Pourquoi et comment investir dans l’or et l’argent ? Plus qu’un placement d’opportunité, il s’agit avant tout de sécuriser le pouvoir d’achat de votre épargne contre l’érosion monétaire et les conséquences de la crise systémique mondiale, tout en déjouant les pièges que réserve le marché de l’or et de l’argent, à l’investisseur non averti.
-Editaux Or et Argent métal -Cotations et graphes -Convertisseurs et lexiques-Futures -Recherches et travaux sur le marché de l'or -Sites des WGC et consorts
Ce qu'il faut rajouter c'est que l'iode-131 est un isotope de l'iode très radioactif, en raison de sa période de désintégration courte (8 jours, ça veut dire qu'il perd la moitié de sa radioactivité restante tous les 8 jours). La contrepartie, c'est que cette dangerosité décroît rapidement : sa radioactivité est divisée par 1000 tous les 80 jours. calcul ==> 0,5 puissance 10 = 0.001 environ (c-à-d 10 périodes où l'activité est divisée par 2)
Donc, pas de panique, pas de raison de déclencher un plan ORSEC. Néanmoins, il serait bon d'investiguer et de savoir d'où ça vient ...
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
J'ai un pote qui dit souvent "corrélation ne vaut pas causalité"
je m'empresse de la glisser à la personne qui est à côté de moi quand je lui fais part du graphique... sans préciser que je l'ai pompée à mon pote Imhotep...
(et en lisant, je retrouve cette formulation dans l'article) je le signale derechef à mon interlocutrice...qui semble avoir été impressionnée
Bon, ok, ce n'est pas très éthique, mais c'est zététique...
Silver is king, Go Gold ! G.Sandro pas de copier collé: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Dernière édition par g.sandro le Mer 1 Mar 2017 - 23:54, édité 1 fois
malgrès tout le respect que j'ai pour Imhotep, je ne peux que m'indigner du choix de cet extrait d'un article qui s'attache précisément à démontrer l'absurdité du graphique rapporté ici. Plutôt que de rentrer dans une discussion inutile, je me contenterai de rapporter d'autres extraits du même article qui se suffisent en eux-mêmes :
1er extrait :
"Malgré la corrélation, on sera sceptique, et à juste titre, à l’idée que la consommation de produits bio cause l’autisme. Or, ceux qui pensent que l’on est au milieu d’une épidémie d’autisme en accusant leur coupable favori n’ont bien souvent pas plus de preuves à faire valoir qu’une simple corrélation temporelle comme pour les produits bio. Or, on ne rappellera jamais assez que corrélation n’est pas causalité."
2nd extrait (qui explique ma précédente réponse, vécu personnel) :
"Au fur-et-à-mesure, le progrès des connaissances et l’évolution des mentalités ont radicalement changé la prise en charge des personnes atteintes d’autisme. Toujours est-il que la sensibilisation grandissante au sein de la population est l’un des éléments clés de l’augmentation du nombre de diagnostics.En effet, toutes les personnes qui entourent les enfants, que ce soit les parents ou la famille, le personnels des crèches ou les enseignants, sont aujourd’hui davantage susceptibles de penser à l’autisme face à des comportements atypiques (notamment une difficulté à communiquer) chez le jeune enfant."
3ème extrait :
"Ainsi, il est très plausible qu’une partie des individus pour qui on aurait auparavant posé un diagnostic de handicap mental sont aujourd’hui considérés comme atteints par un trouble du spectre autistique. Globalement, on estime que ce genre de substitution diagnostique est responsable d’environ un quart de l’augmentation du nombre de diagnostics. L’élargissement diagnostique au sens large permet alors de rendre compte de 60% de l’augmentation constatée."
