Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
-Editaux Or et Argent métal -Cotations et graphes -Convertisseurs et lexiques-Futures -Recherches et travaux sur le marché de l'or -Sites des WGC et consorts
il semble que Syrisa obtiendrait la majorité absolue : 151 sièges ,
ça va être le moment de vérité, pour ce parti qui prétend lutter contre l'austérité, sans sortir de l'euope, ( et de l'euro ),
pour mémo, le 11 janvier dernier,
Citation :
Il est clair de tout point de vue que le sujet d'une sortie de la Grèce de l'euro n'existe pas", a souligné Alexis Tsipras, le leader de Syrisa en tête dans les intentions de vote pour les élections du 25 janvier. " source :la tribune
Comme disait Sandro, sur notre page FB
Citation :
Tout ça pour ça...!!! Faux rebelle Poutouxis Besançennas ? Nicos Melanchonaignantos ou Juanes Lucas Dupontaignanchonis ?
Ceci étant dit, la donne a encore changé avec le hold up Draghi du 22 janvier et son QE de 1000 milliards de $, avec des modalités que l'allemagne va fort probablement remettre en cause
et la surprise ne viendra pas forcément du coté où on l'attend n81
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
2 février 2013; Tsipras, chef de la pseudo-gauche grecque, passe un entretien d’embauche devant le ministère des Affaires étrangères américain et le FMI
Et l'article original serait du 26 janvier 2013 ? Daté du 2 février 2013?
WSWS a écrit:
Tsipras, chef de la pseudo-gauche grecque, passe un entretien d’embauche devant le ministère des Affaires étrangères américain et le FMI Par Bill Van Auken 2 février 2013 Avec l’aggravation de la crise grecque, le chef du parti d’opposition SYRIZA (Coalition de la gauche radicale) est venu aux Etats-Unis cette semaine pour des réunions à huis-clos avec les représentants du ministère des Affaires étrangères et du FMI, ainsi que pour une série d’apparitions en public. Pendant que le gouvernement grec du Premier ministre Antonis Samaras utilisait des méthodes dignes d’un Etat policier pour briser une grève des travailleurs du métro, Tsipras s’est servi de son voyage pour dire aux représentants américains et à ceux du FMI qu’ils n’auraient rien à craindre s’il arrivait au pouvoir. Les derniers sondages indiquent que SYRIZA et Nouvelle démocratie, le principal parti du gouvernement de coalition entre conservateurs et socio-démocrates, sont pratiquement au coude-à-coude. Avec 27 pour cent des voix aux dernières élections, SYRIZA représente le principal parti d’opposition, et avec une colère populaire qui monte contre les mesures d’austérité sans fin et le chômage de masse, il est tout à fait possible qu’il arrive premier aux prochaines élections. Tsipras a consacré sa tournée américaine à rassurer la classe dirigeante américaine sur le fait que si cela se produisait, elle pourrait compter sur lui et SYRIZA pour servir de pilier de la stabilité du capitalisme, qu’il œuvrera à supprimer les élans révolutionnaires de la classe ouvrière grecque. « J’espère vous avoir convaincu que je ne suis pas aussi dangereux que certains le croient, » a obligeamment déclaré Tsipras devant l’assistance rassemblée par le groupe de réflexion Brookings Institute de Washington. Mercredi, Tsipras a participé à des négociations au ministère des Affaires étrangères avec l’adjoint du ministre des Affaires étrangères Eric Rubin, responsable des questions liées à la Grèce, la Turquie, Chypre et le Caucase, ainsi qu’avec Christopher Smart, l’adjoint du ministre des Finances pour l’Europe et l’Eurasie. Jeudi, le chef de SYRIZA a rendu visite au siège du Fonds monétaire international, y rencontrant son numéro deux, David Lipton, le premier directeur adjoint de l’agence. Après la réunion de Tsipras au FMI, l’agence a publié un bref communiqué qui reconnaît que Lipton et le dirigeant de SYRIZA « ont eu une discussion constructive et sincère sur les défis économiques auxquels la Grèce est confrontée. » Le ministère des Affaires étrangères n’a toujours pas publié de communiqué sur sa réunion avec Tsipras. Pour sa part, SYRIZA affirme que, bien qu’il y ait « des accords et des désaccords, » la réunion au ministère des Affaires étrangères a révélé une « évaluation commune » sur le fait que la poursuite de l’austérité n’était pas la réponse à la crise économique grecque. Il a été dit que Tsipras avait assuré aux représentants américains qu'il croyait