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Santé bien être nutrition environnement / Health

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MessageAuteur
MessageFrequences pour lever les derniers doutes
par nofear Jeu 28 Juin 2012 - 11:21

si d'aucuns avaient encore quelques doutes sur la nature fréquentielle donc vibratoire du vivant et donc de ce qu'on appelle matière (ou champ de densification énergétique) qui lui sert de support.

je les invite à regarder ceci , c'est mesuré publié etc . Il n'y à aucune pseudo-science là dedans ...

Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 Photo-73782

liens pour vos insertions :



http://www.postimg.com/image/74000/photo-73782.jpg

Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 Photo-73782


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MessageMourrez en paix brave gens
par nofear Jeu 28 Juin 2012 - 16:48

Citation :

L'Académie de médecine contre la suppression des vaccins à l'aluminium




PARIS - L'Académie de médecine a déclaré son opposition à un éventuel
moratoire sur les adjuvants à base de sel d'aluminium utilisés dans un
grand nombre de vaccins en France.

Tout moratoire portant sur la
non-utilisation des adjuvants aluminiques rendrait impossible, sans
aucun argument probant, la majorité des vaccinations, relève l'Académie
dans un rapport publié jeudi.

Des inquiétudes sur le rôle de
l'aluminium dans le développement de troubles neurologiques dégénératifs
ou de maladies auto-immunes avaient conduit en mars dernier le groupe
d'étude de l'Assemblée nationale sur la vaccination à préconiser un
moratoire, en application du principe de précaution.

L'Académie
reconnaît qu'il existe un consensus sur le danger de l'ingestion
d'aluminium à forte dose ou en cas de consommation chronique
à des
dosages élevés, mais estime qu'aucune preuve de toxicité neurologique
imputable à l'aluminium de l'alimentation ou des vaccins n'a pu encore
être fournie à ce jour.

Elle souligne également que la quantité
d'aluminium apportée par les vaccins chez les nourrissons demeure très
inférieure à la dose de sécurité minimale définie pour l'alimentation.

Des
recherches sont en cours pour mettre en place des adjuvants non
aluminiques mais la plupart sont destinés à élaborer de nouveaux vaccins
contre des maladies comme le paludisme, l'infection à VIH ou la
tuberculose.

L'Académie cite notamment le phosphate de calcium,
utilisé par l'Institut Pasteur dès les années 60 dans les vaccins
anti-diphtériques avant d'être abandonné dans les années 80, mais relève
que les études d'efficacité ont donné des résultats variables, voire
contradictoires.

Le débat reste donc ouvert selon l'Académie qui
souligne qu'une éventuelle substitution de l'aluminium dans les vaccins
ne pourrait se faire qu'après de longs et nombreux essais nécessitant 5 à
10 ans et que l'instauration d'un moratoire ne pourrait que provoquer
une morbidité très supérieure à celle, hypothétique, des maladies
neurologiques ou auto-immunes imputées aux sels d'aluminium.

Les adjuvants ont pour rôle de stimuler les mécanismes immunitaires.

http://www.romandie.com/news/n/_L_Academie_de_medecine_contre_la_suppression_des_vaccins_a_l_aluminium49280620121639.asp

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MessageBisphenol et tumeur au cerveau
par nofear Ven 29 Juin 2012 - 18:05

Une étude chinoise mais en évidence la relation entre tumeur au cerveau et bisphénol A vous savez les biberons pour bébés mais AUSSI le revêtement plastifié à l’intérieur des boites de conserves sodas etc ...

Citation :

Exposure to bisphenol A may be a risk factor for a common type of
brain tumor called meningioma, reports a study from China. This is the
first study to suggest a link between brain cancer and the chemical,
which is widely used in consumer products.

Those
with the highest urine BPA levels were about 1.6 times more likely to be
diagnosed with meningioma compared to those with lower concentrations.

This
link was observed even after accounting for other factors associated
with meningioma. More research is needed to confirm the findings.

http://www.environmentalhealthnews.org/ehs/newscience/2012/05/2012-0605-bpa-brain-cancer-meningioma

devises à retenir : 2-mettre les pieds dans un magasin ou supermarché c'est entrer dans suicide-center .

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Messagedes patients en état végétatif communiquent par la pensée
par marie Ven 29 Juin 2012 - 19:14


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Message A propos du nouveau poison anti obésité
par nofear Ven 29 Juin 2012 - 21:34

Pour confirmer mes dires sachez bien que cette cochonerie avait refusée une 1ere fois par la FDA avant qu'elle soit aujourd'hui approuvée ... Pour ceux (celles) qui ne capteraient pas bien c'est toujours la même molécule artificielle toxique...

Citation :
Obesity drug approved by FDA after originally being rejected



Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 Sit-women-york-new.n



Caution, readers: you'll want to sit down before reading this (and
stay there without doing any physical activity for as long as you want).
The US Food and Drug Administration has approved an all new obesity
pill.

The FDA gave the go-ahead on Wednesday for doctors to start dishing
out prescriptions for Belviq, the brand name for the weight-loss drug
lorcaserin developed by Switzerland-based Arena Pharmaceuticals.

For
now the federal agency says the drug is safe enough to be served to
patients with a body mass index (BMI) of 30 or above, the standard used
by physicians to establish the lower end of obesity. Additionally,
Americans with a BMI of 27 or greater who also suffer from at least one
weight-related health problem could be prescribed Belviq by physicians.
"Obesity threatens the overall wellbeing of patients and is a major public health concern,"
Dr. Janet Woodcock, director of the FDA's Center for Drug Evaluation
and Research, explains in a written statement released this week. "The
approval of this drug, used responsibly in combination with a healthy
diet and lifestyle, provides a treatment option for Americans who are
obese or are overweight and have at least one weight-related comorbid
condition."

Arena Pharmaceuticals originally pitched their
pill to the FDA in 2009, but it was rejected a year later over concerns
of possible side-effects. When the company’s New Drug Application was
dismissed the following year, Duke University Professor Dr. Pamela S.
Douglas explained to the New York Times, “The argument that there is
an urgent need I don’t think really mitigates the concern of putting a
drug that doesn’t do much and may do harm on the market.”

Two
years later, however, the FDA has changed their stance after combing
over the latest studies sent in by Arena. Even still, side-effects of
Belviq in its current form include serotonin syndrome, a condition the
US National Library of Medicine agrees can be “potentially life-threatening” and can cause reactions that include, but are not limited to, diarrhea, hallucinations and overactive reflexes.
Last
month, a panel of expert advisers to the FDA voted with few dissenters
to approve the pill, siding that the drug’s benefits “outweigh the potential risks when used long term,” reports CBS News.
Coincidentally,
the results of a University of Iowa study released last week reveal
that another compound can aid in America’s obesity epidemic if
administered correctly: apples. Researchers there discovered that
ursolic acid, a compound found commonly on the skin of apples, reduces
total body weight and increases muscle mass.
That, however, is a
pill that many Americans might find hard to swallow. One-in-three
Americans is currently considered obese, with that statistic ringing
true for more than 44 percent of non-Hispanic black adults in the United
States.
With this week’s approval, Belviq will be the first obesity drug to be given the federal go-ahead in more than a decade

http://rt.com/usa/news/obesity-pill-belviq-fda-912/

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MessageLe distillateur d´eau et ses surprises.
par nofear Sam 30 Juin 2012 - 9:42

ce qu'il reste au fond de votre distillateur ... je vous mets le lien avec d'autres photos et vidéos ... C'est toujours mieux d'avoir de visu ce que je radote depuis des lustres sur l'eau encore une fois en partie inside Hardin est à la pointe y a pas à dire ... Wink

Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 IMG_0388

Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 IMG_0389


le reste c'est ici :

http://attention-crash-mondial.blogspot.de/2012/06/le-distillateur-deau-et-ses-surprises.html

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Message petit dessin animé très pédagoqique et percutant sur l'eau minérale en bouteilles,
par g.sandro Sam 30 Juin 2012 - 11:33

petit dessin animé très pédagoqique et percutant sur l'eau minérale en bouteilles,



https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=QzdQMv_piQU

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Message1ers bébés humains OGM aux USA
par nofear Dim 1 Juil 2012 - 9:56

c'est FAIT !

Bon pour ceux qui ne comprennent pas bien ce sont des MUTANTS ARTIFICIELS

Citation :

World’s First Genetically Modified Babies ‘Created’ in US


June 30, 2012


By Anthony Gucciardi
NaturalSociety






In a developing story, the Daily Mail is now reporting that the very first (admitted) group of genetically modified babies
have been ‘created’ in the United States. The scientists involved
reportedly announced the result on the night of June 27th, stating that
30 babies were born using genetic modification techniques. Furthermore, 2
of the babies tested were found to contain genes from a total of 3
different parents. The experiment also lasted over 3 years or more
according to the researchers, which may be one of many.

The ‘GM babies’ were born into women who had trouble conceiving their
own children. In order to ‘birth’ the babies, extra genes from a female
donor were inserted into the women’s eggs before they were fertilized.
After conception, scientists fingerprinted 2 of the one-year-old
children and confirmed that they inherited DNA from 3 adults
— one man and 2 women. What this means is that due to inheriting these
extra genes through the genetic modification process, they will now be able to pass them along to their offspring. In other words, these genetically modified babies — if allowed to mate with non-GM humans — could potentially alter the very genetic coding of generations to come.

Genetecists state that this genetic modification method may
one day be used to create babies “with extra, desired characteristics
such as strength or high intelligence.”


The news comes after it was previously reported by British scientists
that scientists were creating human-animal ‘monsters’. Such reports
highlight the fact that rampant genetic experimentation is already
taking place on many humans around the world, which has led a large
number of scientists to call for new rules regarding the outlandish
practice. Chinese scientists have already admittedly inserted human stem
cells into goat fetuses, and United States researchers have actively
researched the concept of engineering a mouse with human brain cells.

Many experts are now speaking out against the announcement, including
leading fertility experts and major organizations. John Smeaton,
national director of the Society for the Protection of Unborn Children,
said:


It is a further and very worrying step down the wrong road for humanity.

http://www.blacklistednews.com/World%E2%80%99s_First_Genetically_Modified_Babies_%E2%80%98Created%E2%80%99_in_US/20307/0/38/38/Y/M.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

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MessageRe: Santé bien être nutrition environnement / Health
par nofear Dim 1 Juil 2012 - 16:11

Citation :
Astaxanthin: A Rising Star in Alzheimer's Prevention

What Causes Alzheimer's Disease?



In order to effectively prevent a disease, you must address its
underlying causative factors. Although we do not have definitive "proof"
of what, specifically, causes Alzheimer's, a number of factors have
been linked to an increased risk of dementia, and we know enough about those to in turn make educated recommendations for preventing this type of brain deterioration.

The more risk factors you have, the higher your changes are for
developing dementia. You may already know I have become passionate about
warning of the dangers of fructose.
There is NO question in my mind that regularly consuming more than 25
grams of fructose per day will increase your risk of losing your
mind.Fructose will catalyze the impact of virtually every other risk
factor, like exposure to toxins such as aluminum, or mercury, or even
genetic predispositions. It does this by impairing your body's normal
self-repair capacity and its ability to recover from these types of
assaults.

Following are a number of other factors associated with an increased
risk of Alzheimer's disease. Please note that the first four are related
to fructose intake.

Health conditions and drug therapies


  • Obesity, especially increased belly fat, insulin resistance,
    and diabetes: diabetics have up to 65 percent higher risk of developing
    Alzheimer's disease. Keep your fasting insulin level below 3 by
    minimizing sugar and grains and exercising regularly.
  • Elevated uric acid levels: fructose is one of the primary factors that drives up uric acid, which is another reason to avoid excess sugar.
  • High blood pressure.
  • Heart disease and atrial fibrillationiv: If you have "atrial fib," you are 44 percent more likely to develop dementia.
  • Thyroid dysfunction.v
  • Head traumavi:
    There appears to be a "strong link" between a history of head trauma
    and Alzheimer's disease, especially if the trauma occurred repeatedly or
    involved loss of consciousness—so keep your seat belt fastened.
  • Anticholinergic drugs:
    Drugs that block acetylcholine, a nervous system neurotransmitter, have
    been shown to increase your risk of dementia. These drugs include
    certain nighttime pain relievers, antihistamines, sleep aids, certain
    antidepressants, medications to control incontinence, and certain
    narcotic pain relievers.One studyvii
    found that those who took drugs classified as "definite
    anticholinergics" had a four times higher incidence of cognitive
    impairment. Regularly taking two of these drugs further increased the risk.

Nutritional deficiencies


Vitamin D deficiency: In 2007 researchers at the University of Wisconsin uncovered strong links between low levels of vitamin D in Alzheimer's patients
and poor outcomes on cognitive tests. Vitamin D may enhance the levels
of important chemicals in your brain that protect your brain cells and
combat the brain inflammation seen in dementia patients.

A 2011 study at UCLA found the combination of vitamin D3 and curcumin
(the pigment that makes turmeric yellow) to be a highly beneficial
combination for Alzheimer's patients.Vitamin D can also fight depression, which is experienced frequently by people with dementia.



  • itamin B deficiencies: Elevated homocysteine levels due to vitamin B6, B12 and folate deficiencies; according to a small Finnish study recently published in the Journal Neurologyviii, people who consume foods rich in B12 may reduce their risk of Alzheimer's in their later years.
  • Insufficient omega-3 fats:
    High intake of the omega-3 fatty acid DHA lowers your risk for
    Alzheimer's by preventing the associated cell damage. Researchers also
    report that DHA "dramatically reduces the impact of the Alzheimer's
    gene."
  • Vitamin E deficiencyix: A 2008 study showed that Alzheimer's patients who took 2,000 IU of vitamin E daily showed a 26 percent lower mortality rate.