4ème extrait (il ne s'agit pas ici de critiquer spécialement la France, tout pays ayant ses lacunes, mais quand on part de très bas, la progression fait forcément peur) :
"D’ailleurs, l’influence de la psychanalyse est souvent évoquée pour expliquer le fait que la France accuse un net retard par rapport aux autres pays développés sur la façon de considérer et de prendre en charge l’autisme. En effet, la prise en charge proposée par les écoles de pensée psychanalytique est complètement inadaptée, quand elle n’est pas tout bonnement délétère"
5ème et dernier extrait (la conclusion de l'article) :
"Pour conclure, on retiendra que la progression du diagnostic d’autisme n’est pas nécessairement liée à une réelle progression de l’autisme. L’augmentation est largement due à une surveillance accrue et à des modifications de pratiques et de critères diagnostics. Toujours est-il que la recherche se poursuit activement sur cette question, ainsi que sur les déterminants génétiques et environnementaux potentiels de l’autisme"
Cordialement.
Bilbo
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Vous avez parfaitement compris l'essence même de l'article, et c'est tout à votre honneur. Oui le graphique est absurde, c'est bien là le coeur du propos.
Sans toutefois révéler précisément le contenu de l'article, c'est exactement ce que je voulais souligner : l'absurdité de toute conclusion tirée sans aucune réflexion, du moment qu'elle sert un objectif prosélyte, souvent bancal scientifiquement. Ici, le biais mis en avant était bien sûr l'effet cigogne, bien connu à travers l'expression "corrélation ne vaut pas forcément causalité".
J'ai donc fait le choix de volontairement laisser planer le doute sur le sujet exact de l'article, un peu à la manière des articles à titre racoleur qui fleurissent de nos jours, pour laisser au lecteur découvrir par lui-même - ou confirmer ce qu'il pressentait déjà : l'absurdité d'un raisonnement hâtif basé sur une simple causalité brute. Le sujet était donc bien le biais de raisonnement, et non pas l'autisme.
J'avais le secret espoir que d'éventuelles personnes sujettes parfois à ce biais puissent en découvrir les rouages un peu "à contre-pied". Je me disais peut-être naivement que cela serait certainement plus pédagogique que le simple énoncé du problème en mode professeur.
Désolé si vous avez cru à une "fake news", ce n'était pas voulu C'était plutôt une tentative de billard à trois bandes
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Si tu es prêt à sacrifier ta liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l'une ni l'autre. En matière de complots, il y a deux pièges à éviter : le premier, c'est d'en voir nulle part ... et le second c'est d'en voir partout. A la bourse tu as deux choix : t'enrichir lentement ou t'appauvrir rapidement. J'ai dépensé 90% de mon fric en filles, boissons et bagnoles. Le reste je l'ai gaspillé
Le vaccin contre le tétanos est-il vraiment efficace ?
Le tétanos est une maladie non immunisante, on ne trouve pas d’anticorps antitétaniques chez un individu guéri du tétanos. Ceci doit nous interpeller. Comment le vaccin peut-il immuniser si la maladie elle même ne le peut pas ?
Rien de bien nouveau , mais ça fait un bien fou de le relire
Les ravages de la paranoïa australienne :
Certaines nourritures pour animaux ne subissent pas de passage à très haute température lors de leur préparation. C'est le cas notamment de la nourriture pour chiens et chats produite par la société canadienne Orijen (croquettes à base de viandes fraîches et viandes cuites à très basse température). Du coup, les australiens avaient pris pour habitude de passer ces produits Orijen, dès leur entrée en douane, aux radiations, et ce afin d'éviter tout risque d'importation de germes et parasites sur leur territoire.
Le problème avec l'irradiation (ionisation) c'est que, plus vous irradiez les aliments, plus vous les abîmez et les rendez toxiques. Or, si les aliments destinés à l'alimentation humaine sont en général irradiés à faible dose (5 à 10 kGY, faible mais pas sans conséquence comme nous le verrons plus loin), les études qui ont suivi les accidents mortels en Australie ont montré que les nourritures animales concernées avaient été passées à des doses entre 50 et 61kGY !
Pourquoi un tel niveau d'ionisation ?