que la Grèce avait un « rôle important » à jouer pour assurer la stabilité internationale et qu'elle mènerait une politique internationale s’appuyant sur « la durée et la cohérence. » Dans d’autres remarques, Tsipras a défendu le maintien de la Grèce dans l’OTAN. Tsipras a pris la parole devant plusieurs auditoires aux Etats-Unis. Son discours le plus important, prononcé mardi à Washington à l’institut Brookings, s’adressait clairement à la classe dirigeante américaine. (La transcription intégrale en anglais est disponible ici). « Y a-t-il une raison valable pour que quelqu’un craigne la gauche en Grèce aujourd’hui ? » a demandé Tsipras à son auditoire au milieu de ses remarques de mardi. « J’ai entendu la personne qui s’exprimait avant moi dire que je représente la gauche radicale [c’est la traduction du nom de son parti, ndt]... Mais en quoi sommes nous réellement radicaux ? Les alarmistes vous diront que notre parti va arriver au pouvoir, déchirer nos accords avec l’Union européenne et le FMI, faire sortir notre pays de la zone euro, rompre tous les liens de la Grèce avec l’occident cultivé – civilisé, puis transformer la Grèce en une nouvelle Corée du Nord. » Il assuré à ses auditeurs que le « but [de SYRIZA] est de sauver le pays et de maintenir le pays dans la zone euro. » Sa principale proposition, à laquelle il a fait référence à plusieurs reprises dans ses remarques, est, pour reprendre ses termes, une « coupe » pour les créanciers publics de la Grèce, principalement la Banque centrale européenne (BCE) et les pays de la zone euro, similaire à l’annulation partielle de la dettes imposée aux banques et aux prêteurs privés en octobre 2011 qui a réduit de moitié les intérêts attendus des emprunts grecs. Les remarques de Tsipras montrent clairement que SYRIZA n’a aucune intention de répudier la dette grecque ou de déchirer l’accord sur les mesures d’austérités passé entre Athènes et ce que l’on appelle la troïka (Commission européenne, FMI, et BCE), ils veulent simplement en renégocier les termes. Tsipras s’est vu demander par un des membres du public pourquoi le peuple grec devrait s’attendre à quelque chose de différent de la part de SYRIZA par rapport à ce que fait le Premier ministre Samaras « qui était initialement opposé à l’accord et qui maintenant le soutient. » « Nous nous sommes accoutumés au fait de voir des politiciens qui disent une chose... avant d’être élu et une chose différente une fois au pouvoir, » a-t-il répondu, « comme vous le voyez, nous ne disons que des choses auxquelles nous croyons et que nous allons essayer d’appliquer. Nous ne disons rien de complètement fou. » En fait, SYRIZA a obtenu 27 pour cent des voix l’an dernier en s’appuyant sur sa promesse d’inverser toutes les précédentes coupes du gouvernement Grec et de revenir sur l’accord. Comme l’ont démontré les commentaires de Tsipras à Athènes, ce parti n’a aucune intention de faire quoi que ce soit de ce genre. La rhétorique anti-coupes ne vise simplement qu’à détourner la colère des travailleurs grecs vers des voies sans danger pour le capital. Au sein de la classe dirigeante à Washington, il y a eu des déclarations d’approbation pour la performance de Tsipras aux Etats-Unis, laquelle a été accueillie comme un virage à droite supplémentaire de la part de SYRIZA. « Ce voyage montre l’évolution continue de son profil politique, de plus en plus socio-démocrate, » a déclaré Domenico Lombardi, un partenaire influent du Brookings Institute et ancien représentant de l’Italie au Conseil d’administration du FMI, au Wall Street Journal. Lombardi, toujours d’après le Journal, a dit que la tournée américaine de Tsipras « souligne le passage de SYRIZA à une position plus équilibrée, politiquement mature, qui pourrait rassembler plus de soutien en Grève et est plus acceptable vue de l’étranger. » Un article affiché sur le site Web de l’institut Brookings déclare également : « Dans un pays où les gauchistes ont historiquement étés incendiaires, prompts à la violence, et agressivement anti-américains, M. Tsipras se révèle chaleureux, courtois, pragmatique et pressé d’entendre le point de vue américain. [...] Il a parlé chaleureusement des appels à la justice sociale lancés par le président Obama lors de son discours d'investiture. » Effectivement, dans son discours de mardi, il a loué la politique du gouvernement