Environmental toxins


  • Aluminum toxicity: avoid antiperspirants, non-stick cookware, and vaccines containing aluminum (and mercury) adjuvants/additives, such as the flu vaccine
  • Mercury
    toxicity: Avoid fish and seafood, which is usually contaminated with
    mercury, and avoid dental amalgams, which are probably the largest
    sources of mercury; implement the mercury detox protocol and utilize a biological dentist if you have dental amalgams
  • Fluoride toxicity: More than 23 different studies indicate even moderate fluoride exposure may have damaging effects on your brain
  • Copper toxicity:
    Evidence exists that copper can leach out of copper pipes and into tap
    water, and when consumed over time, can build up in your body. Copper
    toxicity has been linked to Alzheimer's disease, heart disease, and
    diabetes. You should also avoid vitamin/mineral pills that contain
    copper and iron, especially if you're over the age of 50
  • Cell phone radiation.
    Radiation from cell phones and mobile phone handsets may damage areas
    of your brain associated with learning, memory and movement, and may
    trigger Alzheimer's disea
Natural Treatments for Your Anti-Alzheimer's Arsenal



Finally, there are a few other nutritional recommendations worth
noting for their specific benefits in preventing and treating dementia.
So, although your fundamental strategy for preventing dementia should
involve a comprehensive lifestyle approach, you may want to consider
adding a few of these natural dietary agents to your anti-Alzheimer's
arsenal.

The three natural foods/supplements that have good science behind
them, in terms of preventing age-related cognitive changes, are coconut
oil, Gingko biloba, and alpha lipoic acid.


  1. Coconut Oil: The
    primary fuel your brain needs for energy is glucose. However, your
    brain is able to run on more than a single type of fuel, one being
    ketones (ketone bodies), or ketoacids. Ketones are what your body produces when it converts fat (as opposed to glucose) into energy.The medium chain triglycerides (MCT) found in coconut oil are
    GREAT source of ketone bodies, because coconut oil is about 66 percent
    MCTs.In fact, ketones appear to be the preferred source of brain food in
    patients affected by diabetes or Alzheimer's.
  2. Gingko biloba: Many
    scientific studies have found that Ginkgo biloba has positive effects
    for dementia. Gingko, which is derived from a tree native to Asia, has
    long been used medicinally in China and other countries.

    Fifteen years ago, in one of the first issues of my newsletter, I posted the results of a 1997 study from JAMAx
    that showed clear evidence that Ginkgo improves cognitive performance
    and social functioning for those suffering from dementia. Research since
    then has been equally promising.

    One study in 2006 found Gingko as effective as the dementia drug
    Aricept (donepezil) for treating mild to moderate Alzheimer's type
    dementia. A 2010 meta-analysisxi found Gingko biloba to be effective for a variety of types of dementia.
  3. Alpha lipoic acid (ALA): ALA can stabilize cognitive functions among Alzheimer's patients and may slow the progression of the disease.


article complet ici



http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2012/07/01/astaxanthin-for-dementia.aspx?np=true





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MessageLes OGM c'est bon pour la santé
par nofear Dim 1 Juil 2012 - 16:52

Un fermier a guéri son élevage de porcs malades en supprimant leur bourriture de soja OGM par de la nourriture normale .

Bien sûr les empoisonneurs businessmen vous diront que ça n'a aucune valeur scientifique... Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 210770 Qu'ils se la mette où je pense LEUR science ...

Messieurs les putes-scientistes vous ne rendez pas honneur à l'humanité.

Si l'on veut que ça s'arrête il suffit d'exiger de ne plus consommer ses poisons CACHES dans nos aliments.


Santé bien être nutrition environnement / Health - Page 3 Liy_gmo_9-300x300

Citation :
GM Soy Linked to Illnesses in Farm Pigs
Dr Eva Sirinathsinghji

Institute of Science in Society

Danish Farmer Reverses Illnesses in pigs by reverting to a GM-free diet for his animals, which is yet further evidence for the toxicity of glyphosate tolerant GM crops Dr Eva Sirinathsinghji

A Danish farmer has gained huge public recognition for publishing his
simple method for ridding his pigs of illness- removing genetically
modified (GM) ingredients from their diet.

Published in the farming magazine Effektivt Landbrug on 13
April 2012 [1], the farmer Ib Borup Perderson describes how his pigs
suffered from symptoms including chronic diarrhoea, birth defects,
reproductive problems, reduced appetite, bloating, stomach ulcers,
weaker and smaller piglets, and reduced litter sizes. This was not just a
problem for the animals themselves but also the profitability of the
farm, with fewer healthy animals, mounting costs of medicines and added
labour costs.

After researching the health hazards of GM foods and associated
herbicides, Pederson decided to stop feeding his 450 sows with GM
soybean, replacing them with fishmeal and non-GM soybean instead. He
began to notice health benefits after two days of a GM-free diet. The
farmer’s account has since been published in an English dossier compiled
by scientist Brian John of GM-free Cymru (Wales), with collaboration
from Pederson, published online by GM Watch [2].

This finding adds to the continual flow of new evidence appearing in
peer-reviewed scientific studies, farmers’ reports and witness accounts
of the devastating health impacts of glyphosate-based herbicides and the
associated GM crops modified to tolerate it. Birth defects from
glyphosate exposure were detected in the 1980s in lab animals performed
by Monsanto (see [3] EU Regulators and Monsanto Exposed for Hiding Glyphosate Toxicity, SiS 51, [4] Lab Study Establishes Glyphosate Link to Birth Defects, SiS 48, 5 Glyphosate Kills Rat Testes Cells,
SiS 54). Residents of heavy agrochemical-use zones in Argentina have
seen startling increases in birth defects, adult and human cancer rates
as well as other illnesses (see [6] Argentina’s Roundup Human Tragedy, SiS 48, [7] Pesticide Illnesses and GM Soybeans, SiS
53). Argentinian tobacco farmers have recently filed a lawsuit against
Monsanto for birth defects suffered by their children following claims
by the corporation that the chemical was safe to use [8]. Animal feeding
studies have shown GM soya feed to cause sterility, stunting and death
in rats (see [9] GM Soya Fed Rats: Stunted, Dead, or Sterile, SiS
33). This is also not the first time that livestock illness including
reproductive problems has been linked to glyphosate-tolerant crop
derived feed. Professor Emeritus Don Huber of Perdue University, a
senior scientist of USDA (US Department of Agriculture) has been
studying crop health for over 20 years, and warned how reduced mineral
content of glyphosate-tolerant crops lead to nutritional deficiencies in
livestock that in turn cause reproductive problems (see [10] USDA Scientist Reveals All, SiS
53). Reduced mineral content in crops results from glyphosate’s metal
chelating properties, rendering essential minerals unavailable. Nutrient
deficiency effects are independent of direct glyphosate toxicity that
causes endocrine disruption, birth defects and cancers among other
illnesses. The identification of a novel pathogen in glyphosate-treated
crops, reproductive organs of livestock as well as aborted foetal
tissue may also be a contributing factor (see [11]Emergency! Pathogen New to Science Found in Roundup Ready GM Crops?,SiS50).

Improvements in health with GMO-free diet

The dossier [2] presents following effects since removing GM produce from the pigs’ diets, as described by Pederson:

1. Within 2 days, diarrhoea virtually disappeared in the farrowing
house, whereas before, 50-100 ml Borgal / day [an antibacterial drug]
had to be used.

2. Since switching, there had been no death from bloat in sows or
death by ulcers, as opposed to minimum 1 per month previously (36 sows
died due to stomach related sickness over the last two years before
switching).

3. No sows have died through loss of appetite, whereas 2 sows died from this cause last year.

4. Even without washing between farrowings, diarrhoea does not
reappear; previously failing to wash between sows would result in more
diarrhoea.

5. Previously the farmer had struggled with diarrhoea in first layer sows, no more problems there.

6. Two years ago when the diarrhoea was as its worst, there were
months with nearly 30% dead in the farrowing house. At that time it was
impossible to find sows that could nurse piglets.

7. Before it was unusual to have a sow with 13 piglets weaned. The
average was about 10.5 per sow plus spare mothers. Now the farmer is
getting over 12 piglets on average weaned and 14 piglets weaned per sow
is common. There are fewer nursing sows, simply because the sows are
milking better and eating more.

8. Sows farrow better and there is 0.3 more live births per sow, of
which 0.2 is gained from fewer stillborn. There have been 14.9 live born
and 1.6 stillborn averaged over the past 7 months.

9. The piglets weaned are stronger and more evenly sized.

10. Man-hours are reduced by 20-30 hours per month, partly by washing less and because everything is easier.

Pedersen adds: “Independent researchers have shown Roundup to be both
a powerful and non-selective biocide and an endocrine disruptor,
leading to birth deformities, abortion, cancer and changes in microflora
in the gut of mammals, so that clostridia becomes a problem. This, I
think, is the direct reason for chronic Botulism in cattle. I know that
the diarrhoea and bloated sow problems… which we had — and which
disappeared with the changed diet — were due to clostridia bacteria”.
Birth defects were a significant problem with “13 malformed piglets
(about one in 700) [were] born over the last nine months on the GM diet,
most of them live born”.

Economic Improvements with GMO-free diets

The widespread illnesses were burdening the farm with extra costs,
including medical costs to deal with rampant stomach problems. Following
12 months of GM-free feed, Mr Pederson now uses half of the national
average of antibiotics, compared to above average usage prior to the
feed conversion. The savings made by reducing medicinal use by
two-thirds was sufficient to cover the extra expense of GM-free feed
which has totalled 28,500 DKr. Further, with an extra 1.8 piglet weaned
per sow, and 12 less sows dying from stomach problems per year, the farm
is making an extra profit of 250,000 DKr a year, translating to roughly
an extra £55 per sow.

Danish Government will perform new safety tests

In response to the public interest generated by Mr Pederson’s story,
the Danish National Pig Research Centre has decided to investigate
effects of non-GM and GM Soya on pig health, stating that there has been
no clear scientific study performed to date. The research aims to map
stomach changes in pigs fed GM soya-treated with glyphosate from 30 kg
bodyweight to slaughter at 110 kg, compared to GM- and glyphosate-free
soya.

Brian John, although welcoming the positive move to address the
problem, has rightly questioned some of the study design. Feeding pigs
from 30 kg instead of 7 kg onwards may miss an opportunity to observe
effects that would take place at a younger age, and there is no
information as to what they will be fed prior to the GM diet. Effects on
reproduction will not be addressed by this study either, which appears
to be one of the major concerns.

Scientific investigations have until now been stifled. Regional and
national records in many EU countries and the US where GM feed is widely
used are inadequate, as government regulators are abandoning their
obligations to monitor harmful effects of livestock feed in order to
protect food security and public health. Nonetheless, other farmers are
sharing personal experiences; another farmer in Denmark, Mr Christensen,
has similarly improved his pigs’ health through switching to GM-free
feed last year.

To conclude

Farmer’s testimonies need to be taken seriously. They are witness
statements from experts in field whose findings are corroborated by
laboratory and clinical studies exposing the detrimental and even lethal
effects of glyphosate-tolerant crop technologies.

References

1. “Svineproducent høster gevinst af gmo-fri soja”, Effektivt Landbrug , April 13 2012 (in Danish).

2. “GM soy linked to health damage in pigs – a Danish Dossier”, http://gmwatch.org/latest-listing/1-news-items/13882, GMWatch.com Dossier, 8th May 2012.

3. Sirinathsinghji E and Ho MW. EU Regulators and Monsanto Exposed for Hiding Glyphosate Toxicity.Science in Society 51, 46-48, 2011

4. Ho MW. Lab study establishes glyphosate link to birth defects. Science in Society 48, 32-33, 2010

5. Sirinathsinghji E. Glyphosate Kills Rat Testes Cells, Science in Societ4 54, to appear.

6. Robinson C. Argentina’s Roundup human tragedy. Science in Society 48, 30, 2010

7. Sirinathsinghji E. Pesticide Illnesses and GM Soybeans. Ban on Aerial Spraying Demanded in Argentina. Science in Society 53, 42-43, 2012

8. “Monsanto sued for poisoning farmers”. http://rt.com/usa/news/monsanto-farmers-tobacco-use-809/, RT.com, 8thMay 2012.

9. Ho MW. GM Soya Fed Rats: Stunted, Dead, or Sterile.Science in Society 33, 4-6, 2007

10. Sirinathsinghji E. USDA scientist reveals all – glyphosate hazards to crops, soils, animals and consumers. Science in Society 53, 36-39, 2012

11. Ho MW. Emergency! Pathogen new to science found in Roundup Ready GM crops?Science and Society 50, 10-11, 2011

If you find this report useful, please support ISIS by subscribing to our magazine Science in Society, and encourage your friends to do so. Or have a look at the ISIS bookstore for other publications


http://farmwars.info/?p=8723

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MessageFluorures grave danger
par nofear Lun 2 Juil 2012 - 19:17

How To Detox Fluorides From Your Body
lundi 2 juillet 2012 15:40:51
Citation :
You can rid you body of most fluorides with some easy natural remedies.
Fluorides have been linked to a variety of severe chronic, even acute
health issues. First a quick review summary of fluoride.

