selon le président de Newmont, qui la distingue de ses concurrentes au profil de production «plus risqué» puisque davantage exposées aux pays émergents.
Ses coûts de production moyens devraient être compris entre 240 et 250 dollars l'once et ses ventes atteindre 6,6 à 6,8 millions d'onces cette année (contre 7 millions en 2004).
Newmont consacrera 180 millions de dollars à l'exploration en 2005. Ses bénéfices après impôts ont atteint 443 millions de dollars pour un chiffre d'affaires de 4,5 milliards l'année dernière.
source le temps 20/09/05
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