La réponse est à la fois simple et terrifiante : avec l'irradiation, plus besoin de se poser de questions sur la préparation, l'acheminement et la fraîcheur de l'aliment... Le fabricant n'a pas respecté les normes sanitaires ? Un coup de rayon et aucune trace. L'aliment aura dépassé sa date limite de conservation quand il arrivera à son point de vente ? Un coup de rayon et hop ! la maturation est ralentie, voir stoppée selon les doses, et visuellement aucune trace.
Conséquences pour l'Australie ?
Tragiques, 90 chats gravement malades, 30 mourront (la majorité euthanasiés). Les maladies déclarées : ataxie (perte de coordination musculaire), paraplégie (paralysie des membres inférieurs), tétraplégie (paralysie des 4 membres), et perte de la vue. Les symptômes apparaissaient en 4 mois.
Comment ont été sauvés les 60 autres ?
Changement de régime alimentaire, soins infirmiers, physiothérapie (agir sur les fonctions physiques et la motricité) et du temps. Tous se sont rétablis au bout d'un ou deux mois de travail.
Les aliments Orijen dans tout ça ?
85 000 chats de 49 autres pays ont reçu des aliments Orijen identiques sur la même période. Aucun ne leur a infligé le traitement ionisant à l'australienne, et aucun n'a constaté de soucis sur la santé de ses chats (ou accessoirement de ses chiens). Reconnaissant que les chats ont tendance à aller piquer de la nourriture dans les gamelles de leurs compères canins, et la nourriture à destination des chiens subissant en Australie le même traitement énergétique, les responsables de la société ont d'abord rapatrié tous leurs stocks, puis ont stoppé et interdit leurs exportations de nourriture canine et féline à destination de ce pays.
Quels risques pour la santé ? Des scientifiques soulignent le manque de données fiables pour évaluer le risque réel lié à la consommation d’aliments irradiés. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’AFSSA (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) considèrent que cette technique est sans danger. Notons que les avis de l’OMS émanent du groupe d’étude mixte FAO/AIEA (Agence internationale pour l’énergie atomique)/OMS, l’AIEA ayant pour mission de promouvoir les usages pacifiques de l’énergie nucléaire ! Les avis de l’AFSSA font référence à ces mêmes travaux. Certes l’irradiation ne rend pas les aliments radioactifs. Mais des recherches montrent qu’elle entraîne une perte de vitamines dans les aliments (vitamines A, B1, C, E), pertes encore accrues du fait de l’allongement de la durée de conservation. L’équilibre microbiologique de l’aliment étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement puisque leur « concurrents » ont été éliminés : l’irradiation est inefficace face à des contaminations par toxines, virus ou prions, qui pourraient dès lors se propager dans un environnement propice. Dès les années 1960, des scientifiques ont montré que les animaux de laboratoires soumis à un régime composé d’aliments irradiés souffraient de problèmes de santé : réduction de la durée de vie, diminution du taux de globules rouges, accroissement de l’incidence du cancer, lésions intestinales, baisse de la fertilité, dommages génétiques.
C'est sur l'homéopathie, avec quelques rappels de ses principes. J'aime en particulier les interventions de Marc Henry qui est encore une fois clair et excellent - je vous avais transmis le lien sur La Mémoire de l'Eau en janvier 2017 et cela fait plaisir de voir que la recherche continue d'avancer )
Je lirai aussi comme d'habitude avec assiduité vos commentaires et compléments d'information, donc n'hésitez par à réagir.
Salutations amicales !
Xavier
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Nous avons déjà, brièvement alerté dans cette file, sur les potentiels dangers pour la santé de l'éolien industriel
Je vous invite à consulter le site de l'EPAW (European Platform Against Windfarms)
C'est un véritable réquisitoire, très documenté, sur le sujet; et pas seulement au sujet de la santé http://epaw.org/index.php?lang=fr
Les objectifs de l'EPAW
Citation :
Le 4 octobre 2008, quelques fédérations, associations et autres groupes de quatre pays européens ont fondé la Plateforme européenne contre les éoliennes industrielles (EPAW – European Platform Against Windfarms). Celle-ci compte maintenant 1473 organisations membres, de 33 pays principalement européens . Son siège est en Irlande : voir l'adresse ci-dessous, avant la liste des administrateurs.