Fluoride Toxicity

Fluoride is a soluble salt, not a heavy metal. There are two basic
types of fluoride. Calcium fluoride appears naturally in underground
water sources and even seawater. Enough of it can cause skeletal or
dental fluorosis, which weakens bone and dental matter. But it is not
nearly as toxic, nor does it negatively affect so many other health
issues as sodium fluoride, which is added to many water supplies.

Sodium Fluoride is a synthetic waste product of the nuclear, aluminum,
and phosphate fertilizer industries. This fluoride has an amazing
capacity to combine and increase the potency of other toxic materials.
The sodium fluoride obtained from industrial waste and added to water
supplies is also already contaminated with lead, aluminum, and cadmium.

It damages the liver and kidneys, weakens the immune system, possibly
leading to cancer, creates symptoms that mimic fibromyalgia, and
performs as a Trojan Horse to carry aluminum across the blood brain
barrier. The latter is recognized as a source of the notorious “dumbing
down” with lower IQ’s and Alzheimer’s effects of fluoride.



Another not commonly known organ victim of fluorosis is the pineal
gland, located in the middle of the brain. The pineal gland can become
calcified from fluorides, inhibiting it’s function as a melatonin
producer. Melatonin is needed for sound, deep sleep, and the lack of it
also contributes to thyroid problems that affect the entire endocrine
system. The pineal gland is also considered the physical link to the
upper chakras or third eye for spiritual and intuitive openings.

Various permutations of Sodium Fluoride are also in many insecticides
for homes and pesticides for crops. Sometimes it is even added to baby
foods and bottled waters. If you live in a water fluoridated area,
purchase commercially grown fruits, especially grapes, and vegetables
that are chemically sprayed and grown areas irrigated by fluoridated
water, you are getting a triple whammy! Better skip that fluoridated
toothpaste!

Avoiding Fluoride Contamination

As always, the first step in detoxifying is to curb taking in toxins.
Purifying water by reverse osmosis or distillation in fluoridated water
communities is a good start to slowing down your fluoride contamination.
Distillation comes with a bit of controversy, as all the minerals are
removed. A great mineral supplement such as Fulvic Acid (not folic acid)
or unsulfured blackstrap molasses is recommended if you distill your
water.

Avoiding sprayed, commercially grown foods while consuming organic or
locally grown foods is another big step. Watch out for processed foods
such as instant tea, grape juice products, and soy milk for babies. They
all contain high concentrations of sodium fluoride. So do many
pharmaceutical “medicines”. By minimizing your sodium fluoride intake,
your body can begin eliminating the fluorides in your system slowly.

Magnesium is a very important mineral that many are lacking. Besides
being so important in the metabolism and synthesis of nutrients within
your cells, it also inhibits the absorption of fluoride into your cells!
Along with magnesium, calcium seems to help attract the fluorides away
from your bones and teeth, allowing your body to eliminate those toxins.
So during any detox efforts with fluoride, it is essential that you
include a healthy supplemental dose of absorbable calcium/magnesium as
part of the protocol.

So Now Let’s Speed Up the Fluoride Detox

This author received a comment stating that an earlier article’s source
reference to sunlight for decalcifying the pineal gland was inaccurate.
He said that darkness, not light, is needed to stimulate the pineal
gland into melatonin production, which should lead to breaking up the
calcification of that gland. Besides being logical, further source
research indicates the critic is correct!

Day time exercise, a healthful diet, not over eating, and meditation
all contribute to higher melatonin production from the pineal gland.
Though very helpful to many for getting a full night’s deep sleep, it
appears inconclusive whether melatonin supplements will help decalcify
the pineal gland. But it does seem logical that it might.

Iodine supplementation has been clinically demonstrated to increase the
urine irrigation of sodium fluoride from the body as calcium fluoride.
The calcium is robbed from your body, so make sure you are taking
effective calcium and magnesium supplements. Lecithin is recommended as
an adjunct to using iodine for excreting fluorides.

Iodine is another nutrient lacking in most diets and causing
hypothyroid symptoms of lethargy or metabolic imbalances. Eating lots of
seafood for iodine has it’s constantly rising mercury hazards. Seaweed
foods and iodine supplements that combine iodine and potassium iodide
are highly recommended over sea food by most.

Tamarind, originally indigenous to Africa but migrated into India and
southeast Asia, has been used medicinally in Ayurvedic Medicine. The
pulp, bark, and leaves from the tree can be converted to teas and strong
tinctures, which have also shown the ability to eliminate fluorides
through the urine.

Liver Cleanses are considered effective for eliminating fluorides and
other toxins. There are two types of liver cleansing, both of which can
be performed easily at home over a week or two of time. One of the
protocols focuses on the liver itself , and the other cleanses the gall
bladder, which is directly connected with liver functions. Simple
instructions for both can be found on line with search engine inquiries.

Boron was studied in other parts of the world with pronounced success
for fluoride detoxification. Borox, which contains boron, has a history
of anecdotal success for detoxifying sodium fluoride. Yes, this is the
borox you can find in the laundry aisles of some supermarkets. It needs
to be taken in with pure water in small quantities.

As little as 1/32 of a teaspoon to 1/4 of a teaspoon in one liter of
water consumed in small quantities throughout the day is what has been
demonstrated as safe and effective. Around 1/8 of a teaspoon with a
pinch of pure sea salt in a liter consumed in small quantities daily has
been reported to have dramatic results. There is the possibility of a
food grade version with sodium borate, if you can find it.

Dry Saunas combined with exercise releases sodium fluoride stored in
fatty tissues. It can be intense enough to cause side effects or an
occasional healing crisis. So keep the pure water intake high and drink
some chickweed tea to protect the kidneys while using a highly
absorbable cal/mag supplement. Lecithin is another useful adjunct to
this protocol for fluoride detoxification.

Those Adjuncts to the Listed Remedies

Vitamin C in abundance was not mentioned as a helpful adjunct. It is
now. But do not use ascorbic acid as your vitamin C source for an
adjunct to any of the fluoride detox methods. Do take in as much other
types of vitamin C as you can tolerate, along with a couple of
tablespoons of lecithin daily. Add those to your absorbable calcium and
magnesium supplements with plenty of pure water, get good sleep and
rest, and the detox should be relatively smooth.

Chelation therapies are recommended primarily for heavy metal removals.
Though fluorides are salts, the synthetic waste product variety, sodium
fluoride, comes with a cargo of toxic heavy metals. And these
pernicious salts have a way of combining more heavy metals. So including
any one of several chelation therapies may be beneficial for overall
health improvements while applying your chosen fluoride remedy or
remedies.

Those include bentonite clay internally or externally, fulvic acid (NOT
folic acid), cilantro pesto with chlorella, and even DMSA or any other
chellation therapy with which you are familiar.

http://beforeitsnews.com/story/2336/174/How_To_Detox_Fluorides_From_Your_Body.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

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Messagearte ce soir 22 h 41 , l'emballage qui tue
par marie Mar 3 Juil 2012 - 19:27

Face à la hausse du nombre de substances toxiques dans les aliments, scientifiques et consommateurs donnent l'alerte

Face à la hausse du nombre de substances toxiques dans les aliments, scientifiques et consommateurs donnent l'alerte. À l'heure où les produits «longue conservation» sont de plus en plus prisés, les clients ne soupçonnent pas l'existence de substances dangereuses dans les emballages hermétiques et dans les aliments avec lesquels ils sont en contact. C'est le cas du Bisphénol A, que l'on trouve dans les contenants en plastique rigide et qui peut provoquer des maladies cardiaques ou affaiblir le système immunitaire. Même risque avec les phtalates utilisés pour plastifier les matériaux servant au conditionnement



*******



puis juste après à 23h10 : du poison sans nos vétements





Témoignages à l'appui, le documentaire lève le voile sur les produits dangereux présents dans les vêtements, accusés d'être à l'origine de multiples maladies



Diméthylfumarate». Depuis 2009, cette substance chimique n'est plus autorisée dans l'Union européenne comme fongicide. Mais, ce produit hautement allergisant, est présent dans nombre de vêtements et objets chinois. Ainsi les chaussures made in china ont occasionné des maladies consécutives à la présence de cet anti-moisissure, notamment des réactions cutanées et paralysies musculaires. Sur le continent asiatique, le chrome, les pigments et le chlore font aussi beaucoup de victimes dans les tanneries. Mais les travailleurs du textile européens font aussi les frais de l'utilisation d'éléments dangereux. Frauke Driessen, repasseuse de jeans pour une grande marque de vêtements, est tombée malade à cause de la présence de dichlorométhane, un composé chimique cancérigène, dans son usine.

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MessageTélomérase
par nofear Mar 3 Juil 2012 - 21:44

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MessageSOJA DANGERS
par nofear Mer 4 Juil 2012 - 17:46

Concernant le soja il y aurait beaucoup à dire en cherchant bien là où il faut ...

Et quand je dis danger c'est avec un S ...

Avis aux végétaliens - végétariens qui ne jurent que par le soja pour ses protéines:

Une étude de l' Inra ou l'inserm (je l'ai dans mes cartons et pas le temps de chercher ... ) révèle que 40% de la population est allergique au soja à des degrés + ou - divers et + ou - visibles (symptômes) .

Le soja (entre autre) est une hormone like œstrogène féminisante c'est d'ailleurs pour cela que certaines ménopausées se gavent de soja.

L' EXCÈS d’œstrogènes FAVORISE les cancers du sein ...

Quand aux hommes qui restent encore dois-je vous faire un dessin ?

En ce qui me concerne le soja est banni de mon alimentation personnelle.

attention pas le soja "fermenté" ou les jeunes pousses (les vraies chez vous pas les fausses vendues en magasin) .

Citation :
Dr. Mercola
‏@mercola




A baby fed soy-based formula receives the equivalent of five birth control pills' worth of estrogen every day!


PS le soja (OGM) est utilisé PARTOUT dans la nourriture industrielle...

A présent faites ce que vous voulez ...


Attention ce qui suit tape fort (comme d'hab pour les habitués du site qui me connaissent à présent... Wink )


NB NOTEZ que ce site qui a publié cette étude est clos ... Les 2 auteurs sont MORTS assassinés .

Citation :
To update this, Soy Online Service is gone, and Richard and Valerie
James were both killed at the same time
, but I have yet to find out how.
It's endlessly fascinating to hear people defend soy using exactly the
crap they've been spoon fed by the soy industry over the past 100 years,
but especially since the 1980s, with much thanks to the Center for
Science in the Public Interest, whose founding funding came from
Rockefeller and RJ Reynolds grants. First they convinced vegetarians soy
was a healthy protein source, and then once accepted, had no trouble
slipping it into the rest of the food supply, along with endless amounts
of propaganda from those they pay, and brainwashed vegetarians. I'm not
saying you should eat meat, just eat hemp protein instead. It's ever so
much healthier. And yes they probably are eating a lot more soy in Asia
these days, thanks to the same folks giving it to us. But it has no
tradition in their diet at these levels or the current forms. "Soy milk"
was invented by a Seventh-Day Adventist doctor/missionary. In reality,
the only people in China who ever ate what's actually soybean broth were
the elderly, and then with some shrimp or other meat in it. The best
information on the history of soy use can be found via the last link
below. This man loves soy and is well respected by the industry. And try
as he does, he only proves how the soy industry managed to get it onto
our plates. He also explains that the history of soy use in China
emanates from the Rockefeller Foundation (see #70). The second link is
to some excellent true information on soy. But the first link leads to
why Americans are so sick, and very much includes information on how soy
screws with your thyroid. And to those of you who remain unconvinced,
go look up the Semmelweis Reflex.



Citation :