Obama et du conseil de d’administration de la Banque fédérale américaine, tout en donnant une image édulcorée de la situation sociale aux Etats-Unis. « L’une des choses que je remarque ces deux derniers jours que j’ai passé aux Etats-Unis [...] c’est que l’Amérique est un pays qui ne se trouve pas dans un état de dépression comme l’est la Grèce, » a-t-il dit. « Je n’ai vu aucun commerce fermé. Je n’as vu aucun visage triste. Je n’ai vu aucun signe de désespoir nulle part. L’Amérique a échappé à la misère après 2008. » Dans son intervention à l’Université Columbia de la ville de new York jeudi soir, Tsipras n’a présenté qu’un visage légèrement plus « à gauche », tentant de gagner le soutien de son public en insistant sur la montée des forces fascistes en Grèce, organisées au sein du parti d’ultra-droite Aube dorée (Chryssi Avghi). Il a appelé son auditoire à se joindre à SYRIZA dans sa tentative « d’ériger un pare-feu de démocratie contre le fascisme et le néonazisme. » La réalité politique est que le double langage des éléments de la pseudo-gauche comme SYRIZA, qui dénoncent l’austérité dans leurs discours tout en soutenant la stabilité capitaliste et l’Union européenne en pratique, alimente la croissance d’Aube dorée, permettant aux fascistes de se présenter comme l’opposant combatif de l’UE, des banquiers et du monde politique dont SYRIZA fait partie. (Article original paru le 26 janvier 2013)
Silver is king, Go Gold ! G.Sandro pas de copier collé: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Et l'article original serait de janvier 2013 ? Daté du 2 février 2013?
Très interessant cet article !
ben oui , Sandro, on ne peut pas être plus clair: article original du 26 janvier 2013, traduit de l'anglais, le 2 fév 2013 Ainsi, on a les 2 dates ( la date de l'article original, et celle de la publication en français)
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Contrairement à Asselineau, Sapir prend " très au sérieux", le leader de Syriza, son analyse reste néammoins très interessante sur la partie d'échecs qui va se jouer entre Merkel et l’équipe d’Alexis Tsypras, le tout arbitré par Obama, la France et son fromage de Hollande, restant totalement à l'écart de ces tractations
L'analyse est, en effet, assez divergente à ce stade précoce, mais pas du tout incompatible sur le fond... En outre, s'il est une phrase qui pourra étayer la convergence des points de vue, c'est bien celle-ci:
J.Sapir a écrit:
On sait que Barack Obama a convoqué Angela Merkel à Washington pour le 9 février[8]. Au menu de cette rencontre, il y aura bien entendu le problème grec. Notons que cela montre l’engagement constant dans des Etats-Unis dans les affaires européennes. Tous ceux qui braillent que l’Euro devait nous donner une indépendance par rapport au Dollar feraient bien de méditer sur le sens de cette rencontre. La politique « européenne » se décide largement à Washington.
Le choix du mot "convoqué" et pas "invité"ne saurait être fortuit et traduit bien l'évidence de la relation Suzerain à Vassal et non, partenaire à partenaire...
Silver is king, Go Gold ! G.Sandro pas de copier collé: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
captain economics / l'ELA: très bien explicité Voilà le programme :
rappel du fonctionnement des opérations de refinancement de la BCE, expliquer le principe des collatéraux et les critères d'éligibilité des actifs, voir si les banques grecques vont mourir dans d'atroces souffrances.
Quoique l'on pense d'Alexis Tsypras, ce qui se joue en ce moment, devrait ouvrir les yeux à nos concitoyens, sur la réalité totalitaire de l'union européenne,
- on avait déjà vu les toutes récentes déclarations de Juncker "« il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens. » - on se souvient évidemment comment le vote démocratique du Non à la constitution européenne, a été bafoué " démocratiquement", nous disent les européistes
- l'issue tout aussi "démocratique" du chantage de la BCE contre le peuple grec, devrait enfoncer le clou : Nous devrions être de plus en plus nombreux, en Europe, à souhaiter le retour à la souveraineté nationale, et à la fin du diktat de l'union européenne
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Oui Marie, on ne peut que le constater jour après jour, l'UE est une dictature qui ne dit pas son nom mais qui utilise en toutes les méthodes ...