Son objectif est de défendre les intérêts de ses membres, qui luttent :
soit contre un ou plusieurs projets éoliens spécifiques ; soit pour dénoncer l'incapacité des éoliennes industrielles à résoudre – même partiellement – les problèmes de l'homme et de la planète ; soit contre les effets néfastes qu'ont ces machines sur les personnes et sur la santé publique, ainsi que sur la faune, le paysage, le tourisme, la valeur de l'immobilier, la qualité de la vie, les incendies de forêts, l'érosion, la pollution des eaux et autres effets encore peu connus sur l'environnement ; soit contre une combinaison de deux ou plusieurs de ces effets.
Marie Pas de copier-coller: merci de faire un lien vers ce post. Suivez Hardinvestor sur Twitter et sur Facebook
Ne souhaitant pas synthétiser cette audio, car je souhaite que cet interview soit écouté en intégralité par le plus grand nombre.
Je vais donc seulement m'en tenir à la conclusion du professeur J-B Fourtillan
A savoir :
Pour protéger son cerveau des effets indésirables de l'aluminium , nous devons impérativement consommer du silicium organique et plus particuliérement un fameux G7 dont il ne cite pas la source et qui selon moi me paraît-être le silicium organique de Loïc le Ribault.
Par ce présent message, je tiens en un premier temps à remercier Nofear qui dès 2009 m'a fait découvrir le silicium organique G5 de Loïc le Ribault.
En 2013, sur les conseils pertinent de Nofear, j'ai stoppé ces prises de silicium organique au motif que le principe actif ( silicium organique) présent dans la bouteille de Loïc le Ribault était présent en très faible quantité et surtout très peu assimilable.
J'ai donc entrepris des recherches et constaté que seul la prêle (une plante) était en mesure de me fournir ma dose journalière de silicium organique disponible pour mon organisme. ( jusqu'à ce jour, je n'ai pas trouvé mieux)
Au motif que :
La silice fait partie du règne des minéraux et que dans se règne seul les fruits, légumes et plantes sont en mesure de nous les fournir en mode assimilable à 100%. Ce qui est tout sauf le cas de tout les minéraux que l'on peut acheter en pharmacie ou dans les magasins diététique ( y compris bio).
En effet ces minéraux sont composés et fabriqués à la taille du micron, ce qui est serte extrêmement petit, voir invisible à l'oeil nu pour certains une fois dilué dans un verre d'eau. Mais qui reste cependant pour notre organisme bien trop gros pour être correctement assimilé (moins d'un pourcent de chance d'être assimilé).
Notre organisme considère donc ces minéraux , (Gélules, ampoules, cachets et autres liquide) comme des cailloux ou particules métalliques qui ne feront qu'encrasser vos reins (ni plus, ni moins)
Pour que ces minéraux puisse être assimilable faudrait-il que les laboratoires préparent leurs minéraux (liquide, comprimés, gélules, etc...) à la taille de l'angstrom ( soit 10 000 fois plus petit que le micron)
Pour ce faire les laboratoires devrait utiliser un arc et non une électrolyse, ce qui bien évidemment pose un sérieux problème aux laboratoires chargés de les produire à grande échelle ( débit )
A titre personnel et dans le futur, je compte me procurer un arc de bonne qualité (c'est minimum 5000 euros)
J'ai comme beaucoup à mes début commis des erreurs dans ce domaine , en effet en 2012, je croyais bien faire en fabriquant moi même par électrolyse ( inassimilable) mon propre argent colloïdal. ( valeur approximative sur le net plus ou moins 300 euros)
J'en ai donc eu pour mon argent, c'est à dire un argent colloïdal de même qualité que vendu dans le commerce, soit fort peu assimilable ( Molécule trop grosse)
Ce que je viens de vous exposer est également valable pour les minéraux contenu dans l'eau :
Le Dr DAMOOR a démontré dès 1917 que lorsqu'on perfuse un rein avec de l'eau chargée en minéraux le rein gonfle et la membrane rénale se ferme et que lorsque l'on perfuse ce rein avec de l'eau pure le rein dégonfle et la membrane rénale s'ouvre
"Que la silice est l'oxyde de silicium. Il en existe plusieurs variétés : le quartz cristallisé , la calcédoine, ( silice translucide cristallisée), l'opale ( variété de silice hydratée). Le silicium (28%) est après l'oxygène (45%) le principal constituant de l'écorce terrestre."