Soy Toxins
There's plenty yet that you didn't know about soy!
Soy contains several naturally occurring compounds that are toxic to humans and animals. The soy industry frequently refers to these toxins as anti-nutrients, which implies that they somehow act to prevent the body getting the complete nutrition it needs from a food. The soy toxins (such as phytic acid) can certainly act in this manner, but they also have the ability to target specific organs, cells and enzyme pathways and their effects can be devastating.
The soy toxins that Soy Online Service have concerns about are protease inhibitors, phytic acid, soy lectins (or haemagglutins), nitrosamines, manganese concentrations and the mysterious soyatoxin. Nitrosamines are not naturally occurring in soybeans but form during the processing of products such as isolated soy protein (ISP).
As with any toxin there will be a dose at which negative effects are not observed. Soy Online Services have examined the scientific data on the soy toxins and have uncovered several alarming truths:
l
There is no legislation to protect consumers from soy toxins in raw soy products.
l
With the possible exception of soy lecithin, all soy products, no matter how well treated, contain low to moderate levels of soy toxins; processing cannot remove them all of any of them.
l
The soy industry has little in the way of quality control to protect consumers from exposure to inadequately treated soy products.
Protease Inhibitors
Perhaps the best known of the soy toxins are the protease inhibitors (also referred to as trypsin inhibitors) which, as the name suggests, are able to inhibit the action of proteases (including trypsin) which are enzymes that are involved in the process of dismantling proteins for use by the body.
In the rat, high levels of exposure to protease inhibitors (such as that found in raw soy flour) cause pancreatic cancer whereas moderate levels cause the rat pancreas to be more susceptible to cancer-causing agents. The validity of the rat model to humans has been questioned and the USFDA have examined the effects of protease inhibitors on the Cebus monkey (JP Harwood et al., Adv Exp Med Biol 1986 199: 223-37).
The parameters of the Cebus Monkey study were as follows:
Group
Number of monkeys
Dietary Protein
Trypsin Inhibitor (mg/g of diet)
1
8
Lactalbumin
0.12
2
10
Soy Isolate
0.54
3
6
Casein
0.08
4
2
Soy Concentrate
2.41
After five years of chronic ingestion to low levels of trypsin inhibitors, there was no discernible pancreatic damage effect in monkeys from groups 1-3. However, one monkey in group 4 exhibited moderate diffuse acinar atrophy, moderate diffuse interstitial fibrosis and moderate chronic pancreatitis in all three sections of tissue examined. Minimal lymphoid hyperplasia was noted in the other group 4 monkey.
Therefore, there is good reason to question claims that low levels of soy protease inhibitors pose no threat to human health. Such a statement has even been made by the USFDA in response to a health claim petition by Protein Technologies. The USFDA reported that:
'Concerns have been raised in the past about exposure to trypsin inhibitors contained in soybeans because these compounds had been found to stimulate pancreatic hyperplasia and hypertrophy in animals. These concerns have been allayed because heat treatment removes most of the activity of these proteases. In addition, recent studies have questioned the applicability of the animal models, which differ from humans in the type of diet, sensitivity of the pancreas to trypsin inhibitors, and the anatomic sites of pancreatic cell proliferation and have found low rates of cancer in populations with dietary patterns that include soy foods' (FR 63, 217:62977-63015, 1998).
This statement brought an angry response from Professor Irvin Leiner, the foremost expert on protease inhibitors. In his reply to the FDA Liener wrote:
'"The impression one gets from reading this section is that that there is little cause for concern as far as the human exposure to soybean trypsin inhibitors is concerned.... In the interests of a balanced treatment of the subject, I trust you will give due consideration to the opposing view that the soybean trypsin inhibitors do in fact pose a potential risk to humans when soy protein is incorporated into the diet."
So, if there is valid concern about low levels of protease inhibitors in soy foods, what about exposures to levels higher higher than those in the Cebus monkey study? Is there any chance that such exposures could occur in human diets?
Soy Online Service has noted that there is considerable variability in the levels of protease inhibitors in commercially available foods and that there is little to protect consumers from exposure to high levels of protease inhibitors. For example, a study entitled 'Trypsin inhibitor levels in soy-based infant formulas and commercial soy protein isolates and concentrates (RW Peace et al., 1992, Food Res Int, 25: 137-141) found that trypsin inhibitor levels were as high as 2.72 mg/g in ready to feed soy formulas and 7.30 mg/g in soy protein concentrate.
Since there is no established acceptable levels of protease inhibitors in foods and no protection from short-term high level (acute) exposures or long term low level (chronic) exposures, Soy Online Service offer the following advice:
l
Don't feed your baby or infant a soy formula; there are alternatives!
l
Avoid the direct consumption of raw or partially processed soy products such as soy flour or soy protein concentrate. Traditionally fermented soy foods are relatively free of protease inhibitors.
l
When preparing your own soy foods, such as boiled or roasted soybeans or soy milk, ensure that they are adequately heated. The traditional Chinese method for preparing soybeans was a time consuming job that was left to monks. It involved soaking the beans first and then boiling them twice over 'the full length of an incense'.
Phytates
The term phytate refers to several compounds that are based on phytic acid (inositol hexaphosphate). It is the presence of multiple phosphates in phytates that makes them effective chelating agents, i.e. they have the ability to bind to certain metal ions. Obviously if metals are bound up in a phytate-complex, they are less available to the body ( i.e. less bioavailable) for nutritive purposes.
Phytates are particularly adept at binding metals in their so-called divalent state, metal ions such as calcium (Ca2+), copper (Cu2+), iron (Fe2+), manganese (Mn2+) and zinc (Zn2+).
Soybeans contain very high levels of phytate and their are numerous reports of reduced bioavailablity of various metals from foods containing soy; this has particular significance for vegetarians and infants fed soy-formulas.
Vegetarians, particularly young women vegetarians, need to be aware that soy products affect their iron and zinc requirements and it has been recommended that they utilise strategies that minimise the intake of dietary phytate.
The effects of phytate in soy-formulas are a great concern. The iron and zinc requirements of developing infants are well documented, particularly those that relate to cognitive function. There is no question that infants fed soy-formulas are at greater risk of reduced uptake of various essential minerals compared with breast-fed infants or infants fed other formulas.

Copper bioavailability is significantly lower in rhesus monkeys fed low-phytate soy formula from 2 to 4 months.
Iron absorption in infants is approximately doubled by the removal of phytate from soy formula; a similar effect is observed by doubling the ascorbic acid content of a soy formula.
Manganese absorption is also doubled by the removal of phytate from soy formula, but increasing the ascorbic acid content of a soy formula containing the native amount of phytic acid did not improve manganese absorption.
Zinc bioavailability from soy formulas is also reduced by phytate. In rhesus monkeys, zinc absorption was 2.0 times greater from monkey milk compared with soy formula, 2.2 times greater from whey-predominant formula compared with soy formula and 1.7 times greater from casein-predominant formula compared with soy formula. Zinc absorption from dephytinized soy formula was approximately the same as that from casein-predominant formula.
Soy formulas are typically over-supplemented with minerals and vitamins to account for the deficiencies caused by phytate, but it is evident that this does not take care of the problems. Removal of phytate from soy formulas is altogether a better solution but manufactures have not shown any inclination do this. Why not? Phytate removal will cost $$$ and it seems to us that soy formula manufacturers consider economics to be more important than the well being of infants.
Phytates and Scoleosis
Soyonlineservice receives questions about whether soy formulas are causing scoliosis in children. As far as we know there has been no direct research on an association between soy formulas and childhood scoliosis, presumably because the industry has never admitted that it leaves this chemical in its products. Howerver, the levels of phytic acid in soy protein can run as high as 3% of the volume, and soy protein is 19% of soy formulas. Therefore it is feasible and entirely possible for its depletion to the later onset of scoliosis to result
Bioavailability of zinc in milk and soy protein-based infant formulas. Momcilovic B, Belonje B, Giroux A, Shah BG. J Nutr. 1976 Jul;106(7):913-7.
Thus, to provide equivalent amounts of available zinc, the total zinc content of the soy protein-based formula would need to be at least 20% higher than that of the formula containing milk protein.
Full Abstract Here
Manganese
The soybean plant has the ability to absorb manganese from the soil and
concentrate it to an extent that soy-based infant formulas can contain as much as 200 times the level of manganese found in natural breast milk. In babies, excess manganese that cannot be metabolised is stored in body organs. Around eight percent of the excess manganese in the diet is stored in the brain in close proximity to the dopamine-bearing neurons responsible, in part, for adolescent neurological development.
The implications are that the one in eight infants raised on soy formula during the first six months of life may be at risk of brain and behavioural disorders that do not become evident until adolescence. The following three articles discuss the issue of manganese toxicity further:
Is soy-based infant formula brain damaging? Press Release written by David Goodman, Ph.D.
ADD-ing it up: soy infant formula, ADD/ADHD and manganese toxicity
Kaayla T. Daniel, PhD, CCN, 2162 Candelero Street, Santa Fe, NM 87505 Phone: +1 505 984 2093 Email: wholenutrifionist@earthlink.com Website: http://www.thewholesoystory.com
Abstract Manganese is an essential trace mineral, but high levels are neurotoxic to newborns. Infants fed soy infant formula ingest as much as 80 times more manganese per day than those who are breast fed. Although healthy toddlers, children and adults exposed to excess manganese can usually eliminate most of it, infants cannot because their immature livers are not fully functional. At the same time, their growing brains and other organs are highly susceptible to damage from neurotoxins. This article reviews research showing that neonates exposed to the high levels of manganese present in soy formula are at increased risk for neurodevelopmental abnormalities, including an impaired ability to make the neurotransmitter dopamine and damage to the substantia nigra, caudate, putamen and globus pallidus areas of the brain. These findings suggest that soy infant formula is a likely contributor to the epidemic of ADD/ADHD and other cognitive and behavioral disorders.
This paper is a slightly revised and updated version of Chapter 21 from my book The Whole Soy Story: The Dark Side of America’s Favorite Health Food (Publisher: NewTrends Publishing, Inc. (March 10, 2005); ISBN: 0967089751). ©️ Copyright 2005 Pearblossom Private School, Inc.—Publishing Division. All rights reserved.
"How safe is soy infant formula?".
Manganese content of soy or rice beverages is high in comparison to infant

Cockell KA, Bonacci G, Belonje B.
Nutrition Research Division, Bureau of Nutritional Sciences, Food Directorate, Health Canada, Ottawa, Ontario, Canada. kevin_cockell@hc-sc.gc.ca
OBJECTIVE: Well-meaning but inadequately informed parents may perceive plant-based beverages such as soy beverages (SB) or rice beverages (RB) as an alternative to infant formula. Manganese (Mn) is an essential mineral nutrient found at high levels in plants such as soy and rice. Excessive Mn exposure increases the risk of adverse neurological effects. METHODS: We analysed, by atomic absorption spectrometry, the Mn content of 36 SB, 5 RB, 6 evaporated milks (EM), 14 soy-based infant formulas (SF) and 16 milk-based infant formulas (MF), obtained from commercial outlets in Ottawa, Canada. RESULTS: SB had the highest levels of Mn (16.5 +/- 8.6 micro g/g dry wt, mean +/- s.d.), followed by RB (9.9 +/- 1.7 micro g/g dry wt). Mn levels of individual SB/RB ranged from 2 to 17 times the mean Mn content of SF (2.4 +/- 0.7 micro g/g dry wt) and 7 to 56 times that of MF (0.70 +/- 0.35 micro g/g dry wt). EM contained very little Mn (0.02 +/- 0.03 micro g/g dry wt). Calculated mean Mn intakes from SB/RB by infants up to 6 months of age, assuming complete substitution of these products (0.78 L/day), approached the Tolerable Upper Intake Level (UL) for 1-3 year olds (no UL for Mn is available for infants under 1 year of age). Expressed as micro g Mn/100 kcal, SB/RB exceeded the range derived from ULs and typical energy intakes of 1-3 year olds. CONCLUSIONS: SB/RB should not be fed to infants because they are nutritionally inadequate and contain Mn at levels which may present an increased risk of adverse neurological effects if used as a sole source of nutrition.

Aluminium

Aluminum and bone disorders: with specific reference to aluminum contamination of infant nutrients. Koo WW, Kaplan LA. J Am Coll Nutr. 1988 Jun;7(3):199-214.
Enteral nutrients including human and whole cow milk have low Al, whereas highly processed infant formulas with multiple additives, such as soy formula, preterm infant formula, and formulas for specific disorders are heavily contaminated with Al.
However, even with normal renal function, only 30-60% of an Al load from parenteral nutrition is excreted in the urine, resulting in tissue accumulation of Al.
To minimize tissue burden, Al content of infant nutrients should be similar to "background" levels, i.e., similar to whole milk (less than 50 micrograms/L).
Full Abstract Here

Vitamin B12 Deficiency

Vitamin B 12 deficiency has been recognised as a serious result of soy consumption for many years. For instance JJ Rackis discusses it in January 1974 in "Biological and Physiological Factors in Soybeans' in the J. Am. Oil Chemists Soc, pp 161", and Irvin E Liener examines it in 1994 in "Implications of Anti-Nutritional Components in Soybean Foods in Soybean" in Critical Reviews in Food Science and Nutrition
There is a simple explanation of some of the physical effects that can result from a deficiency of this important nutrient at. "Vegans Deficient in Nutrients".
If the Moorhead trial judge had known this, would these people now be serving a jail term for the death of their child?
Read about the Seventh Day Adventist Moorheads Here and Here.
Vitamin B1 Deficiency
Soy is deficient in Vitamin B1. In extreme cases...as in the one below,where it seems the formula maker ( a Heinz subsidiary) omitted to fortify the formula with Vitamin B1 to compensate for the nutritional risks of consuming too much soy.
Arutz-7 News: Monday, November 10, 2003
THREE BABIES HOSPITALIZED WITH BERIBERI Three infants between the ages of five months and a year were hospitalized in Soroka Hospital in Be'er Sheva last night, for fear that they, too, may have been inflicted with the Remedia-B1 syndrome. The number of hospitalized babies in the Remedia case is now eight; 17 instances have been discovered, and three babies have died, including one who died six months ago. The condition of three babies in Schneider Children's Hospital has improved, although a fourth is still unconscious. The Health Ministry issued instructions last night for all parents who have fed their babies Remedia's soy-based milk substitute in the past two months to take them for check-ups. The country's health funds will distribute free Vitamin B1 syrup to babies who need it. The Health Ministry now assumes that the mysterious disease is nothing other than beriberi, a severe thiamine (B1) deficiency, which some feel is a "third world" disease. Beriberi has become very rare in the western world because most foods are vitamin-enriched. However, it can occur in breast-fed infants when the mother has an inadequate intake of thiamine, in infants fed formulas with inadequate thiamine supplements, and in developing countries with limited diets based largely on milled rice. The Remedia formula is not poisonous, but it does not contain the all-important Vitamin B1 - contrary to the list of ingredients on the package. The formula was changed several months ago, but the list of ingredients did not reflect the new composition. Not only did the stock of Remedia's competitor Materna jump 41% yesterday, but the State Prosecution is now considering a criminal investigation against the directors of Remedia.