Je me permets d'en rappeler deux autres exemples :
J'adore le tout dernier mot d'Asselineau dans cette vidéo :
Citation :
Comme vous le voyez, l'Union Européenne, c'est une démocratie bien "tempérée".
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Hollande n'a pas peur des contradictions, et celle ci est de taille :
Citation :
L’Eurogroupe, et la France avec, veut donc mettre la Grèce à genoux. François Hollande ne dit pas autre chose : après avoir rappelé l’évidence - « s’il n’y avait pas de changement lié à une alternance, pourquoi les électeurs continueraient à voter ? L’Europe ne peut pas être une contrainte, une obligation de faire une seule politique », il tire immédiatement la conclusion inverse : « mais il y a une obligation et la France s’y soumet, parce que c’est la vie commune, parce qu’il faut respecter les règles. » (Conférence de presse, Bruxelles, 12/02).
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Le gouvernement grec a cédé beaucoup de terrain dans sa demande de financement de six mois. Mais l'Allemagne veut pousser son avantage.
Citation :
Lorsque l'on a commencé à boire la coupe, il faut aller à la lie. Voici, en substance, la réaction de l'Allemagne à la demande de financement qu'a déposé, ce jeudi 19 février, le gouvernement hellénique auprès du président de l'Eurogroupe, le ministre des Finances néerlandais Jeroen Dijsselbloem.
On vérifie, à quel point les pronostics de l'UPR sont une fois de plus validés, et malheuresement c'est une très mauvaise nouvelle, et pas que pour les Grecs, que l'intransigeance de la Troika, ET AUSSI la duperie de Syriza -pourraient pousser dans d'autres bras fort peu recommandables...
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Cinq ans déjà que les États en crise de la zone euro vivent les affres du surendettement. Pour obtenir les prêts dont ils ont besoin d’urgence, il leur faut se soumettre aux exigences – les fameux mémorandums – de trois institutions phares qui forment la troïka : le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne (CE) et la Banque centrale européenne (BCE). Les mesures d’austérité qu'elles ont imposées n’ont jusqu’à ce jour pas eu les effets positifs escomptés, bien au contraire. Ce sont des hauts fonctionnaires, agissant sans aucun contrôle parmementaire, qui prennent les décisions, que les gouvernements doivent ensuite exécuter. Pour mieux comprendre ce processus, le journaliste économique allemand Harald Schumann (auteur de Quand l'Europe sauve ses banques, qui paye ? diffusé par ARTE en 2013) s’est rendu en Irlande, en Grèce, au Portugal, à Chypre, à Bruxelles et aux États-Unis. Au cours de ce passionnant travail d’investigation, il a interrogé des ministres, des économistes, des avocats, des banquiers, des victimes de la crise, ainsi que le Prix Nobel d'économie 2008, Paul Krugman, qui explique pourquoi cette politique de restriction ne fonctionne pas.
conférence d'Athènes : sortie de velours de l'euro
Compte rendu de la conférence, organisée par The Economist à laquelle il a participé, par J Sapir, où l'on a discuté très ouvertement d'une sortie " amicale " de l'euro, le "friendly GREXIT", évoqué tout récemment par Valéry Giscard d'Estaing
Hier à 21:42 par g.sandro
» Energies "propres" et renouvelables, batteries, véhicules électriques, fil dédié.
Jeu 28 Nov 2024 - 14:56 par g.sandro
» WORLD WAR III ? je suis vert de rage d'ouvrir ce fil dédié, on serre les miches: on commence avec Gerald Celente
Jeu 28 Nov 2024 - 14:31 par g.sandro
» CDE / Coeur Mining
Dim 24 Nov 2024 - 17:22 par andre171
» COMSTOCK MINING Inc. (NYSE : LODE) Fil dédié:
Sam 2 Nov 2024 - 6:05 par g.sandro
» Les Podcast et interviews de David Brady, Sprott, Rick Rule, Katusa, Bix Weir, etc...SILJ (Hardin mini-fonds Silver Juniors et Royalties)
Lun 28 Oct 2024 - 23:33 par g.sandro
» Uranium /minières uranium
Lun 28 Oct 2024 - 14:57 par g.sandro
» a quoi joue la Russie ..
Sam 26 Oct 2024 - 19:45 par g.sandro
» TREASURY METALS PFS publiée edit: *NB: TML est devenue NEXTGOLD (NXG)
Sam 26 Oct 2024 - 18:50 par g.sandro