Silicium que vous trouverez par ailleurs et étrangement en grande quantité dans les composants des cristaux de votre ordinateur :
Bon, je vais un peu divaguer du sujet, sachez cependant que personnellement je m'intéresse à la matrice artificiellement dans laquelle nous errons, matrice artificielle commandé par l'intelligence artificielle et non l'inverse. (Selon moi c'est une erreur de croire que nous sommes les créateurs de l'I.A, à titre personnel , je perçois plutôt la chose en sens inverse)
Je m'intéresse donc de prêt à cette théorie qui souhaite nous supplanter ( via le transhumanisme) et qui selon moi a déjà supplanté les précédentes générations avant nous ( Peut importe leur niveau d'avancement)
Un monde dans lequel l'intelligence est gratuite et infatigable, c'est une rupture majeure pour n'importe quel chef d'entreprise." Voilà comment entame son propos Laurent Alexandre, chirurgien, neurobiologiste et romancier. Il opère une distinction, en intelligence, entre les cerveaux organiques - ceux des humains - et les cerveaux de silicium (matière des puces électroniques) des intelligences artificielles. Parmi les cerveaux de silicium, sont classées les intelligences artificielles (IA) faibles, distinctes des IA "fortes" qui auront un jour conscience d'elles-mêmes.
Revenons en à notre sujet initial, ma source de silicium organique provient donc et presque exclusivement de la tige de prêle bio :
Je la prépare sous forme de décoction pendant 3 minutes dans de l'eau bouillante avant de laisser infuser pendant 7 minutes
Depuis 2013, Je la consomme ainsi systématiquement du 1er au 21 de chaque mois avant de couper du 22 au 30-31, au simple motif que trop de silicium organique dans l'organisme peut occasionner la cristallisation de cristaux. Ce qui en soi n'est pas extrêmement grave , mais tant qu'à faire les choses autant les faire bien.
Deuxième possibilité, vous pourrez la consommer cru en poudre dans une salade ou accompagné d'un verre d'eau , cependant par ce moyen plus simple, vous ingérer nettement moins de silicium organique, au motif que certaines plantes , fruits et légumes ont besoin d'être préalablement réchauffer pour en libérer le principe actif (le silicium organique)
A titre d'information : Il en est de même pour la tomate qui pour libérer son puissant principe actif ( lycopène ) doit être au préalable réchauffé.
Toujours à titre d'information :
Dans cet excellent ouvrage de Hans Nieper (Révélation en médecine et santé) j'ai également appris en 2012 que les canettes de boisson en aluminium sont également toxique, bien entendu on ne vous le dira pas, aura-t-il fallu attendre le courage d'un pharmacien belge pour traduire cet ouvrage en français.
Bien entendu, suite à ces recherches, j'ai stoppé net d'acheter tout type d'aliment ou boisson en contact avec de l'aluminium ( Comme les couvercles des pots yaourt par exemple)
Pour conclure et c'est de loin le plus important , vous trouverez ci-joint le certificat du professeur Fourtillan (à télécharger) qui vous permettra en toute légalité au regard de la loi en vigueur que l'on arrête d'imposer à vos enfants la moindre vaccination qui contiendra la moindre dose d'aluminium.
Je tiens également par ce présent message à de nouveau remercier Nofear qui m'a fait découvrir ce lien, car ce lien n'est pas ma trouvaille mais la sienne
Par la même occasion, j'en profite pour faire découvrir sa chaine Youtube :
Les résultats des recherches sur cet élément breveté, ne cessent de prouver de nouveaux apports, lesquels lui attribuent un rôle protecteur contre l’accumulation de l’aluminium, cet élément toxique qui favorise l’inflammation et le stress oxydatif cellulaire. En effet, le silicium aide à l’élimination de l’aluminium des tissus et à l’excréter de l’organisme.