Other Toxins
Letter to FDA CONSUMER magazine http://www.fda.gov/fdac/departs/2000/400_ltrs.html August 2000
The FDA Consumer article on soy spoke of the possible risks of plant estrogens, but made no mention of the carcinogenic effects of protease inhibitors found in soy. McGuinness et al. report rats fed raw soya flour develop cancer of the pancreas ("The effects of long-term feeding of soya flour on the rat pancreas," Scandinavian Journal of Gastroenterology, 1980; 15:497-502). They say that preheating the flour protected the animals, but others have said that the high heat required (130 degrees Celsius) to deactivate the carcinogenic trypsin inhibitors in soya flour denatures the soy proteins to the point that they become virtually useless. If this is so, one either chooses less heating, resulting in more surviving trypsin inhibitors, or more heating, resulting in useless protein.
William Jarvis, Ph.D.
Department of Health Promotion and Education
Loma Linda University
Loma Linda, Calif.

Soyatoxin

The soy industry funds millions of dollars of research each year; what chance is there for the discoverers of soyatoxin to get funding to continue their work?


Citation :
For ALL the answers get 'The Whole Soy Story' by Kaayla T Daniel,PhD, CCN. ISBN 0-9670897-5-1. 450 pages
incl 45 pages of end note refs.
My wife was a victim of soy milk.Took
5
years for symtoms to show.Destroyed thyroid operation which damaged
heart (atrial fibrillation). Now 5 times greater chance of stroke!

http://snhbw.blogspot.com/2009/02/update-on-soy-online-service.html


Citation :
Have you ever wondered about soy?
It's promoted as the miracle food that will feed the world while at the
same time prevent and cure all manner of diseases.

But what if all you've read about soy is nothing but a multi-million dollar marketing strategy based on scanty facts, half-truths and lies?


Most people remain unaware that soy is known to contain an array of potent chemical toxins. The modern manufacturing processes of high-profit industries make no effort to remove these potent toxins. High levels of phytic acid, trypsin inhibitors, toxic lysinoalanine and highly carcinogenic nitrosamines are all present in soy products.


Phytoestrogens that disrupt endocrine function and are potent antithyroid agents are present in vast
quantities in soy, including the potentially devastating isoflavone
Genistein
. Infants exclusively fed soy-based formula have 13,000 to
22,000 times more estrogen compounds in their blood than babies fed
milk-based formula, the estrogenic equivalent of at least five birth
control pills per day.


Premature development of girls has
been linked to the use of soy formula, as has the underdevelopment of
males. Infant soy formula has been linked to autoimmune thyroid disease.



Soy is linked to infertility, breast cancer, hypothyroidism, thyroid cancer, and many other disorders.




"Imagine drugs that are known, by
years of scientific documentation, to be both carcinogenic and to also
cause DNA and chromosome damage
being prescribed and administered
through the food supply to populations of many countries around the
world without the knowledge or consent of the individuals consuming
these foods ... with no way to track dosage, individual reactions, or
harmful side-effects ... and without any concern for some people’s
increased vulnerability to these drugs, such as cancer patients.


It sounds crazy, but that is
exactly what is happening around the world when Soy is added to our food
supply. Soy contains the scientifically documented carcinogenic and DNA
damaging and chromosome damaging natural chemicals genistein and
daidzein." - True Health, the magazine of Carotec Inc., Naples, Florida.
May/June 2004.





"(Soyfoods) are not nutrients. They are drugs."
Dr. L. White, Honolulu Aging Study.


http://panacea-bocaf.org/soyonlineservice.htm

Citation :


Alors pourquoi négliger
le soja non fermenté ?




Parce que le soja non fermenté contient un nombre important de toxines
naturelles telles que Les Goitrogènes qui dérèglent le métabolisme thyroïdien,
l'Hémaglutine qui, en faisant s'agglomérer les globules rouges peut occasionner
la formation de caillots, l'acide phytique qui peut bloquer, dans l'intestin,
des minéraux aussi essentiels que le fer, le zinc, le cuivre, le magnésium ou
le calcium.
De nombreuses études ont d'ailleurs établi le rôle néfaste joué par l'acide
phytique dans notre organisme, notamment celui de la carence en minéraux. On a
constaté, en particulier dans les pays du tiers-monde qu'une alimentation à
base de soja riche en acide phytique empêche l'assimilation des minéraux présents
dans les légumes ingérés parallèlement.
Or, la graine de soja a un taux de Phytates excessivement élevé qui résiste
même à de longues cuissons et ne se réduit de manière importante et
significative comme lors de la fermentation.

Parmi ces toxines on trouve également des inhibiteurs d'enzymes qui bloquent
l'action de la Tripsyne
et d'autres enzymes nécessaires à la digestion des protéines. Ces inhibiteurs
sont de grosses protéines difficiles à éliminer et qui peuvent occasionner des
troubles gastriques, des déficiences dans l'absorption des acides aminés.

Ces inhibiteurs seraient même impliqués dans certains cancers. De même partout
dans le monde où les enfants ont remplacé les produits à base de viande et de
poisson par une trop grande consommation de produits à base de soja riche en
Phytates, ils souffrent de rachitisme et de troubles de croissance.






Des constats identiques
ont été faits en ce qui concerne le SPI ou Isolate de Protéines de
Soja
, ingrédient essentiel de nombreux aliments à base de soja, ersatz de
viande et de produits laitiers. L'obtention à haute température de ce produit
industriel ne supprime qu'une infime partie de la teneur en inhibiteurs de la
tripsyne.

Dans ces produits à base de SPI on rajoute en plus de nombreux additifs comme
le glutamate de sodium dont nos lecteurs savent le mal que nous en pensons. Au
cours de la fabrication de SPI, la phase " bain acide " dans les
récipients aluminium laisse des taux
élevés d'aluminium dans les produits finis.


Là encore, ceux qui ont lu notre article sur les vaccins savent les dangers que
représente l'aluminium. De plus, la phase de déshydratation et pulvérisation
génère ces cancérigènes que sont les Nitrites, puis la phase de transformation
alcaline génère à son tour une toxine appelée Lysinoalamine.

Et un peu partout dans le monde, le SPI et la TVP. (Fibre
végétale protéique
) sont largement
utilisés dans divers programmes nutritionnels, scolaires, dans des pâtisseries
et des boissons,... Compte-tenu des éléments précédents
il apparaît que la publicité mondiale faite autour du soja
et ses dérivés est véritablement inquiétante au regard des effets indésirables
provoqués ; les vertus qui lui sont par ailleurs attribuées dans des domaines
aussi différents que le cancer, le cœur, le cholestérol,... sont dans la
plupart des cas très exagérées, comme par exemple des affirmations selon
lesquelles le soja empêche l'ostéoporose alors qu'il est bien attesté au
contraire que les aliments à base de soja provoquent des carences en vitamine D
et bloquent le calcium.

Parmi les autres toxines contenues dans le soja, citons encore la Génistéine, le Diadzen,
et les Isoflavones qui dérèglent le système endocrinien. On comprend qu'il y a
des siècles, les Chinois ne consommaient jamais de soja tel quel point aujourd'hui,
ceci ne remet pas en cause les aliments à base de soja FERMENTÉS,
qui eux ont des vertus indéniables, qui s'ajoutent aux qualités gustatives.

Sources :
-- Mary G. Enig (mail : MGEnig@aol.com)
-- Article de M. Burros " les bonnes nouvelles du soja assombries par des
doutes " paru sur le New York Times du 26 janvier 2000.
-- Étude Puerto Rico Premature The Larche de 1986
-- Article de J. Anderson paru sur le " New England Journal of
medecine."
-- Sally Fallon (mail : SA Fallon@aol.com)




et pour finir en beauté, le bouquet final :

ce qui n'est jamais dit : l'extrait de soja est à l'origine un TRES PUISSANT insecticide naturel utilisé en tant que produit industriel. Il a été modifié pour le rendre "consommable" avant qu'on le modifie à nouveau avec les souches OGM actuelles .

Genistein in soy
is proven to be and is classified as a Topoisomerase II-
poison


Dernière édition par nofear le Mer 4 Juil 2012 - 22:41, édité 1 fois

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Messagepour le dessert
par nofear Mer 4 Juil 2012 - 19:34

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Messagere / soja : lien complémentaire
par marie Mer 4 Juil 2012 - 20:13


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MessageRE/ soja
par nofear Mer 4 Juil 2012 - 21:37

on va pas rentrer dans la polémique stérile pro ou contre . Je ne cherche à convaincre personne et que les sojavores continuent comme ils l'entendent avec leur saint aliment béni. C'est d'ailleurs parfaitement précisé dans mon post.


Le Dr Seignalet a bien des qualités mais à mon sens argumenté ci dessus le soja est une erreur comme d'autres préconisations dans son "talmud" comme la qualité de l'eau pour ne citer qu'elle mais c'est bien normal quand on a une vision chimico-mécaniste de robot biologique.


En ce qui concerne les produits laitiers , ce thème a été abordé en partie privée il y a déjà... Et à ce sujet j'ai aussi mon "dossier" mais chaque chose en son temps et on y arrivera bien à un moment ou à un autre. Et pas de souci ça tapera très fort là aussi. D'ailleurs je commence à y faire référence juste au dessus...

NB il faut être un bon gros crétin pour gober que des œstrogènes femelles sont bons pour la prostate comme c'est précisé dans l'article de la nutrition. Ce qui ne veut rien dire en soit en plus...

Mais c'est vrai j'ai des lacunes je n'aurais pas bien étudié ma copie végétaliste...

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MessageMagnetic water
par nofear Jeu 5 Juil 2012 - 2:46

https://www.youtube.com/watch?v=YVL6tfGhr8M&feature=related



Comment "structurer" son eau c'est TRES simple et gratuit .

1min30s

Citation :
How To Structure Water


https://www.youtube.com/watch?v=cQqkEq5YYOg&feature=related



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Messagel anxiété accélère le vieillissement
par nofear Mar 17 Juil 2012 - 16:10

par vieillissement comprenez ralentissement du métabolisme cellulaire. Et par métabolisme comprenez non seulement la biochimie qui n'est que la conséquence de l'activité vitale et non la cause initiale ...

d'où l'intérêt de consommer des aliments + eau "vivants" donneurs d'électrons (rH2 faibles)

rappel pour l'eau biocompatible : pH < 7; rH2 < 24; résistivité rô(en mg/l ou ppm) < 120

Citation :
Anxiety linked to shortened telomeres, accelerated aging




BOSTON, MA—Is anxiety related to premature aging? A new study by
researchers at Brigham and Women's Hospital (BWH) shows that a common
form of anxiety, known as phobic anxiety, was associated with shorter
telomeres in middle-aged and older women. The study suggests that phobic
anxiety is a possible risk factor for accelerated aging.

The study will be electronically published on July 11, 2012 in PLoS ONE.

Telomeres are DNA-protein complexes at the ends of chromosomes. They
protect chromosomes from deteriorating and guard the genetic
information at the ends of chromosomes during cell division. Telomeres
are considered markers of biological or cellular aging. Shortened
telomeres have been linked to increased risk of cancers, heart disease,
dementia and mortality.

In this large, cross-sectional study, researchers had obtained blood
samples from 5,243 women, age 42 to 69 years, who were participants in
the Nurses' Health Study. Using the samples, the researchers analyzed
telomere lengths, as well as the participants' concurrent self-reports
regarding phobic symptoms on a validated questionnaire.

Having a high phobic anxiety level was associated with significantly
shorter telomere lengths. The difference in telomere lengths for women
who were highly phobic vs. not was similar to what was seen for an
additional six years of age.

"Many people wonder about whether—and how—stress can make us age
faster," said Olivia Okereke, MD, MS, BWH Department of Psychiatry,
study author. "So, this study is notable for showing a connection
between a common form of psychological stress—phobic anxiety—and a
plausible mechanism for premature aging. However, this type of study
design cannot prove cause-and-effect or which problem came first—the
anxiety or shorter telomeres."

The findings pave the way for further prospective investigations relating anxiety to telomere length change.


###
This research was supported by a
Harvard Medical School Shore Fellowship award and grants from the
National Institutes of Health.

Brigham and Women's Hospital (BWH) is a 793-bed nonprofit teaching
affiliate of Harvard Medical School and a founding member of Partners
HealthCare. BWH has more than 3.5 million annual patient visits, is the
largest birthing center in New England and employs nearly 15,000 people.
The Brigham's medical preeminence dates back to 1832, and today that
rich history in clinical care is coupled with its national leadership in
patient care, quality improvement and patient safety initiatives, and
its dedication to research, innovation, community engagement and
educating and training the next generation of health care professionals.
Through investigation and discovery conducted at its Biomedical
Research Institute (BRI), BWH is an international leader in basic,
clinical and translational research on human diseases, involving nearly
1,000 physician-investigators and renowned biomedical scientists and
faculty supported by nearly $625 million in funding. BWH continually
pushes the boundaries of medicine, including building on its legacy in
organ transplantation by performing the first face transplants in the
U.S. in 2011. BWH is also home to major landmark epidemiologic
population studies, including the Nurses' and Physicians' Health
Studies, OurGenes and the Women's Health Initiative. For more
information and resources, please visit BWH's online newsroom.


http://www.eurekalert.org/pub_releases/2012-07/bawh-alt070912.php





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MessageBisphénols suite du feuilleton
par nofear Mar 17 Juil 2012 - 16:15

il n' y a pas que le A ...

Citation :
(NaturalNews) Growing awareness about the prolific presence of the
hormone disruptor bisphenol A (BPA) in plastics, receipt paper, money,
and various other consumer products and materials has led to the
widespread removal of this highly toxic chemical from many products in
recent years. But bisphenol S (BPS), the chemical now being used in
place of BPA in many "BPA-free" products, may be just as harmful -- if
not more harmful -- than BPA.

A new study published in the ACS journal Environmental Science & Technology
is the first to analyze the presence of BPS in consumer products, and
particularly in both thermal and recycled paper products. According to
Kurunthachalam Kannan and colleagues who conducted the study, BPS is
similar to BPA in that it mimics estrogen, and can cause severe
endocrine disruption as a result of repeated exposure.

For their study, which was funded in part by the U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), the National Natural Science Foundation of China,
and the Department of Science and Technology of Shandong Province,
Kannan and the team tested 16 different types of paper and paper
products, including thermal receipt paper, paper currencies, flyers,
magazines, newspapers, food contact papers, airplane luggage tags,
printing paper, paper towels, and toilet papers.

They found that
every single tested sample of thermal receipt paper, which is used by
most retailers nowadays to print purchase receipts, tested positive for
BPS at concentrations ranging from 0.0000138 milligrams per gram (mg/g)
to 22.0 mg/g. This is roughly the same range level that has been
observed in thermal receipt paper for BPA in earlier studies.

BPS is up to 19 times more absorbable in the skin than BPA

The
research team also found that 87 percent of currency bill samples,
which were collected from 21 different countries, contained BPS in
varying levels. BPS was also observed in 14 of the other paper products
sampled as well, including in 52 percent of recycled paper samples
tested, which indicates that this largely unknown chemical is quietly
hiding in all sorts of paper products that millions of people are
exposed to every single day.

Perhaps the most disturbing finding
about BPS; however, is the fact that BPS absorbs into the skin at much
higher rates than BPA. According to the study, BPS is capable of
absorbing at a rate up to 1900 percent higher than BPA, which makes it
potentially much more harmful than BPA at altering hormone levels.

According
to a 2005 study out of Japan, BPS is only slightly less potent than BPA
at mimicking the female hormone estrogen in the body. However, other
studies have shown that BPS is far less biodegradable than BPA, and is
actually the most persistent bisphenol compound among eight of the most
common bisphenol compounds tested. (http://www.environmentalhealthnews.org)

Sources for this article include:

http://www.sciencedaily.com/releases/2012/07/120711210241.htm

http://www.naturalnews.com/031858_store_receipts_BPA.html

Learn more: http://www.naturalnews.com/036497_BPA_BPS_chemical.html#ixzz20tCUOpSc

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MessageBébés OGM c'est fait !
par nofear Mar 17 Juil 2012 - 16:45

La fin de l'espèce humaine c'est NOW , oh certes pas en 5 minutes mais le processus est engagé ...

Pour du fric puisque vous pourrez vous payer une bestiole ARTIFICIELLE (grâce à un crédit bancaire) sur mesure breveté et garanti sans défaut (immédiat et visible ...)

Citation :
Dozens of Genetically Modified Babies Already Born - How Will They Alter Human Species?

Surprise, Surprise... "Unpredictable Outcomes" Reported



As it turns out, this type of genetic modification, called cytoplasmic
transfer, is actually a hot topic among geneticists, but it's rarely
published or discussed in the lay press, if at all—as evidenced by my
own surprise when reading this decade-old piece of news.

Many follow-up reports continue to tout the high success of this method
of treating infertility. But some, including a book put out by
Cambridge Press, warns of the dangers and risks of this procedure. For
example, the following excerpts from a report3 delivered during the 2003 World Congress on Controversies in Obstetrics, Gynecology & Infertility
in Berlin raises questions about the less than thoughtful
implementation of this technology, and some of the problems
encountered:


"... Cytoplasmic control of preimplantation development is not a
"new" concept, but ooplasm transfer have been amazingly rapidly applied
in humans, with relative success, in the absence of extensive research
to evaluate the efficacy and the potential risks of the method,
resulting in some publications highlighting the potential dangers
(Winston and Hardy 2002, DeRycke et al 2002, Templeton 2002), and
unpredictable outcomes (Cummins 2001, 2002)
.

... A frank follow-up of ooplasmic transplantation pregnancies and
infants reports that two out of 17 fetuses had an abnormal 45, XO
karyotype. The authors assume the hypothesis of a link between
chromosomal anomalies and oocytes manipulation, and reveal that one of
the babies has been diagnosed at 18 months with Pervasive Developmental
Disorder, a spectrum of autism-related diagnoses
." [Emphasis mine]


So it didn't take long—less than two years, in fact—for reports of
"unpredictable outcomes" to crop up. I for one am not surprised. It's
somewhat disconcerting that so much of this research is taking place
without open discussion about the ethical questions associated with it.


The US FDA appears to have begun looking at the ethics of ooplasmic transplantation, and in one powerpoint4
it is pointed out that an 18-month-old child born from this procedure
has been diagnosed with autism (PDD), and that the incidence of
chromosomal anomalies is known to be higher in children born from the
procedure than the rate of major congenital abnormalities observed in
the natural population.

The document also states that lack of testing and long-term follow-up
of the children born from the procedure so far is a significant
shortcoming, making evaluation of the safety and effectiveness of the
technique very difficult. The genetic modification of humans appears to
have been running alongside the genetic engineering of plants, being
just a few years behind in terms of the technology being unleashed, and
the lack of proper evaluation of health effects is apparently on par
as well, which is to say near non-existent...

http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2012/07/17/first-genetically-modified-babies-born.aspx?np=true

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MessageAgent orange et soja
par nofear Ven 20 Juil 2012 - 16:45

vous connaissez tous cette sinistre appellation ?

Bon , l'herbicide Monsanto "round up" n'est autre qu'un "recyclage" de ce "joyau technologique" de mort .

A propos Monsanto détient 90% du marché mondial du soja ... Wink

mesdames Messieurs les sojavores vous engraissez à l'insu de votre plein gré un empoisonneur qui vous empoisonne ... Mais à présent en lisant ces lignes ce n'est plus à votre insu mais de votre acte volontaire et délibéré ...

Citation :
2,4-D Herbicide and Super GMO Crops

And perhaps even more startling than the drastic increase in
herbicide usage is the fact that Dow AgroSciences’ new genetically
modified soy is actually specifically designed to resist an especially
toxic herbicide known as 2,4-D, a toxic compound used in the well-known
Vitetnam War defoliant Agent Orange. Known to kill or maim at least 400,000 and cause an additional 500,000 birth defects according to conservative Viatnamese estimates, Agent Orange is one of the deadliest concoctions on record.

As of now, biotech giant Monsanto still has a tight grasp on the corn
and soybean market, with approximately 90 percent of soy and 70 percent
of corn engineered
to drown in Monsanto’s best-selling herbicide
Roundup.
However, it seems that their control over this market may soon
dwindle at rapid speeds, as Roundup is creating a whole new category of
superweeds that are resistant to Roundup and the active ingredient in
Roundup - glyphosate. These resistant weeds were expected by experts to coverat least 120 million hectares worldwide by 2010.


article complet



http://www.blacklistednews.com/New_GMO_%E2%80%98Agent_Orange_Soy%E2%80%99_Silently_Backed_by_USDA/20610/0/38/38/Y/M.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

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Messageinsécurité médicamenteuse
par nofear Ven 20 Juil 2012 - 18:06

du verre dans les injections de poisons utilisés contre le cancer

Citation :

Glass particles found in injectable cancer drugs; massive FDA recall issued



Friday, July 20, 2012 by: J. D. Heyes

Learn more: http://www.naturalnews.com/036531_cancer_drugs_glass_particles.html#ixzz21BBULppN

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Messagereligion soja : fin d'un mythe
par nofear Ven 20 Juil 2012 - 19:14

les dogmes rien de plus difficile à extirper d'un cerveau atteint , désolé "d'insister".

Citation :

Portée aux nues par les végétariens et les
associations écologistes, la consommation de soja fait aujourd’hui
l’objet de sérieuses mises en garde de la part de nombreuses autorités
sanitaires internationales.


Non seulement l’alimentation à base de soja n’apporterait aucun
élément bénéfique à la santé, mais une consommation exagérée serait même
dangereuse.


« Aucun effet significatif [des protéines de soja] n’a été mis en
évidence sur le cholestérol HDL, les triglycérides, les lipoprotéines ou
la pression sanguine.


Sur
les 19 études portant sur les isoflavones du soja, l’effet moyen sur le
cholestérol LDL et les autres facteurs de risques lipidiques s’est
révélé nul



».
C’est ce qu’affirme l’American Heart Association (AHA) dans sa mise à
jour exhaustive des connaissances actuelles sur l’alimentation à base de
soja, publiée le 17 janvier 2006. Ses conclusions corroborent
celles de l’Agency for Healthcare Research and Quality (l’agence
américaine pour la recherche médicale, AHRQ), qui indiquait déjà dans un
rapport d’août 2005 qu’« il n’est pas prouvé que les protéines de soja
et les isoflavones permettent de réduire les symptômes vasomoteurs de la
ménopause, [et que] les résultats sont ambigus quant à leur capacité à
ralentir la perte de moelle osseuse post-ménopause.



L’efficacité et la sûreté des isoflavones de soja pour la prévention
et le traitement des cancers du sein, de l’endométrium et de la
prostate, ne sont pas établies, les essais cliniques nous amènent à être
prudents quant aux effets néfastes possibles. Pour cette raison, la
supplémentation en isoflavones par la nourriture ou les médicaments
n’est pas recommandée. Les premières recherches indiquant que les
protéines de soja ont des effets cliniques favorables n’ont pas été
confirmées ».


Or, cela fait à peine sept ans - exactement depuis le 25 octobre 1999
- que l’US Food and Drug Administration (FDA) a autorisé l’industrie du
soja à afficher sur ses produits le message indiquant qu’une diète
quotidienne comportant 25 grammes de soja « pourrait réduire le risque
de maladie cardiaque » ! Cette décision coïncidait très précisément avec
la tenue du Troisième Symposium sur le Soja, sponsorisé par l’United
Soybean Board, l’American Soybean Association, Protein Technologies
International, Central Soja et Cargills Foods, qui marquait l’apogée
d’une campagne marketing initiée dix ans auparavant pour faire accepter
aux consommateurs une longue liste de produits à base de soja.


Pour le Dr Mark Messina, auteur de
plusieurs ouvrages grand public sur les bienfaits du soja - et l’un des
principaux champions de l’alimentation végétarienne -, ce symposium a
été l’occasion d’expliquer devant un parterre de journalistes admiratifs
que « chaque année, les travaux de recherche sur le soja et les
produits à base de dérivés du soja semblent croître de façon
exponentielle.


Mieux encore, la recherche ne se limite plus aux premiers domaines
d’investigation comme le cancer, les affections cardiovasculaires et
l’ostéoporose. De nouvelles découvertes donnent à penser que le soja a
potentiellement des effets favorables dans plus de situations qu’on ne
l’avait pensé jusqu’ici ». Il n’en a pas fallu davantage pour faire
progresser partout dans le monde la vente de « lait de soja » et autres
« pâtés de tofu », faisant exploser les bénéfices des vendeurs de soja.
Jadis produit-vedette des seuls écologistes avertis, le vilain petit
canard des industries agro-alimentaires s’est ainsi métamorphosé en
Cendrillon alimentaire de l’âge post-moderne.


La clé de cette fulgurante réussite économique réside dans une
stratégie de promotion particulièrement habile, parfaitement résumée par
l’un des porte-parole de l’industrie du soja : « La façon la plus
rapide d’attirer la confiance de l’acheteur dans les couches de
population les moins aisées [...] est de fabriquer un produit consommé
par les plus riches en raison de ses seuls mérites ».


En d’autres termes, il s’agissait de transformer cette légumineuse
insipide en produit-miracle prévenant contre le cancer et les maladies
cardiovasculaires, éliminant les bouffées de chaleur et solidifiant les
os. Bref, de promouvoir le soja au rang d’alicament paré de - presque -
toutes les vertus. Pour Maria G. Enig, nutritionniste de renommée
internationale et présidente de l’Association des Nutritionnistes du
Maryland, « des miracles dans la fabrication, une belle présentation,
une publicité massive et une bonne stratégie de marketing soulignant les
bénéfices possibles du produit sur la santé, sont les raisons du succès
des ventes à tous les groupes d’âge de la population ».


Pourtant, « seulement quelques décades plus tôt, le soja était
considéré comme impropre à la consommation, en raison de ses grandes
quantités de toxines naturelles ». D’ailleurs, dans l’édition de 1913 du
Manuel du ministère de l’Agriculture américain, le soja n’était pas
considéré comme un aliment, mais comme une culture industrielle !


Inhibiteurs d’enzymes et phytates


De fait, le soja contient de puissants inhibiteurs qui bloquent
l’action d’enzymes indispensables à la digestion (dont la trypsine).
Comme le souligne Maria G. Enig, « ces inhibiteurs sont de grosses
molécules de protéines très hermétiquement repliées, qui ne sont pas
complètement désactivées lors d’une simple cuisson. Ils peuvent produire
de graves troubles gastriques, réduisent la digestion des protéines, ce
qui entraîne des carences chroniques d’absorption des acides aminés ».
Le soja contient également des substances goitrigènes, riches en acide
phytique.


Cet
acide est une biomolécule qui bloque l’absorption de minéraux
essentiels comme le calcium, le magnésium, le cuivre, le fer et surtout
le zinc.



Catalogué « métal de l’intelligence » en raison de son caractère
indispensable au développement et au fonctionnement normaux du cerveau
et du système nerveux, le zinc joue un rôle essentiel dans la synthèse
des protéines et dans la formation du collagène (une protéine fibraire
qui est le constituant structural de l’os). Il est également impliqué
dans la régulation du sucre sanguin et protège contre le diabète.
Indispensable à la fonction de reproduction, le zinc entre par ailleurs
dans la composition de nombreux enzymes et joue un rôle important dans
le système immunitaire.