Il est évident que lire ceci est attrayant ,cependant et à titre personnel, je me suis abstenu d'acheter ce fameux G7, j'ai cependant en plus de ma consommation de prêle passé commande de 8 bouteilles G5 original de silicium organique de Loïc le Ribault
En effet le composition du G7 stipule :
INGRÉDIENTS: Carbonate de magnésium, gomme d'acacia (fibre naturelle), agent d'enrobage (E-464), vitamine C (acide L-ascorbique), acide silicique (Orgono Powder:registered:), stéarate de magnésium et dioxyde de silicium.
Hors le stéarate de magnésium ( qui fut antérieurement le stéarate d'aluminium, puis stéarate bovine , puis stéarate de magnésium , puis stéarate végétal ) est un poison tout court sous toutes ses formes et empêche entre autres ( saloperies) une grande partie de l'assimilation des minéraux.
Ce qui est totalement paradoxale, car le silicium organique fait partie du règne des minéraux.
Puis à titre personnel, je vais commander sur ce site et uniquement sur ce site
Pourquoi uniquement sur ce site ?
Vous trouverez ci-joint la charte de l'engagement de ce laboratoire, qui comme vous pouvez le constater exempte dès les premières ligne le stéarate ( sous toutes ses formes)
Toujours à titre personnel et afin de tirer les meilleurs bénéfices du silicium organique G5 original de Loïc le Ribault, je couplerai mes prises de silicium avec du :
Magnésium chélaté ( qui est selon moi la meilleur source de magnésium avec l'orotate de magnésium) ce qui n'empêche pas ce magnésium d'être peu assimilable au regard de la taille de sa molécule (micron)
Je reproche cependant à cette vitamine C d'être non acide (ascorbate de calcium),
A titre personnel , j'aurai préféré acquérir une vitamine C acide et ayant pour source le magnésium, mais bon je suis exigeant, le plus important étant de choisir une vitamine C dernière génération ( Liposomale) qui bénéficie d'un pouvoir d'absorption très nettement supérieur à toute les autres vitamine C.
Par ailleurs, il faudra sur ce point que Nofear éclair mes lacunes, car de mémoire il m'avait soumis par le passé une très bonne vitamine C liposomale ( répondant à tout les critères)
Ayant obtenu la réponse de Nofear , je vous conseille la vitamine C LypriCel
La source ci-dessus confirme par ailleurs mon interrogation quant à la qualité de la vitamine C non acide du laboratoire Nutrixeal , ce qui n'empêche pas qu'en dehors de cette vitamine C qui ne répond pas aux critères que j'aurai souhaité, que je considère toujours pour l'ensemble de sa gamme , le laboratoire Nutrixeal comme le meilleur fournisseur de compléments alimentaires sur notre territoire national.
Voilà une fois ce mixe réuni ( Silicium original G5, Magnésium chélaté, vitamine C liposomale) , j'aurai en ma possession l'équivalent d'un G7 d'une bien meilleure qualité que le G7 original.
En dehors de cela et sur le long terme, je conserve précieusement mes cures de prêle mensuelles
Que mangeons-nous réellement en avalant un cordon bleu industriel ? Ce documentaire met la main à la pâte pour déconstruire les pratiques souvent douteuses de l’industrie agroalimentaire.
Toujours plus abondante et moins chère, la nourriture industrielle a envahi nos assiettes, avec des incidences sur la santé de plus en plus fortes : jamais l'obésité et le diabète n'ont été aussi répandus. Et jamais les étiquettes n'ont été aussi compliquées à déchiffrer. Pour percer les secrets du secteur agroalimentaire, Maud Gangler et Martin Blanchard sont eux-mêmes devenus… des industriels. Avec l’aide d’un laboratoire alimentaire spécialisé en recherche et développement, ils se lancent dans la production d'un plat populaire : le cordon bleu. Un projet offensif qui leur permet de comprendre de l’intérieur les rouages de l’ultratransformé, où la fabrication d’un produit en apparence simple tient de l’assemblage complexe. Pourquoi, alors que l’escalope panée cuisinée à la maison ne nécessite que cinq ingrédients, en faut-il ici une trentaine ? La viande du cordon bleu mérite-t-elle encore son nom ? Peut-on appeler fromage cette pâte fondante obtenue à grand renfort d'additifs ? L'emballage lui-même est-il nocif pour la santé ?