Les effets de l’acide phytique ont été étudiés de façon intensive -
comme en témoignent les centaines d’articles publiés dans la littérature
scientifique -, ce qui a conduit les chercheurs à penser que les
régimes à base de graines et de légumineuses riches en phytates (sels
insolubles formés par l’acide phytique) sont à l’origine des nombreuses
carences en minéraux observées dans les pays du tiers-monde.


Or, non seulement le soja contient une quantité importante de
phytates, mais ceux-ci restent présents même après une cuisson lente
prolongée. C’est la raison pour laquelle les végétariens - et à plus
forte raison les végétaliens - qui consomment du tofu (un dérivé de la
fève de soja) comme substitut de viande - ou de produit laitier -,
s’exposent à des carences sévères en matières minérales.


La polémique des phyto-estrogènes


Cependant, l’aspect le plus controversé du soja concerne sans aucun
doute sa teneur en phyto-estrogènes, molécules s’apparentant aux
perturbateurs endocriniens. Présents dans de nombreux végétaux, les
phyto-estrogènes ont une structure chimique proche de celle de
l’œstrogène (hormone sexuelle).


L’industrie du soja a longtemps prétendu que cette légumineuse
possédait des vertus anti-cancérigènes. Propos que l’on retrouve
régulièrement dans la presse grand public sur la nutrition, ou dans des
publicités vantant les mérites des produits à base de soja. Dans la
revue belge Health & Food, le diététicien Nicolas Rousseau
expliquait en décembre 2003 que « plusieurs études in vitro ont montré
que la génistéine (la principale et la plus active isoflavone du soja)
est susceptible de freiner la croissance de cellules cancéreuses
prostatiques de lignée humaine ». C’est à Mark Messina que l’on doit
l’origine de ces affirmations, qui figurent dans son livre The Simple
Soy Bean and Your Health, publié en 1994. Dans le cadre d’un régime
« optimal », le nutritionniste américain y recommande la consommation
d’une tasse (230 g) de soja par jour « pour prévenir le cancer ».


La même année, il publie dans Nutrition and Cancer un article faisant
état de 26 études réalisées sur des animaux, qui indiqueraient que le
soja a des effets protecteurs en matière de cancer pour 65 % d’entre
eux. Cependant, il s’y montre beaucoup plus prudent que dans son livre,
affirmant même que « les données présentées dans cette revue ne peuvent
pas être utilisées en tant que preuves pour déclarer que l’ingestion de
soja diminue les risques de cancer ».


Comme le souligne Maria G. Enig, « chez l’homme, les résultats [des
études] étaient en fait très mitigés. Quelques résultats montraient bien
un effet protecteur, mais la plupart ne montraient aucune corrélation
entre cancer et consommation de produits du soja ». Un avis partagé par
l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), qui
avertit ouvertement des effets possibles du soja sur le cancer du sein
dans son rapport de mars 2005 :


« Les études animales montrent que les isoflavones peuvent favoriser
la prolifération et la croissance de tumeurs mammaires hormono-
dépendantes, suggérant un risque potentiel pour les personnes ayant des
antécédents personnels ou familiaux de cancers du sein
hormonodépendants ».


Depuis la publication des articles de Mark Messina, de nombreux travaux ont en effet remis en cause sa théorie. Dès 1996, le Dr
Nicolas Petrakis a démontré que les femmes consommant des isolats de
soja (extraits protéiques de soja devant atteindre au moins 90 % de
protéines sur poids sec) présentaient une incidence accrue d’hyperplasie
épithéliale, un état qui préfigure la formation de tumeurs malignes.
L’année suivante, le Dr Craig Dees, de
la Health Sciences Research Division du Laboratoire national d’Oak
Ridge (Tennessee), a mis en évidence le fait que la génistéine (qui
appartient à la famille des polyphénols) apportée par l’alimentation
stimulait les cellules mammaires et les faisait entrer dans le cycle
cellulaire. Ce qui l’a conduit à conclure que les femmes devraient
s’abstenir de consommer des produits à base de soja pour prévenir le
cancer du sein.


Soja et baisse de fertilité


La liste des accusations contre le soja ne s’arrête pas là. De plus
en plus d’études établissent aujourd’hui clairement un lien entre les
phyto-estrogènes et plusieurs anomalies morphologiques, dont certaines
induisent une baisse de la fertilité. C’est ce qui a entraîné plusieurs
agences sanitaires à déconseiller le soja aux femmes enceintes ou
allaitantes et aux enfants en bas âge. « Les études animales montrent
que les phases précoces du développement des organes sexuels (pendant la
gestation et la lactation) sont particulièrement sensibles à
l’exposition aux phyto-estrogènes. Des anomalies morphologiques pouvant
entraîner une diminution de la fertilité [...] sont observées »,
rappelle l’Afssa dans son rapport de 2005.


L’Agence française recommande en conséquence d’« éviter chez la
femme enceinte et allaitante une consommation élevée d’isoflavones,
notamment sous la forme de compléments alimentaires ». De même, « la
consommation de produits à base de soja chez le nourrisson (préparations
à base de protéines de soja, puis préparations de suite) et l’enfant en
bas âge (tonyus, yaourts au soja) » est à écarter. Dans un avis rendu
le 20 avril 2005, l’Afssa va jusqu’à déconseiller la consommation de jus
de soja (tonyus) par les enfants de moins de trois ans. Pour les
adultes, elle recommande une consommation « limitée à 1 mg/kg de poids
corporel par jour ».


Lors du dernier Congrès européen sur la fertilité qui s’est tenu à Copenhague en juin 2005, le Pr
Lynn Fraser, spécialiste en biologie reproductive au King’s College de
Londres, a également préconisé l’abstention de consommation du soja
pendant les jours fertiles du mois pour les femmes désirant un bébé.


Comme l’explique le journaliste Emmanuel Grenier, relatant les propos du Pr
Fraser dans un article publié en février 2006 dans la revue Industrie
& Environnement, « la génistéine, l’une des principales hormones
contenues dans le soja, rend inopérants les spermatozoïdes qui se
dirigent vers l’ovule. La molécule initierait trop tôt une réaction qui
donne aux spermatozoïdes l’aptitude à fertiliser l’œuf. Dans la vie
réelle, cela n’arrive habituellement pas avant que le spermatozoïde ait
séjourné quelques heures dans les voies génitales féminines et à un
moment proche de son arrivée vers l’œuf ».


Les premiers soupçons sérieux concernant le lien entre consommation
de soja et baisse de fertilité remontent au début des années
quatre-vingt-dix. En 1991, Richard et Valérie James, éleveurs d’oiseaux
exotiques à Wangerai (Nouvelle-Zélande), achètent une nouvelle marque
d’aliments pour leurs oiseaux, essentiellement à base de protéines de
soja. Ainsi nourris, les volatiles prennent leurs couleurs après
quelques semaines seulement, alors qu’habituellement il faut attendre la
maturité sexuelle, soit entre neuf et vingt-quatre mois. Cette
précocité constituait d’ailleurs l’un des arguments de vente du
fabricant, qui montrait dans une publicité un Crimson Rosella rouge
foncé de onze semaines déjà brillamment coloré (alors que ce perroquet
australien prend normalement ses couleurs entre dix-huit et vingt-quatre
mois).


Malheureusement, les années suivantes, non seulement les oiseaux du
couple d’éleveurs connaissent une baisse de fertilité, mais leurs petits
présentent des malformations du bec et des os, ainsi que des goitres.
Par ailleurs, ils sont atteints de troubles du système immunitaire et
ont un comportement pathologique agressif. L’autopsie révèle une
désintégration complète du tube digestif. La famille James fait appel à
un toxicologue, le Dr Mike
Fitzpatrick, qui apporte les preuves que les troubles observés (en
particulier les perturbations de la fertilité) sont imputables à la
consommation de soja. S’appuyant sur des études des années cinquante qui
avaient démontré que la génistéine provoquait des perturbations
hormonales chez les animaux, le Dr
Fitzpatrick analyse ces aliments pour oiseaux. Sans surprise, il
découvre qu’ils présentent une teneur élevée en génistéine. Le couple
d’éleveurs cesse de donner les aliments suspects à ses oiseaux, et
progressivement, ceux-ci retrouvent d’ailleurs reproduction et
comportement normaux.


C’est également en 1991 que des chercheurs japonais découvrent que la
consommation d’une quantité aussi faible que 30g de soja par jour (soit
l’équivalent de deux cuillerées à soupe) pendant un mois peut provoquer
un accroissement marqué de l’hormone stimulante de la thyroïde (TSE).
Celui-ci se manifeste par un goitre diffus et une hypothyroïdie
(insuffisance de la fabrication d’hormones thyroïdiennes). Six ans plus
tard, une équipe de chercheurs travaillant sous la direction du Dr.
Rao L. Divi, du National Center for Toxicological Research (NCTR, un
centre de recherche sous la tutelle de la FDA), met en évidence la
responsabilité des isoflavones contenues dans l’isolat de protéine de
soja dans la formation du goitre.


Dans une lettre ouverte datée du 18 février 1999, les professeurs
Daniel Sheehan et Daniel Doerge, également chercheurs au NCTR, ont
présenté des résultats d’études démontrant les effets négatifs de
l’alimentation à base de soja. Ils ont affirmé que la génistéine
provoquait des dommages irréversibles aux enzymes réalisant la synthèse
de l’hormone thyroïdienne. Par conséquent, ils ont déconseillé à leur
autorité de tutelle d’accorder la mention « santé » aux produits à base
de soja.


Quelques mois plus tard, le Pr
Claude Hughes, du Duke University Medical Center de Chicago, a montré
que les rats issus de mères à qui l’on avait administré de la génistéine
présentaient à leur naissance un poids inférieur à la normale, et que
la puberté était plus précoce chez les descendants mâles. Pour lui, les
effets constatés chez les rats « seraient pour le moins la préfiguration
de ce qui se produit chez l’homme. Il n’y a aucune raison d’estimer
qu’il puisse y avoir des malformations fœtales importantes, mais on
pourrait se trouver en face de modifications subtiles du comportement
psychique, de la fonction immunitaire ou de la teneur en hormones
sexuelles ».


Le Pr Hugues poursuit :


« Si une mère se met à manger un produit qui a le même effet que les
hormones sexuelles, il est logique de s’interroger si cela peut avoir
une influence sur le développement de l’enfant ». Or, une étude réalisée
sur les bébés nés de mères végétariennes, publiée dans le British
Journal of Urology International en janvier 2000, a montré quelles
pourraient être les modifications du développement de l’enfant. Les
mères qui avaient un régime végétarien pendant leur grossesse
présentaient un risque cinq fois supérieur de donner le jour à des
garçons présentant un phimosis (une malformation du pénis) à la
naissance. Les auteurs de l’étude concluaient que la cause résidait dans
l’exposition aux phyto-estrogènes présents dans les aliments à base de
soja. Cependant, comme le souligne Maria G. Enig,


« les problèmes rencontrés chez les descendantes de mères
végétariennes ne se manifesteront probablement que plus tard dans le
courant de la vie ». Plutôt alarmiste, elle souligne le fait que « si
l’effet œstrogénique du soja n’est pas aussi fort que celui du
diéthylstilbestrol (DES) [un estrogène de synthèse non stéroïdien
utilisé en France entre 1948 et 1977 chez les femmes enceintes pour
prévenir les avortements spontanés et les hémorragies gravidiques], les
doses en cause sont bien plus élevées puisque nous avons affaire là à un
aliment et non pas à un médicament. Or, certaines filles des femmes
ayant pris du DES durant leur grossesse souffrent de stérilité et de
cancer dès l’âge de vingt ans ! »


Pour Maria Enig, nous nous trouverions au bord d’un grave scandale de
santé publique, l’industrie du soja ayant connaissance depuis très
longtemps du fait que le soja contient des toxines : « Au début, ils ont
raconté que les toxines se trouvaient éliminées au cours de la
fabrication. Quand il fut devenu évident que les procédés de fabrication
ne permettaient pas de s’en débarrasser complètement, ils firent dire
que ces substances étaient bénéfiques, alors qu’il s’agit d’un poison ».


Paradoxalement, tout cela semble beaucoup moins inquiéter les
associations écologistes que la présence d’OGM dans le soja. « Il est
curieux que les organisations écologistes, qui se préoccupent beaucoup
de la “féminisation“ observée chez certains animaux et de la baisse de
la qualité du sperme chez les humains, aient complètement passé sous
silence l’hypothèse soja, pour ne s’en prendre qu’aux perturbateurs
endocriniens d’origine industrielle », souligne Emmanuel Grenier.



*** Comme le remarque le Dr
Catherine Thillier-Gasc, médecin à Angers et spécialiste de la
physiopathologie des perturbateurs endocriniens, il en va de même de
certaines associations anti-pesticides, qui sont toujours mobilisées
lorsqu’il s’agit d’affirmer que les pesticides sont responsables de
malformations génétiques, mais restent bien silencieuses au sujet de la
génistéine, sous prétexte que ce phyto-estrogène est naturel !


Références :
1. Mark Messina, « Soy Intake and Cancer Risk : A Review of the In Vitro
and In Vivo Data », Nutrition and Cancer, 1994.
2. N. L. Petrakis, et al, « Stimulatory influence of soy protein isolate
on breast secretion in pre-and postmenopausal women », Cancer Epid Bio
Prev,1996.
3. Craig Dees, et al, « Dietary estrogens stimulate human breast cells
to enter the cell cycle », Environmental Health Perspectives,1997.
4. R. L. Divi, et al, « Anti-thyroid isoflavones from the soybea »,
Biochemical Pharmacology, 1997.
5. Claude Hughes, « Soy Intake May Affect Fetus », Reuters News Service,
November 5, 1999.
6. « Vegetarian diet in pregnancy linked to birth defect », British
Journal of Urology International, January 2000.