Riche et digeste En partant d’un produit emblématique comme le mal nommé cordon bleu, puis en élargissant l'enquête, ce documentaire détricote les fils cachés d’un système ultraconcurrentiel.
Se jouant des frontières, l’industrie agroalimentaire se révèle diaboliquement novatrice, usant de technologies toujours en avance sur les réglementations et d’astuces marketing rodées, ou s’aidant de puissants lobbies pour servir ses intérêts.
Les autorités nationales et européennes s'avouent techniquement débordées et peinent à contrôler les substances toxiques qu'elles ont commencé par autoriser.
Pourtant, l'espoir d’un changement qualitatif est impulsé par la société civile : sous la pression des consommateurs et d’applications de notation alimentaire comme Yuka, certains industriels cherchent à mieux faire pour bénéficier d’un "clean label" auquel s’attache le grand public. Réduction du nombre d'ingrédients, abandon d’additifs, choix de protéines végétales : une démarche vertueuse qui tourne parfois au casse-tête, quand elle n'aboutit pas à un effet inverse, avec des plats végans à la qualité sanitaire douteuse. Au menu de cette enquête riche mais remarquablement digeste, experts, nutritionnistes, docteurs en sciences des aliments ou consultants en "transformation positive" éclairent une question devenue cruciale : que mange-t-on aujourd'hui ?
Documentaire de Martin Blanchard et Maud Gangler (France, 2019, 1h30mn)
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La cuvée GOLD de Glenmorangie ...une putain de tuerie sous mon sapin.
Pub gratos, car j'ai été "Scotché"... Très différent, mais au niveau de mon choucou "Lagavulin".
Je ne suis pas du tout un connaisseur et encore moins un spécialiste, mais je sais faire la différence entre un truc que j'aime et un truc que je préfère...et j'affirme que ce 12 ans d'âge qui titre 46° fait honneur à Glenmorangie.
Sans déconner, si vous faites preuve de curiosité gustative et appréciez les distillats originaux et prestigieux, cette cuvée GOLD mérite assurément le détour...c'est également une superbe idée de cadeau.
"Glenmorangie Nectar d'Or est un whisky riche et épicé avec une finition unique en fûts de Sauternes. Bill Lumsden fût l'un des pionniers dans l'utilisation des fûts de vins dans la maturation de ses whiskies, notamment avec cette édition qui porte brillamment son nom.
Cette édition mythique de la gamme Glenmorangie renouvelle son packaging en 2019 afin de mettre en avant le savoir-faire si particulier de la finition en fûts de Sauternes. NOTE DE DÉGUSTATION Couleur : vieil or à reflets topaze. Nez : à la fois ferme et onctueux. De pulpeuses notes d’ananas, de banane et d’abricot confit soutenues par une remarquable amertume mettent en exergue l’affinage en fût de Sauternes. Le curry et la cannelle côtoient ensuite les fleurs capiteuses.
Bouche : douce, soyeuse. Elle se montre plus ferme que le nez ne pourrait le laisser supposer, ce qui lui procure beaucoup d’allant et de fraîcheur. Le milieu de bouche retrouve l’onctuosité pressentie au nez. Légèrement salée, elle se prolonge sur le café grillé, le toffee, le pain d’épices et la menthe poivrée.
Finale : huileuse, savoureuse. Imprégnée du caractère acidulé des fruits de la passion et du citron, elle est également marquée par des notes de cire d’abeille et de miel d’acacia. La rétro-olfaction dévoile avec naturel la douce amertume de l’orge maltée.
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