Gil Rivière-Wekstein
Publié dans le Numéro d’A&E MAI 2006
http://www.agriculture-environnemen...

http://www.amessi.org/Soja-la-fin-d-un-mythe#.UAmQ7aCfaSo



http://www.amessi.org/Soja-la-fin-d-un-mythe#.UAmQ7aCfaSo

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MessagePRODUITS LAITIERS SONT VOS ENNEMIS
par nofear Ven 20 Juil 2012 - 19:19

pour faire plaisir à notre ami contributeur :

"LE LAIT : LE POISON MORTEL" par Robert COHEN

Citation :
LES DANGERS DES PRODUITS LAITIERS



Article extrait de la revue Nexus


Cela fait quelque temps que nous sommes préoccupés par les dangers
pour la santé que présente la consommation de lait et de produits
laitiers. Dans "Nouvelles du monde" du dernier numéro [en anglais], nous
avons publié un article sur les risques de cancer dû à la consommation
de lait traité à la STB (somatotrophine bovine).


Nous avions également présenté le livre de Robert Cohen : Le Lait :
poison mortel. Pour l’article qui suit, nous avons sélectionné des
questions et commentaires tirés du site internet questions- réponses de
Robert Cohen "l’homme antilait".


Mais faites attention : après avoir lu ceci il se peut fort bien que vous ne buviez plus jamais de lait ! - l’éditeur.


Lettre 85 : David Weber, Oklahoma



Je suis devenu diabétique à l’âge de vingt-cinq ans. La littérature
sur le diabète fait parfois référence à un lien possible entre
l’absorption de lait de vache et le diabète. Mais bien sûr, les médecins
s’occupent de traiter la maladie et ne s’intéressent pas à
l’alimentation. Si vous faisiez des tests cliniques pour prouver que le
lait de vache cause le diabète et que vous stoppiez le développement de
cette maladie, on vous décernerait le prix Nobel.

Les commentaires de L’HOMME antilait :


[*Une étude faite à l’université d’Helsinki (Virtanen et Aro : "Les
facteurs alimentaires dans l’étiologie du diabète", Ann. Med. 26(6):469-
478, déc. 1994), a révélé que l’introduction de lait de vache dans
l’alimentation de bébés de trois mois ou même plus jeunes avait souvent
pour effet une totale insuffisance en insuline*].


Cette pathologie apparaissait parce que les cellules bêta, produites
naturellement, étaient détruites par la réaction allergique du
nourrisson - réaction créée en réponse à la présence de protéines du
lait de vache. Des scientifiques italiens ont noté des effets similaires
lors de l’analyse de données concernant les enfants diabétiques.



Leur conclusion montrait une relation absolue de cause à effet entre
la consommation de lait et le diabète, (Fava et al., "relation entre la
consommation de produits laitiers et l’apparition du diabète mellite
insulino-dépendant ("IDDM") chez l’enfant en Italie", Diabetes Care
[traitement du diabète] 17(12):1488-90, déc. 1994).

Des chercheurs de l’université du Colorado ont publié un
article dans le Journal des recherches en endocrinologie où ils
indiquaient qu’une peptide d’albumine bovine était un déclencheur du
diabète mellite insulino-dépendant
(Norris et Pietropaolo, J. Endocrin. Invest. 17(7):1488- 1490, juillet-août 1994).


Lors d’une expérience très contrôlée faite sur des rats par
des scientifiques canadiens, il a été noté que la consommation précoce
de lait de vache était liée à l’apparition du diabète
. Des
savants ont fait ce lien entre la consommation précoce de protéines
bovines et l’incidence de diabète à la fois chez les rongeurs et chez
les humains. Leurs travaux furent publiés dans le numéro de février 1994
du Journal of Immunology (Journal sur l’immunologie)


Les études ci-dessus sont des exemples de recherches que l’industrie
laitière préfère que vous ne lisiez pas. Plus vous acquérez de savoir et
moins vous êtes ignorant. L’ignorance n’apporte pas la félicité.
L’ignorance peut être sacrément malsaine !


Armé de telles connaissances, est-ce que vous donneriez du lait de
vache à votre enfant ? Si on tient compte du fait que les protéines
bovines créent une réaction dans l’organisme (celui-ci fabrique des
anticorps détruisant les cellules bêta qui produisent de l’insuline),
pensez-vous qu’il est sage de boire des sécrétions contenant des
hormones issues d’une créature d’une autre espèce ? Les hormones
agissent.


Si vous choisissez de croire la F.D.A. (Food and Drug
Administration : bureau américain de la nourriture et des médicaments)
qui nous assure que les hormones dans le lait n’ont pas d’effet, vous
jouez avec un fusil chargé et puissant. Si vous préférez réexaminer.


Lettre 115 : Roy Oestensen, Norvège, 16 janvier 1998.


J’ai vraiment été impressionné par cette page d’informations, et bien
que j’aie déjà entendu certains de ces arguments auparavant (et de ce
fait j’ai été sceptique vis-à-vis du lait durant des années), nombre de
données étaient nouvelles pour moi. En Norvège il y a eu très peu de
commentaires sur les dangers du lait.


Comme vous le savez peut-être, les Scandinaves sont parmi les
plus grands buveurs de lait sur la planète et c’est chez eux que l’on
trouve certains taux les plus élevés de diabète et d’ostéoporose
.
Par exemple, il y a quelques jours, un journal d’informations parlait
de la très nette différence dans les taux de diabète entre les quartiers
Est et Ouest d’Oslo, capitale de la Norvège.


Il apparaît que le diabète est quasiment inexistant à l’est, qui est
la zone la plus pauvre, peuplée d’immigrants pour une grande part. Des
scientifiques signalèrent une corrélation dans leurs données avec le
taux d’infections infantiles comme une explication possible. Paraît-il
qu’un enfant qui aurait beaucoup d’infections serait plus tard protégé
contre le diabète !
Je ne sais pas s’il y a réellement un raisonnement médical derrière tout
ceci mais je les soupçonne de n’avoir même pas pris en compte le fait,
bien connu, que le Norvégien moyen boit 10 fois plus de lait que
l’immigrant moyen.


Les commentaires de L’HOMME ANTILAIT :


Pour votre intérêt, j’ai eu une conversation avec une nutritionniste
française hier. Elle prétendait que les Français, qui mangent beaucoup
de fromage et boivent beaucoup de lait, sont encore le peuple qui jouit
de la meilleure santé sur la planète. Eh bien, je lui ai répondu qu’en
1994, 16,49 femmes américaines sur 100 000 étaient mortes d’un cancer du
sein. La même année, le chiffre était plus élevé pour la France. Les
Français mangent plus de fromage et boivent plus de lait que les
Américains, et 17,79 femmes sur 100 000 sont mortes d’un cancer du sein.


Maintenant, les très mauvaises nouvelles :


le peuple de Norvège boit encore plus de lait que les Français. Prêt
pour le taux de cancer du sein ? Il est de 17,98 femmes pour 100 000 !
Cela pourrait être pire : les Pays-Bas ont un taux de 22,13 morts par le
cancer du sein sur 100 000. Souvenons-nous de la Laitière hollandaise
(qu’elle repose en paix) lorsque nous apprenons la vérité sur les
hormones du lait.


lettre 160 : Paul M. Fleiss, médecin, MPH, 21 février 1998


La pasteurisation et l’homogénéisation altèrent de manière
significative la composition, la digestibilité et la disponibilité
biologique du lait. Je vous suggère de tenir compte du fait que le Lait
cru certifié, que produit la Laiterie naturelle Steve, en Californie,
est un produit très différent de ce dont vous parlez. Tous les laits ne
sont pas les mêmes !


Les commentaires de l’HOMME ANTILAIT :


Cher Docteur, beaucoup de gens ignorent que le lait est souvent
pasteurisé deux ou trois fois avant de pétiller et crépiter dans leurs
céréales. Pourquoi les conditionneurs doivent-ils répéter leur procédé
de pasteurisation s’il fonctionne si bien ? Réponse ?


Permettez-moi de révéler ce qui devrait être l’évidence même : la
pasteurisation est inefficace ! Lorsque des conditions telles que le
traitement par la chaleur ne conviennent pas aux petites bêtes (les
bacilles, Clostridium, etc.), elles se protègent en formant des spores
qui les protègent de l’ébouillantage, des antibiotiques et des
germicides. [*Lorsque le lait refroidit et que les conditions
sont favorables à leur croissance, ces bactéries retrouvent leur état
d’origine*].



La plupart des consommateurs sont dupés par la propagande de
l’industrie laitière et font confiance au mythe de la pasteurisation
comme garant de leur santé. Ces mêmes consommateurs devraient user de
leur odorat après seulement une semaine de réfrigération. Il y a quelque
chose de pourri dans ce récipient. Les odeurs nauséabondes sont dues
aux toxines sécrétées dans le lait par les cultures de micro-organismes
qui continuent à se développer.


Pour que l’on puisse boire du lait sans risque il doit provenir d’animaux propres et sans maladie. Malheureusement,
la majeure partie du lait américain contient les virus de la leucémie,
de la tuberculose et selon Virgil Hulse, médecin, le virus
immunodéficitaire bovin
. Le docteur Hulse a été inspecteur laitier et est un des experts les plus réputés en Amérique sur ce sujet.


J’ai commencé à m’intéresser au lait il y a environ quatre ans. Je ne
voulais pas que mes enfants absorbent des overdoses de ces puissantes
hormones de croissance non détruites par la pasteurisation.


J’ai, depuis, appris que la pasteurisation ne détruit pas non plus
d’autres substances dangereuses. S’il vous plaît, renseignez-vous sur la
"paratuberculose". Les vaches ont des troubles intestinaux dus à la
paratuberculose, une mycobactérie qui résiste à la chaleur. Les vaches
attrapent la maladie de Johne par ce micro-organisme, et les humains
attrapent ce problème intestinal en buvant du lait de vache. Il y a un
lien certain entre la maladie de Crohn chez l’homme et la consommation
de lait


Robert Cohen


LE LAIT, BON POUR LES ENFANTS ... VRAIMENT ?



Publié à l’origine dans le Bulletin de l’A.I.C.P Mars/Avril 1998


Le lait ... bon pour les enfants ! Vraiment ? Selon Robert Cohen, auteur du livre "Le
Lait : Poison Mortel", le lait est la cause d’allergies, de coliques,
de colite, d’otites, de rhumes et de congestions chez les jeunes enfants
. Une recherche récente du site Internet NOT MILK (en anglais) nous fait ouvrir les yeux.


Chaque
gorgée de lait nous apporte des hormones de croissances, des acides
gras, du cholestérol, des protéines allergéniques, du sang, du pus, des
bactéries, des virus et bien plus !



Par le passé, la FDA (Food and Drug Administration) ne permettait qu’une petite quantité d’antibiotiques dans le lait. Les chercheurs du FDA reconnaissent que les consommateurs ne devraient pas boire de liquide qui contient des antibiotiques.
Cependant, en 1990, les résidus d’antibiotiques dans le lait standard
ont augmenté de 100 fois. Aujourd’hui, les paysans peuvent injecter
leurs animaux avec des niveaux de plus en plus élevés d’antibiotiques.


En plus de cela, 60% des vaches productrices de lait aux États-Unis ont le virus de la leucémie.


Le lait contient une concentration élevée d’hormones telles
que l’hormone hypophysaire, les hormones stéroïdes, les hormones
hypothalamiques et les hormones thyroïdes et parathyroïdes. Lorsque nous
buvons du lait, nous consommons la plus puissante des hormones de
croissance produites naturellement dans notre corps. Cette hormone
s’appelle le IGF-1 (Insulin-like Growth Factor-1 ou Facteur de
Croissance de type Insuline-1).



Cette hormone est identique chez les vaches et chez les humains.
La recherche scientifique indique que les protéines du lait détruisent
les cellules bêta productrice d’insuline du pancréas, causant ainsi le
diabète.



Les effets secondaires effrayants de la consommation de lait ne sont
pas limités aux enfants. 25 millions de femmes Américaines de plus de 40
ans ont été diagnostiquées comme souffrant d’arthrose et d’ostéoporose.
Selon le Département de l’Agriculture des États-Unis (USDA), en 1994,
l’Américain moyen mangeait 266 kilos (586 pounds) de lait et de produits
laitiers. Ces femmes ont bu en trop 0.9 kilo de lait par jour pendant
toute leur vie adulte.



Cependant, le calcium dans le lait n’est pas absorbé de
manière appropriée et la consommation de lait est un suspect sur la
liste des causes de l’ostéoporose.

Encore plus effrayant est le fait que le lait est
considéré comme l’un des responsables de la raison pour laquelle une
femme Américaine sur six va développer un cancer du sein.


Pour plus d’information sur le lait que nous buvons, veuillez consulter le site Internet " NOT MILK " de Robert Cohen à www.notmilk.com ou acheter le livre :


"Le Lait : le Poison Mortel" par Robert Cohen

http://www.amessi.org/Dangers-des-produits-laitiers#.UAmSaKCfaSo


sinon autre article encore ici :

Lait de vache et ses inconvénients pour la santé

http://www.amessi.org/Lait-de-vache-et-ses-inconvenients-pour-la-sante#.UAmS_6CfaSo

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